C’est un face-à face tendu mais très constructif pour leur secteur que les professionnels du tourisme et leur tutelle ont eu, hier. Selon la quotidien Walfadjri, les acteurs du secteur touristique refusent de participer aux assises nationales du tourisme qu’envisage d'organiser le ministère du Tourisme. Pour eux, il y a suffisamment de documents dans les tiroirs et que depuis dix ans ce sont les mêmes maux qui sont dénoncés avec les mêmes mots.
Plus question de se pencher sur le malade pour établir un diagnostic. Les professionnels du tourisme estiment qu’il a été déjà ausculté et tout le monde sait de quoi il soufre. Par conséquent, il ne resterait qu’à lui trouver le remède pour le sauver.
C'est ce qu’ont fait savoir les professionnels du secteur du tourisme, hier, lors de la première prise de contact du ministre du Tourisme et des Transports aériens avec la Fédération des organisations patronales de l’industrie touristique (Foptis). En effet, selon ces acteurs, depuis 2006, c'est avec les mêmes maux et mêmes mots qu’ils ne cessent de sensibiliser les pouvoirs publics sur les problèmes du secteur
« Nous n’avons pas besoin d’assises nationales du tourisme. Nous estimons que ce n’est pas opportun. On a déjà tenu des assises du tourisme. Il y a suffisamment de documents dans les tiroirs. Il suffit de les sortir et de les dépoussiérer. De toute façon, ce qu’on avait dit il y a dix ans reste toujours valable. On peut avoir cette impression de surplace mais on peut toujours espérer parce que c’est un secteur qui a fait vivre deux millions de personnes puisque c’est un secteur transversal», a déclaré le président du Fopits, Mamadou Racine Sy.
Le président du patronat du tourisme continue de clamer l’engagement du chef de l’Etat à relancer le secteur mais fustige l’attitude de certains fonctionnaires qui, selon lui, prennent en otage les différents ministres qui se sont succédé à la tête du département.
Ils ont, en outre, déploré l’asymétrie d’information sur certaines décisions prises par leur tutelle, surtout dans la promotion de la destination Sénégal. En effet, au cours des échanges, les techniciens du ministère ont informé les acteurs qu’une enveloppe de 200 mille dollars, soit près de 120 millions de francs Cfa, obtenue au niveau de la Banque mondiale dans le cadre de la riposte contre Ebola, était disponible pour faire une campagne dans quatre pays émetteurs. Ce qui est interprété par Racine Sy comme un manque de respect pour les professionnels mis devant le fait accompli. De plus, ils ont confié au ministre être toujours en attente de 4 milliards de francs Cfa promis par l’Etat pour la promotion de la destination et sur lesquels ils n'ont encore reçu que 500 millions de francs Cfa, soit 20%, selon le Directeur de l’Agence sénégalaise de promotion touristique.
Un secteur tant important,createur d emplois ne peut etre uoblie com sa .j me demande combien de temps on est entrain de perdre relancer .Avec ces incapables rien ne sera fait
le tourisme au Sénégal est devenu moribond depuis belle lurette ! A part parler gros sous qu'ont-ils changé pour accueillir les touristes ; gouvernement, hôteliers ? RIEN DE RIEN !
les billets d'avion toujours chers, les lenteurs administratives à l'arrivée ( ouf depuis peu, on a gagné 1 heure pour sortir) avant de se retrouver à lutter ferme contre les porteurs, les taxis, les vendeurs de carte, les voleurs. Parcours à risques sur des routes dangereuses après les embouteillages de la capitale, des chauffards se chargent de vous donner le frisson de la mort.
Arrivés à l'hôtel, on se bouge lentement à la réception, le confort des chambres ...mouais...climatisation capricieuse, rangements sommaires, salle d'eau ....on passe,
arrive l'heure du repas....faut vraiment avoir faim et ne pas s'égarer du côté des cuisines. Allons à la plage....sale, dangereuse autant par son littoral océanique que par le combat perpétuel contre les vendeurs de tte catégorie ; antiquités, sexuels, et casse-pieds. Allons faire un tour en ville : des gamins qui mendient, des voitures parquées sur les trottoirs. Enfin je suggère et espère que ce commentaire sera lu par ceux qui veulent à tous prix recevoir des touristes récalcitrants à l'arnaque généralisé. Dé !
Primo: 500 millions fait 12.5% de 4 millards et non pas 20% qui fait 800 millions. Si vous ne savez pas calculez qq chose aussi simple il ne faut pas vous donner un budget à gérer.
Secondo: un "professionnel" ne "crache" pas sur sa profession. Sachez choisir mieux vos mots sinon on risqué de vous prendre pour un "non professionnel" de votre métier. Vraiment.
ça, c'est courant au Sénégal, ce sont les mêmes problèmes qui se re-posent au fil des années, des décennies. Et cela n'alerte pas les populations sur la nullité des politiciens qui n'ont qu"une seule préoccupation: se remplir les poches, recruter de la clientèle avec l'argent du contribuable et les pots de vin de pseudo-investisseurs qui ne sont en fait que des prédateurs aux aguets de marges de profits insanes
voila un secteur ou l on change souvent de ministre mais les fonctionnaires du ministere eux ne changeront jamais leur façon de voir le tourisme. les patrons du secteur autrement les professionnels du tourisme les memes qui sont la depuis trente ans et qui constitue un puissant lobbie ne se battent que pour leur interets personnels. n ont plus de vision pour proposer autre chose. le secteur est parasite par les residences qui ont fini de tuer l hotelerie et personne ne reagit.imaginez des senegalais qui vont construire des residences a usage d habitation en france qui le louent a titre commercial .,des touristes qui n osent pas se promener a saly parce que simplement il y a des gaillards qui les guettent a la sortie des hotels pour les faire vivre un calvaire qui ferait de la mauvaise publicite et ceci en plein jour et on dit rien.il y a tellement de choses a revoir pour relancer ce secteur. du courage surtout des lendemains meuilleurs
Si certains professionnels ne veulent pas la tenue de ces assises sur le tourisme d'autres professionnels plus engagés et plus professionnels sont prêts à participer à ces assises.
Très simple " explication" de l'évolution et de la " mort" du tourisme " sénégalais" par un amoureux du Sénégal qui y a voyagé des années 80/90 ...Le liien: sénégallesplusbeauxmatinsdumonde...Courage: ce n'est pas très long comme carnet de voyage.
Pffffff tout le secteur connait le probléme c racine sy personne d'autre il y a un proverbe qui dit "lo diangoul mounouloko tari" ok il a des hotels mais cela ne fait pas de lui un professionnel du tourisme et a chaque fois que l'on fait un pas pour réstructurer le secteur il crie au scandale et agite sa team de vaurien qui s'agitent avec lui
Le cap vert il y a qq années n'avait presque pas d'hotel faite y un tour maintenant ,la gambie pareil car ils ont les couilles de laisser les vrais professionnels maname gniko dianga dokhol mais quand on est diplomé du secteur la premiére chose que l'on te fait c la guerre il y a beaucoup de senegalais qui pourraient beaucoup apporter mais com les gens se croient omnipotent ay thiat
TOURISME et MENDICITé aucune difèrence , car on tend la mais et dire merci , DJEUREUJEUF DJEUREUJEUF . vous etes tous des mendiants ... et aucun pays ne se developpera avec la mendicitès comme princippale source de revenu
dèlou guinaw rèk , les pires ce sont nos compatriotes qui travaillent dans ce milieu , de vrai ''THIOGOUMAN'' tu les vois devant le touristes tête basse '''' OUI MONSIEUR , SI MADAME '', encore pire leur comportement d'esclave un comportement d'esclave ,
Entre un visa improvisé et des musulmans qui terrorisent la planète entière, le Senegal peut attendre encore longtemps les touristes. Je ne suis pas optimiste.
Frauderait purement et simplement casser le "monopole français" dans le secteur. C'est la racine du mal!
Promouvoir le promoteur local comme le Radisson Blu, qui d'ailleurs porte mal son succès à cause de la jalousie des opportunistes séculaires, "bombe par ici, machin par là!"
Oui, on sait. D'ailleurs, les récentes révélations sur les pratiques de 'Jeune Afrique" vis à vis de l'Afrique, nous ont assez édifié sur le cynisme des colons.
Le Sénégal est en effet trop chère ,le billet d'avion n'a toujours pas baissé regarde le prix Dakar Zig et le bateau tu ne peux pas réserver par internet ,la destination est sale et puis il y a quoi à voir a Dakar ? et bien pas grand chose la restauration est trop chère trop de laissé aller dans les hôtels en Casamance le seul qui respect le client la Paillote au cap mais 100€ la journée le prix du smig .Le Maroc est moitié prix avec la propreté un service de qualité et beaucoup de photos à faire
nous senegalais de l exterieur les hoteliers devaient faire des tarifs speciaux pour nous nous depensons plus que les touristes francais qui viennent au senegal
je veux simplement dire que le tourisme souffre de ses propres acteurs.
Je suis directeur d'hôtel en France. Je sais bien de quoi je parle.
Les acteurs dans ce met en Europe ne comptent pas que sur l'étranger. je fréquente les hôtels au Sénégal pendant mes séjours mais l'offre touristique ne s'adresse qu'aux étrangers. Raison pour laquelle ils subissent toutes sorte d'imprévus comme ebola, terrorisme et autres.
Il leur faut développer le tourisme local mais aussi des prix attractifs pour que les sénégalais en déplacement puissent se faire héberges sans avoir besoin de compter r famille et amis.
Il est parfois plus cher de dormir dans un hotel au Sénégal qu'en Europe.
J'ai essayé de conseiller un directeur d'hôtel sur la stratégie de revenu management mais ils sont sourds. Faut que l'état arrête d'injecter de l'argent pour rien. mettre cette argent plutôt dans les infrastructures publiques.
je suis d'accord avec JO bonne reflexion si on ne sait pas calculer ,on n'a pas sa place a ce niveau je suis desoler ce soi disant Racine SY qu'il faut chasser car il ne sait meme pas calculer entre 20% de 4 millards qui fait 800 millions et 12,5% de 4 millards qui fait 500 millions,serieusement c'est honteux . ce Racine Sy la , qu'est qui la apporter au senegal ou faire avancer au niveau touristique ou autre, j'aimerais bien le savoir svp il faut m'aider la car je suis vraiment larguer si quelqu'un peu me dire ? du coup ce monsieur occupe toutes les postes, dans quelle ecole ou universite imaginaire est-il sorti, et quels sont ces diplomes que personne n'a jamais vu ni de pres ou de loin ? les vrais mots et problemes du tourisme senegalais c'est lui personne d'autre. car il ne fait que se sucrer sur le dos des contribuables depuis autant d'annee c'est de mal en pire c'est un fleau ce monsieur ,il faut le virer pour donner un nouveau visage a ce secteur tant attractif qui fait partit du poumon de l'economie d'un pays qu'il ne faut pas negliger car il cree autant d'emplois qu'il genere de chiffre d'affaire
Donc je ne suis pas le seul a m'étonner du cas racine sy amul béne diplome lui permettant d'etre le patron de ce secteur et pas fou le gars il est devenu politicien pour assure ses arriéres temps qu'il sera le patron du secteur le tourisme du senegal n'ira nul part il est nul et bête il ne supporte aucune contradiction et il a bien verouillé le secteur en plaçant des ignares comme lui dans tous les postes ainsi c creve la faim combattent tous elements capables d'apporter des idées pouvant aider le secteur
la destination senegal est chere parcequ'il y'a qui s'enrichissent avec les taxes
pourquoi croyez vous que depuis 50 ans que nous sommes independant on continue a impoerter du riz par exemple eh bien parceque il y'a des gens haut places qui s'enrichissent
ils existent aussi des gens bien places qui s'enrichissent avec les inondations
senegal les uns arrivent volent et partent ceux qui suivent volent a leur tour ainsi de suite jusqu'a la banqueroute
Le mal du tourisme sénégalais, ce sont les sénégalais.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Lorsque des gens qui défèquent ou urinent sur la place publique ou jettent des saletés dans des caniveaux ne se reprochent rien du tout en vous répondant même hautainement qu'il s'agit de la rue de l'Etat (mbédou bour). Des gens qui ont fini de rendre les villes sales où les ordures se confondent aux décors qui jonchent les rues, les grands boulevards, les marchés et autres places publiques.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que perdure le phénomène de la mendicité qui frappe durement le visiteur étranger que je suis dès que je mets le pied en ville. Des mendiants innombrables, de tous sexes et de tous âges. Des vieux lépreux aux pauvres enfants exploités par des marabouts sans foi ni loi.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Aucune activité ludique, un service médiocre, des nuitées trop élevées. L'intérieur de certains hôtels est sale et négligé. La ventilation dans les chambres est très bruyante et le client a de la difficulté à dormir. Il n'y a rien à faire aux alentours. Il est très prétentieux de dire que les hôtels sont luxueux car tout y est défraichi et mal entretenu.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que les jeunes (des talibés) exploités, contraints de mendier dans les rues afin de subvenir à leurs besoins et aux besoins de leur maitre et de leur famille forment le décor de vos villes. Des talibés vivant dans des conditions très précaires, logés en surnombre dans des maisons délabrées où l’accès à l’eau, l’électricité, la santé et la nourriture est souvent difficile, des enfants victimes de sévices corporels.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que le touriste est pris pour un pigeon de son arrivée à l’aéroport jusqu’à son départ!
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que vos villes restent de grands bazars où l’on aménage des souks, des tables, des charriots sur les trottoirs, des villes où se déplacer devient de plus en plus difficile du fait de l’occupation des rues par des marchands ambulants qui n’hésitent pas à vous agresser avec leur pacotille à la chinoise.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que perdurent les aménagements sans précaution du littoral sénégalais par des promoteurs peu scrupuleux, le laisser-faire des aménageurs de la petite côte en l'occurrence la Sapco, l'insouciance des décideurs politiques locaux, l'inertie du gouvernement qui n'a pas su anticiper à temps, en un mot, tous ces organismes responsables et même coupables de la disparition des plages de la côte sénégalaise.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que se déplacer devient presque impossible avec la présence massive de tous ces individus sur les axes routiers à la faveur des embouteillages et qui slaloment entre les véhicules pour vendre journaux, fruits, cartes de crédits téléphoniques ou autres sans se soucier du danger qu'ils courent par eux-mêmes et qu'ils font courir aux autres, les hordes de mendiants tous âges et tous sexes confondus qui essaiment la même voie publique avec malheureusement une majorité d'enfants dont les conditions d'existence sont plus que déplorables.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Je préfère aller passer mes vacances ailleurs, dans des endroits plus propres où règnent l’ordre et la discipline, des endroits où je ne suis pas vu comme un simple vulgaire « pigeon » à déplumer, des endroits où tout le monde ou presque me souhaite la bienvenue, des endroits financièrement plus attractifs avec des offres de services bien meilleures, des endroits où la mendicité n’est pas vue comme un sport national, des endroits où les enfants sont protégés et non jetés dans la rue. En attendant que des solutions à ces problèmes soient trouvées, je vous dis, depuis mon Guédiawaye natal « Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
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25 Commentaires
Anonyme
En Août, 2015 (16:16 PM)Jam215
En Août, 2015 (16:19 PM)Moribond
En Août, 2015 (16:27 PM)les billets d'avion toujours chers, les lenteurs administratives à l'arrivée ( ouf depuis peu, on a gagné 1 heure pour sortir) avant de se retrouver à lutter ferme contre les porteurs, les taxis, les vendeurs de carte, les voleurs. Parcours à risques sur des routes dangereuses après les embouteillages de la capitale, des chauffards se chargent de vous donner le frisson de la mort.
Arrivés à l'hôtel, on se bouge lentement à la réception, le confort des chambres ...mouais...climatisation capricieuse, rangements sommaires, salle d'eau ....on passe,
arrive l'heure du repas....faut vraiment avoir faim et ne pas s'égarer du côté des cuisines. Allons à la plage....sale, dangereuse autant par son littoral océanique que par le combat perpétuel contre les vendeurs de tte catégorie ; antiquités, sexuels, et casse-pieds. Allons faire un tour en ville : des gamins qui mendient, des voitures parquées sur les trottoirs. Enfin je suggère et espère que ce commentaire sera lu par ceux qui veulent à tous prix recevoir des touristes récalcitrants à l'arnaque généralisé. Dé !
Jo
En Août, 2015 (16:28 PM)Primo: 500 millions fait 12.5% de 4 millards et non pas 20% qui fait 800 millions. Si vous ne savez pas calculez qq chose aussi simple il ne faut pas vous donner un budget à gérer.
Secondo: un "professionnel" ne "crache" pas sur sa profession. Sachez choisir mieux vos mots sinon on risqué de vous prendre pour un "non professionnel" de votre métier. Vraiment.
Indigné
En Août, 2015 (16:36 PM)Anonyme
En Août, 2015 (16:39 PM)Anonyme
En Août, 2015 (16:40 PM)Place à l'action, il faut un plan Marshall d'envergure pour relancer l'attractivité du pays.
Baisser les prix du billet d'avion, augmenter les rotations vers la Casasance, impliquer la population dans tous les sens du terme, etc....
Ou est la promesse de Macky concerant les impôt sur les bénéfices pour les futurs investisseurs ? Dans un placard certainement
Il y a du boulot là !!!
Mais, il faut agir rapidement. La saison va bientôt débuter.
Anonyme
En Août, 2015 (17:28 PM)Anonyme
En Août, 2015 (18:18 PM)le client c'est qui le négro ou le gentil toubab ?
alors supprimez les nègres et le toubab viendra au sénégal
Deug Deug
En Août, 2015 (18:30 PM)Anonyme
En Août, 2015 (18:37 PM)Anonyme
En Août, 2015 (19:28 PM)Anonyme
En Août, 2015 (19:42 PM)Le cap vert il y a qq années n'avait presque pas d'hotel faite y un tour maintenant ,la gambie pareil car ils ont les couilles de laisser les vrais professionnels maname gniko dianga dokhol mais quand on est diplomé du secteur la premiére chose que l'on te fait c la guerre il y a beaucoup de senegalais qui pourraient beaucoup apporter mais com les gens se croient omnipotent ay thiat
Mag
En Août, 2015 (21:07 PM)LE SENEGALAIS FAIT COMME IL VEUT SANS ESSAYER DE COMPRENDRE LES ATTENTES DE L'AUTRE :LE TOURISTE
CETTE DEMARCHE IMPLIQUE UN GRANDE REMISE EN CAUSE DE NOS CERTITUDES.
ARRETONS DE VOULOIR FAIRE TOUT A NOTRE SAUCE , SA NE CONVIENT PAS FORCEMENT AUX AUTRES .
Serigne Mor Diop
En Août, 2015 (21:07 PM)dèlou guinaw rèk , les pires ce sont nos compatriotes qui travaillent dans ce milieu , de vrai ''THIOGOUMAN'' tu les vois devant le touristes tête basse '''' OUI MONSIEUR , SI MADAME '', encore pire leur comportement d'esclave un comportement d'esclave ,
Tourisme
En Août, 2015 (21:30 PM)Self
En Août, 2015 (00:25 AM)Promouvoir le promoteur local comme le Radisson Blu, qui d'ailleurs porte mal son succès à cause de la jalousie des opportunistes séculaires, "bombe par ici, machin par là!"
Oui, on sait. D'ailleurs, les récentes révélations sur les pratiques de 'Jeune Afrique" vis à vis de l'Afrique, nous ont assez édifié sur le cynisme des colons.
Anonyme
En Août, 2015 (05:59 AM)Anonyme
En Août, 2015 (09:40 AM)Sow Hamidou
En Août, 2015 (11:16 AM)j'écris rarement sur ce forum.
je veux simplement dire que le tourisme souffre de ses propres acteurs.
Je suis directeur d'hôtel en France. Je sais bien de quoi je parle.
Les acteurs dans ce met en Europe ne comptent pas que sur l'étranger. je fréquente les hôtels au Sénégal pendant mes séjours mais l'offre touristique ne s'adresse qu'aux étrangers. Raison pour laquelle ils subissent toutes sorte d'imprévus comme ebola, terrorisme et autres.
Il leur faut développer le tourisme local mais aussi des prix attractifs pour que les sénégalais en déplacement puissent se faire héberges sans avoir besoin de compter r famille et amis.
Il est parfois plus cher de dormir dans un hotel au Sénégal qu'en Europe.
J'ai essayé de conseiller un directeur d'hôtel sur la stratégie de revenu management mais ils sont sourds. Faut que l'état arrête d'injecter de l'argent pour rien. mettre cette argent plutôt dans les infrastructures publiques.
Lss
En Août, 2015 (13:38 PM)Diaspora
En Août, 2015 (13:57 PM)Anonyme
En Août, 2015 (19:52 PM)Anonyme
En Août, 2015 (21:33 PM)pourquoi croyez vous que depuis 50 ans que nous sommes independant on continue a impoerter du riz par exemple eh bien parceque il y'a des gens haut places qui s'enrichissent
ils existent aussi des gens bien places qui s'enrichissent avec les inondations
senegal les uns arrivent volent et partent ceux qui suivent volent a leur tour ainsi de suite jusqu'a la banqueroute
Deugue Dji
En Août, 2015 (11:51 AM)Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Lorsque des gens qui défèquent ou urinent sur la place publique ou jettent des saletés dans des caniveaux ne se reprochent rien du tout en vous répondant même hautainement qu'il s'agit de la rue de l'Etat (mbédou bour). Des gens qui ont fini de rendre les villes sales où les ordures se confondent aux décors qui jonchent les rues, les grands boulevards, les marchés et autres places publiques.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que perdure le phénomène de la mendicité qui frappe durement le visiteur étranger que je suis dès que je mets le pied en ville. Des mendiants innombrables, de tous sexes et de tous âges. Des vieux lépreux aux pauvres enfants exploités par des marabouts sans foi ni loi.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Aucune activité ludique, un service médiocre, des nuitées trop élevées. L'intérieur de certains hôtels est sale et négligé. La ventilation dans les chambres est très bruyante et le client a de la difficulté à dormir. Il n'y a rien à faire aux alentours. Il est très prétentieux de dire que les hôtels sont luxueux car tout y est défraichi et mal entretenu.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que les jeunes (des talibés) exploités, contraints de mendier dans les rues afin de subvenir à leurs besoins et aux besoins de leur maitre et de leur famille forment le décor de vos villes. Des talibés vivant dans des conditions très précaires, logés en surnombre dans des maisons délabrées où l’accès à l’eau, l’électricité, la santé et la nourriture est souvent difficile, des enfants victimes de sévices corporels.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que le touriste est pris pour un pigeon de son arrivée à l’aéroport jusqu’à son départ!
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que vos villes restent de grands bazars où l’on aménage des souks, des tables, des charriots sur les trottoirs, des villes où se déplacer devient de plus en plus difficile du fait de l’occupation des rues par des marchands ambulants qui n’hésitent pas à vous agresser avec leur pacotille à la chinoise.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que perdurent les aménagements sans précaution du littoral sénégalais par des promoteurs peu scrupuleux, le laisser-faire des aménageurs de la petite côte en l'occurrence la Sapco, l'insouciance des décideurs politiques locaux, l'inertie du gouvernement qui n'a pas su anticiper à temps, en un mot, tous ces organismes responsables et même coupables de la disparition des plages de la côte sénégalaise.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Tant que se déplacer devient presque impossible avec la présence massive de tous ces individus sur les axes routiers à la faveur des embouteillages et qui slaloment entre les véhicules pour vendre journaux, fruits, cartes de crédits téléphoniques ou autres sans se soucier du danger qu'ils courent par eux-mêmes et qu'ils font courir aux autres, les hordes de mendiants tous âges et tous sexes confondus qui essaiment la même voie publique avec malheureusement une majorité d'enfants dont les conditions d'existence sont plus que déplorables.
Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
Je préfère aller passer mes vacances ailleurs, dans des endroits plus propres où règnent l’ordre et la discipline, des endroits où je ne suis pas vu comme un simple vulgaire « pigeon » à déplumer, des endroits où tout le monde ou presque me souhaite la bienvenue, des endroits financièrement plus attractifs avec des offres de services bien meilleures, des endroits où la mendicité n’est pas vue comme un sport national, des endroits où les enfants sont protégés et non jetés dans la rue. En attendant que des solutions à ces problèmes soient trouvées, je vous dis, depuis mon Guédiawaye natal « Non merci, moi touriste, je ne viens pas.
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