La gendarmerie nationale s’est montrée préoccupée par la situation de tension qui prévaut dans le sud du pays. En ligne de mire, la Gambie menacée d’une intervention militaire par les forces de la Cedeao, après le refus du président Jammeh de quitter le pouvoir au lendemain de sa défaite née du scrutin présidentiel du 1er décembre dernier.
La question s’est invitée à la cérémonie de présentation des vœux pour la nouvelle année. Prétexte saisi par le Général Meissa Niang, Haut commandant de la gendarmerie nationale et directeur de la justice militaire pour faire le bilan de l’année écoulée et annoncer les défis à relever au plan sécuritaire, pour la nouvelle année 2017. «Ce sera l’occasion, dit-il, de renouveler mes directives de vigilance, les orientations en direction des unités, des personnels à tous les niveaux et surtout les unités frontalières pour plus de vigilance et de fermeté face au péril qui assaille notre pays dans un contexte sécuritaire extrêmement tendu», relève-t-il dans les colonnes du Quotidien.
«La gendarmerie, ajoute-t-il, est partout présente sur l’ensemble du territoire national particulièrement comme je l’ai dit dans les zones frontalières, et vous savez bien que la partie méridionale de notre pays fait face actuellement à une situation sécuritaire beaucoup plus tendue. Nous allons renforcer les dispositifs pour la sécurité des personnes et des biens qui sera garantie à toute épreuve», promet le Haut Commandant de la gendarmerie nationale.
3 Commentaires
Anonyme
En Décembre, 2016 (21:58 PM)un ancien ami d'une organisation internationale humanitaire à Dakar, durant la période 95-98!
Anonyme
En Décembre, 2016 (22:44 PM)Un bel exemple de rigueur.
Anonyme
En Décembre, 2016 (10:24 AM)Participer à la Discussion