La coupe de base est à 17 euros, sans rendez-vous. La veille, Tony Yoka, le boxeur olympique, s'est offert un relooking capillaire stylé figures géométriques. Aujourd'hui, Raph, des Anges de la téléréalité, qui s'essaye aux ciseaux, fait couiner de jeunes passantes prépubères de l'autre côté de la transparente vitrine.
Sur Snapchat, MBaye Niang, de l'AC Milan, « ralouse » parce que sa chevelure serait délaissée. « On me boycotte. » Mais non, mais non... C'est juste que ça déborde, que le manieur de ciseaux, Michaël Caiolas, n'oublie pas sa clientèle locale, celle des débuts, qu'il commence à rechigner à se téléporter d'un coup d'avion dans les villes où les artistes du ballon rond veulent autre chose qu'une boule à zéro.
Inter Coiffure – qui a gardé le nom, même depuis qu'Intermarché a déserté la mini-galerie commerciale – est LE salon tendance. Plus encore depuis que Paul Pobga confie son crâne à Michaël. C'est à Ozoir, à trente-six bornes à l'est du centre de Paris, là où la Seine marne.
1 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2016 (18:18 PM)JE ME DEMANDE POURQUOI LES SÉNÉGALAIS NE SONT TOUJOURS PAS SORTIS MANIFESTER LEUR MÉCONTENTEMENT.
IL EST TEMPS DE METTRE DE L'ORDRE CAR TROP C'EST TROP.
POUR UN ALLER RETOUR DAKAR SINDIA IL FAUDRA DÉBOURSER 6 000F CFA (MOINS DE 70KMS).
MACKY SALL ON PENSAIT QUE C’ÉTAIT FINI LA COLONISATION MAIS CE QUE NOUS VIVONS EST DRAMATIQUE. HALTE A L'ARNAQUE SUR LES PAUVRES GOORGORLOU
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