La N.1 mondiale Serena Williams a salué mardi le courage de la Russe Maria Sharapova et sa décision de rendre public lundi son contrôle antidopage positif lors de l'Open d'Australie.
"La plupart des gens étaient surpris et sous le choc (...) mais, en même temps, (...) heureux qu'elle ait été franche, très honnête et ait montré beaucoup de courage en admettant ce qu'elle avait fait", a déclaré Williams lors d'une conférence de presse organisée en marge d'un match exhibition contre la Danoise Caroline Wozniacki, à New York. Dès lors, "je souhaite le meilleur à quiconque se trouve dans cette situation", a-t-elle ajouté.
"Elle a toujours montré du courage dans tout ce qu'elle a fait. Et cette fois-ci, c'est la même chose", a estimé la grande rivale de Sharapova.
Interrogée sur ses sentiments concernant son quart de finale contre Maria Sharapova à l'Open d'Australie, alors que la Russe était positive à un produit interdit, elle a coupé court: "Je ne suis pas la meilleure personne à qui poser cette question". Le 26 janvier, l'Américaine qui a battu Sharapova lors de leurs 18 derniers duels, avait sèchement battu la Russe, 6-4, 6-1.
"A chaque fois que nous prenons un médicament, nous vérifions deux, trois ou quatre fois parce qu'un produit contre le rhume ou un vaporisateur pour le nez peuvent être sur la liste", a expliqué de son côté Caroline Wozniacki.
7 Commentaires
Linda Mujer
En Mars, 2016 (23:10 PM)Passons! Maria Sharapova est (Ô bonjour le pléonasme!), une menteuse. Comme, hélas, le sont presque tous les sportifs de haut niveau pris la main dans le pot de confiture ou, si vous préférez, la boîte à pilules. Prendre , pendant dix ans, un médicament aux effets principaux ou secondaires carrément dopants, mais clairement désigné pour n'être administré que pendant six mois, et oser nous la jouer à la Richard Virenque alias "A l'insu de mon plein gré"...
Ces gens-là, hommes et femmes, ne font plus rêver que les naïfs indécrottables. Fric, fric, fric! Vous, je ne sais pas, mais moi, je ne peux plus regarder quelque compétition sportive que ce soit plus de deux minutes, sans me demander "Mais qu'est-ce qu'il, ou elle, a pris? Quelle substance non encore classifiée comme dopante leur sert-on au petit-déjeûner ou avant le coucher? Quels médecins et chimistes véreux se cachent derrière leurs mensonges justificatifs?
Le cas de Marion Jones, la superbe, la féline, la divine, eut raison de ma confiance pour les susnommés. Tous des tricheurs, qui ne se repentent jamais de ce qu'ils ont fait, mais regrettent seulement d'avoir été débusqués. Ils avouent parce que la cocotte-minute est sur le point siffler. " Du courage", dit Serena par corporatisme. Mon œil!
Act Sista
En Mars, 2016 (23:17 PM)Le Mâle @linda Mujer
En Mars, 2016 (00:34 AM)Anonyme
En Mars, 2016 (09:27 AM)Linda Mujer
En Mars, 2016 (00:37 AM)Non, cher ami (titre que vous ne méritez guère!) je n'ai jamais eu de fesses plates, mais plutôt un superbe derrière de femme, c'est à dire sans anabolisants ni autres formes de bodybuilding.
Non, chers africains qui insultez vos propres mères en prenant Serena Williams comme modèle. Vos mères et sœurs sont-elles aussi musclées que les Balla Gaye et autres lutteurs professionnels dont Seneweb raffole? Je croyais qu'à défaut d'être minces, elles pouvaient s'enorgueillir d'être des "diongomas", des diriyankés. Pardon! ! Je ne savais pas que le Sénégal était devenu un pays de viragos! Les sénégalaises se seraient-elles "niakisées", pour mieux ressembler à ces descendantes d'esclaves bantoues, qui, soit dit en passant, représentent 90% de ceux et celles que l'on embarqua vers les l'Amériques?
Ma parole! Ce monstre pourrait, comme le culturiste Van Damm casser une coque de noix, que dis-je, une noix de coco entre les rochers de son "pétard"! Même ses ancêtres esclaves , percluses de labeur dans les champs, savaient rester féminines. Serena Williams ne joue pas au tennis. Contrairerement à sa sœur Vénus. Serena, c'est la "bastogne", la castagne, la bûcheronne. Elle aura définitivement changé, en mal, la physionomie de de ce jeu, version féminine.
Enfin, "De gustibus et coloribus..." (des goûts et des couleurs) "Non est discutandum" (on ne discute pas) disaient les anciens latins.
Linda Mujer
En Mars, 2016 (06:02 AM)P.S.: les noirs américains ont squatté le mot "noir" comme s'il n'appartenait qu'à eux. Or, de tous les noirs de la planète, à part les aborigènes d'Australie (laids mais avec de beaux cheveux, donc pas besoin de perruques ni défrisages!) ce sont eux les plus laids, les plus agressifs, les plus complexés, les plus voleurs, dégénérés, tueurs et fraudeurs. Pour eux, l'Afrique, ce sont les régions tropicales et centrales d'où leurs ancêtres furent extraits, avant que de transiter par Gorée et d'autres ports de la côte Atlantique. Les peulhs, pulars, ouolofs, éthiopiens, guinéens, érythréens, somaliens, nigériens et autres africains , ont beau, grâce à la mondialisation, aller leur démontrer, chaque jour, chez eux, que tous les africains ne sont pas faits comme eux, ne marchent pas comme eux, ne mangent pas tout ce qu'ils mangent: ils persistent, avec une mauvaise foi toujours plus insupportable à "parler au nom des noirs, tuer au nom des noirs, trafiquer de la drogue au nom des noirs, qui plus en a plus en rajoute. Même ceux d'entre eux auxquels Monroe permit d'aller s'emparer d'un morceau de Liberia, ne s'y trompèrent guère longtemps. CQFD, des dictatures à la Tolbert à l'inutilité de Helen Sirleaf Johnson, tout le monde sait qu'ils n'ont jamais su se réadapter à l'Afrique.
N.B.N: Votre Serena Williams ne couche qu'avec des blancs. Cela doit vous frustrer! Si je ne m'abuse, elle se jeta même pendant quelques nuits dans les bras d'un des ex-amants de la Sharapova.
Anonyme
En Juillet, 2016 (23:33 PM)Participer à la Discussion