Les chiffres sont alarmants. D’après le rapport statistique sur les mutilations génitales féminines de l’Unicef, publié en 2016, « plus de 200 millions de femmes et de filles continuent de subir les effets des mutilations génitales féminines dans le monde et en Afrique. Selon les estimations actuelles, 50 millions de jeunes filles risquent d’en être victimes d’ici à 2030. La même source indique « qu’en Afrique, 39% des filles sont mariées avant leur 18e anniversaire et 13% avant leur 15ème anniversaire ».
Un problème réel qui nécessite des actions concertées et multilatérales. Pour trouver des solutions concrètes, Dakar abrite du 16 au 18 juin, le premier Sommet africain sur les mutilations génitales féminines (MGF) et le mariage d’enfants (ME).
«Le Sommet est une opportunité de poser les jalons pour la création d’une alliance régionale et mondiale pour mettre fin aux pratiques néfastes impliquant les mutilations génitales féminines et le mariage d’enfants d’ici 2030», affirme la présidente du Comité scientifique, Magatte Sy Gaye.
3 Commentaires
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En Juin, 2019 (20:16 PM)Yeet
En Juin, 2019 (21:01 PM)Je suis homme, mais cette pratique ne nourrit l'égoïsme des hommes!!!!
Les pays doivent l'éliminer!!!!
De la vraie merde sur des enfants qui ne peuvent pas dire NON!!!!!
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