Le promoteur de lutte simple, Pape Dia, par ailleurs Directeur technique de la Rfm, démarre sa saison de lutte le 6 mai prochain avec un gala de lutte au stade Iba Mar Diop. Pour la deuxième édition du drapeau Me El Hadji Diouf, la mise est de 20 bœufs, 100 000 FCfa et 5 trophées.
A la tâche depuis 2005 dans l’organisation des galas de lutte simple, Pape Dia est désormais en terrain connu. Après une première édition réussie, le promoteur entend rehausser le niveau pour cette deuxième édition du drapeau Me El Hadji Diouf. «Le gala de l’année dernière avait une réussite totale avec 20 bœufs plus 100 000 FCfa et 3 trophées. Cette année, la mise est toujours de 20 bœufs et 100 000 FCfa, mais 5 trophées dédiés à 5 personnalités au service de la lutte. Il s’agit d’Ousmane Dramé, maire de Nioro et grand amateur de la lutte, Cheikh Sarr, président des amateurs qui est toujours au service de la lutte, Thierno Kâ, chargé de la communication du Cng de lutte, Alpha Samb, promoteur de lutte, et le nouveau Directeur général du Groupe Futurs Médias, Mamoudou Ibra Kane.»
La préparation
Sur le plan de la préparation de cet événement, le promoteur rassure que tout est fin prêt. «Nous sommes dans le dernier virage de l’organisation. Je prépare cet événement depuis des mois parce que je veux offrir aux amateurs un beau spectacle. La lutte simple a de fidèles amateurs, mais à chaque fois j’essaie d’innover pour attirer les amateurs de la lutte avec frappe», dit Pape Dia.
Les sponsors
Par ailleurs, Pape Dia a tenu à signaler le casse-tête des promoteurs de lutte simple à décrocher des sponsors. «C’est difficile d’organiser des galas de lutte simple parce qu’il n’y a pas de partenaires qui nous accompagnent. Nous lançons un appel aux sponsors. Ces derniers doivent savoir que la lutte simple a son public et c’est une belle vitrine. Dans un gala de lutte, on peut enregistrer plus de 100 lutteurs. Ce sont des combats non-stop. Donc le spectacle est garanti à 100%. L’année dernière j’avais enregistré 172 lutteurs. Nous avons démarré à 16 heures pour terminer à 22 heures. Cette année, nous attendons le même nombre de lutteurs. Le problème de la lutte simple, c’est la médiatisation et les sponsors. Mais en termes de spectacle, la lutte avec frappe ne fait pas mieux», convainc le Directeur technique de la Rfm.
La lutte avec frappe
Malgré ses 8 ans de service dans la lutte simple, Pape Dia tarde encore à passer dans l’organisation des combats de lutte avec frappe. «Les moyens et le temps ne me le permettent pas encore. Je suis encore à l’apprentissage de ce métier de promoteur. Je me lancerai dans la lutte avec frappe quand j’aurai suffisamment d’expérience», explique-t-il.
A la tâche depuis 2005 dans l’organisation des galas de lutte simple, Pape Dia est désormais en terrain connu. Après une première édition réussie, le promoteur entend rehausser le niveau pour cette deuxième édition du drapeau Me El Hadji Diouf. «Le gala de l’année dernière avait une réussite totale avec 20 bœufs plus 100 000 FCfa et 3 trophées. Cette année, la mise est toujours de 20 bœufs et 100 000 FCfa, mais 5 trophées dédiés à 5 personnalités au service de la lutte. Il s’agit d’Ousmane Dramé, maire de Nioro et grand amateur de la lutte, Cheikh Sarr, président des amateurs qui est toujours au service de la lutte, Thierno Kâ, chargé de la communication du Cng de lutte, Alpha Samb, promoteur de lutte, et le nouveau Directeur général du Groupe Futurs Médias, Mamoudou Ibra Kane.»
La préparation
Sur le plan de la préparation de cet événement, le promoteur rassure que tout est fin prêt. «Nous sommes dans le dernier virage de l’organisation. Je prépare cet événement depuis des mois parce que je veux offrir aux amateurs un beau spectacle. La lutte simple a de fidèles amateurs, mais à chaque fois j’essaie d’innover pour attirer les amateurs de la lutte avec frappe», dit Pape Dia.
Les sponsors
Par ailleurs, Pape Dia a tenu à signaler le casse-tête des promoteurs de lutte simple à décrocher des sponsors. «C’est difficile d’organiser des galas de lutte simple parce qu’il n’y a pas de partenaires qui nous accompagnent. Nous lançons un appel aux sponsors. Ces derniers doivent savoir que la lutte simple a son public et c’est une belle vitrine. Dans un gala de lutte, on peut enregistrer plus de 100 lutteurs. Ce sont des combats non-stop. Donc le spectacle est garanti à 100%. L’année dernière j’avais enregistré 172 lutteurs. Nous avons démarré à 16 heures pour terminer à 22 heures. Cette année, nous attendons le même nombre de lutteurs. Le problème de la lutte simple, c’est la médiatisation et les sponsors. Mais en termes de spectacle, la lutte avec frappe ne fait pas mieux», convainc le Directeur technique de la Rfm.
La lutte avec frappe
Malgré ses 8 ans de service dans la lutte simple, Pape Dia tarde encore à passer dans l’organisation des combats de lutte avec frappe. «Les moyens et le temps ne me le permettent pas encore. Je suis encore à l’apprentissage de ce métier de promoteur. Je me lancerai dans la lutte avec frappe quand j’aurai suffisamment d’expérience», explique-t-il.
4 Commentaires
Tef
En Avril, 2012 (11:10 AM)Wade
En Avril, 2012 (11:11 AM)Da
En Avril, 2012 (11:52 AM)Bof
En Avril, 2012 (20:19 PM)Participer à la Discussion