Pour le joueur des Girondins de Bordeaux, la rencontre de samedi face au Burundi sera une grande première devant le public sénégalais, une sorte de baptême de feu. Dans un entretien accordé à nos confrères de "Waa Sports", le partenaire de Lamine Sané en club livre ses impressions avant l'entrée en lice du Sénégal, et la sienne, dans les éliminatoires de la prochaine Coupe d'Afrique des Nations.
"Ça fait bizarre. Je n'ai pas encore vécu l'ambiance du stade Léopold Sédar Senghor.
"Ça fait bizarre. Je n'ai pas encore vécu l'ambiance du stade Léopold Sédar Senghor.
Ma venue en équipe nationale a coïncidé avec la suspension du stade. Cette fois-ci va être une première pour moi et je l'attends avec impatience. L'attente a été longue, ça fait deux ans que j'attendais ça", a déclaré Saivet. Selon lui, "ce sera important de pouvoir débuter devant le public. Je ne ressens aucune pression. Au contraire, ce sera l'occasion de montrer au peuple sénégalais qui je suis.
C'est-à-dire montrer mon vrai visage."
Pour finir, le bordelais s'est exprimé sur les rumeurs qui l'envoient du côté de l'Angleterre l'année prochaine. "Je ne peux ni confirmer ni infirmer. En football, tout se passe très vite. Si demain les dirigeants de bordeaux reçoivent une offre intéressante venant de clubs étrangers ou même en France, pourquoi pas y réfléchir", a-t-il dit.
Pour finir, le bordelais s'est exprimé sur les rumeurs qui l'envoient du côté de l'Angleterre l'année prochaine. "Je ne peux ni confirmer ni infirmer. En football, tout se passe très vite. Si demain les dirigeants de bordeaux reçoivent une offre intéressante venant de clubs étrangers ou même en France, pourquoi pas y réfléchir", a-t-il dit.
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