Conscient des difficultés que rencontrent les pupilles de la région, surtout les filles, l’office national des pupilles de la nation, vient au secours de celles-là qui ont perdu leurs parents au cours du naufrage du bateau le Joola le 26 septembre 2002. Selon Bara Diop, chargé du suivi évaluation, ce sont surtout les filles dont la plupart tombent en état de grossesse, qui souffrent le plus, à cause de leur situation sociale, a-t-il dit à notre confrère de Sud fm.Pour mieux les prendre en charge, Bara Diop indique qu’en dehors du soutien financier dont-elles disposent en allocation mensuelle, elles bénéficient aussi de soutien moral au niveau du centre ado et d’une formation de moniteurs.
3 Commentaires
Jo
En Juillet, 2013 (10:35 AM)Doit-on considérer seuls ceux dont les parents on péri dans le Joola comme pupilles ?
Et les autres ?
Egnabb
En Juillet, 2013 (10:35 AM)Jallagi
En Juillet, 2013 (12:17 PM)Participer à la Discussion