"Pierre-papier-ciseaux" pour désigner le tireur de penalty à Anderlecht

Si Santini s'est offert un deuxième triplé en l'espace de huit jours, ce n'est pas seulement grâce à ses talents de buteur. Mais aussi grâce à sa réussite au célèbre jeu "Pierre-papier-ciseaux". On a connu des périodes au Parc Astrid où les joueurs se cachaient quand l'arbitre désignait le point fatidique. Vous vous souvenez, ce temps où les penaltys manqués étaient plus nombreux que ceux convertis.

Heureusement pour le Sporting, les temps changent. Désormais, on se dispute (très gentiment) le droit de se charger du botté. Preuve de la confiance et de la bonne ambiance qui habite l'effectif bruxellois en ce moment, Ivan Santini et Landry Dimata ont eu recours à "pierre-papier-ciseaux" pour savoir qui allait avoir l'opportunité d'ajouter un but à son compteur. Avec force et une pierre, le Croate a écrasé les ciseaux de Dimata. Il a ensuite utilisé la finesse pour tromper Dutoit.