Robert Bourgi: " Ali Bongo est un cancer qu'il faut extirper..."
Par: senewebvideos - Seneweb Videos |
06 septembre, 2016 à 10:09:55
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51 Commentaires
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27 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2016 (10:31 AM)IL faut que tous les Presidents Africain interdisent ce gordiguene de BOURGI de rentrer dans leur pays. l'enemie numero 1 des africain c'est lui ROBERT BOURG
Anonyme
En Septembre, 2016 (10:39 AM)Il parle exactement comme Laurent Fabius quand il poussait à ll'attaque contre bachar el assad: "bachar ne merite pas de vivre.", disait-il. on sait maintenant pourquoi.
je souhaite à ce menteur de Bourgi de perdre l'usage de la parole, ainsi il pourra voir ce que sa langue bifide a fait de mal en Afrique
Anonyme
En Septembre, 2016 (10:48 AM)apres ce Communiqué Conseil des Ministres du mercredi 20 Janvier 2016
Rappelant l’importance primordiale qu’il accorde à la bonne conservation des archives et documents administratifs, le Président de la République invite le Gouvernement à veiller, dans les ministères et structures publiques, au traitement et au reversement réguliers des archives conformément aux lois et règlements en vigueur. Dans ce cadre, le Chef de l’Etat demande au Premier Ministre de renforcer les moyens logistiques, humains et financiers de l’Ecole des Bibliothécaires, Archivistes et Documentalistes (EBAD), et de la Direction des Archives Nationales. Il l’invite également à lui proposer, dans les meilleurs délais, un Programme de Modernisation de la Gestion des Archives qui intègre la réalisation, à court terme, d’un Centre National des Archives, au Pôle urbain de Diamniadio.
jusqua present rien mais le heuresement le PR a dit qu il a pris note
Anonyme Le Niorois
En Septembre, 2016 (11:38 AM)@2
En Septembre, 2016 (11:51 AM)Comment une être doté de neurones peut écrire
"Ali bongo est le mieux indiqué pour diriger le Gabon"
sachant que le siège de l'opposant a été BOMBARDE - Ping et Bongo sont 2 étrons.(la peste ou le choléra)
@2/En rédigeant cette phrase d'esclave de ta haine tu n'aspires pas à l'épanouissement du peuple gabonais.. : ton seul souci la France,la France,la France...
Oublie Hollande il a d'autres chats à fouetter : la crise économique,la crise sécuritaire,les prochaines élections en France....
Petrotim
En Septembre, 2016 (11:53 AM)Allez gueuler dans la rue au lieu de pianoter derrières de ordis ...
Anonyme
En Septembre, 2016 (12:19 PM)Yusufa
En Septembre, 2016 (12:24 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (13:06 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (13:09 PM)Kontaan
En Septembre, 2016 (13:10 PM)Teignokhor
En Septembre, 2016 (13:26 PM)@14
En Septembre, 2016 (13:35 PM)Non un des 2 va assombrir la pellicule-résultat des courses : les dents & les yeux...
pour s'abaisser à ton raisonnement de cafard...
la connerie haineuse est l'attitude la plus facile à pratiquer, de tonnes d'immondices racistes sur cette planète : pauvre hère !!
Anonyme
En Septembre, 2016 (14:40 PM)Lougatois
En Septembre, 2016 (15:24 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (15:49 PM)Maître corbeau prenez garde de ne jamais perdre votre fromage en 2016 tout le monde regarde et ecoute meme ceux que vous pensez être des IGNARDS
Ps: humilité c est pas dans dictionnaire bourgi..
Peace
Leuk
En Septembre, 2016 (16:17 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (17:36 PM)Blessé d’avoir été mis hors circuit par Sarkozy à la demande de Juppé, l’ancien «Monsieur Afrique» de l’Elysée se lâche.
Robert Bourgi ne dit jamais rien gratuitement. En ouvrant grand les portes de l’arrière-boutique de la Françafrique, cet avocat franco-libanais sait pertinemment qu’il vient de brûler ses vaisseaux. «Il perd sur tous les tableaux, s’inquiète l’un de ses amis. Plus aucun chef d’Etat africain ne va vouloir le recevoir et il risque une mise en examen pour son rôle dans les détournements de fonds.» Lui qui a vécu en Côte-d’Ivoire, où il a fréquenté aussi bien Félix Houphouët-Boigny que Laurent Gbagbo, pourrait faire sien ce dicton local : «Cabri mort ne craint pas le couteau.»
Humiliation. Blessé, à tout le moins, Robert Bourgi l’est profondément. De ces blessures d’amour propre qui font le plus mal. «Il est humilié, car il a été répudié», dit l’un de ses proches, en évoquant l’attitude de l’exécutif à son encontre. En tirant à vue sur Jacques Chirac et Dominique de Villepin dans le Journal du dimanche, l’avocat vise en réalité d’autres cibles. En premier lieu, le ministre des Affaires étrangères, Alain Juppé, qui avant de prendre la direction du Quai d’Orsay a exigé et obtenu que le sulfureux intermédiaire soit mis hors circuit. Son prédécesseur, Bernard Kouchner, s’y était essayé. En vain : Bourgi était alors protégé par le puissant secrétaire général de l’Elysée, Claude Guéant.
En mai, c’est Alain Juppé lui-même qui a biffé le nom de Robert Bourgi sur la liste des invités à la cérémonie d’investiture à Yamoussoukro du président ivoirien, Alassane Ouattara. «Ce dernier était prêt à le recevoir, à la demande de Claude Guéant, mais Juppé a mis son veto», confirme un proche du chef de l’Etat ivoirien. Pour Robert Bourgi, ce fut peut-être l’humiliation de trop. Alors il se venge et dégoupille sa bombinette en révélant au JDD qu’Omar Bongo, le défunt président du Gabon, a payé «entre 1981 et 1992» le loyer du Club 89, dirigé alors par Juppé et installé sur la prestigieuse avenue Montaigne, à Paris. «Les espèces du président gabonais ont fait vivre les permanents pendant des années», lâche Bourgi. S’il chute et se retrouve face aux juges, autant ne pas tomber seul.
Ce message subliminal, l’Elysée et la Place Beauvau l’ont probablement reçu cinq sur cinq. Car au-delà de Juppé, c’est bien le tandem Sarkozy-Guéant qui a déçu Robert Bourgi. «Il est marginalisé depuis des mois à Paris, dit un bon connaisseur des réseaux déclinants de la Françafrique. Du coup, il disparaît des écrans radars du village franco-africain, et il en est mortifié.»
Repentance. Sur le continent, Robert Bourgi est en train de perdre pied. Ses proches le lâchent. En Côte-d’Ivoire, Laurent Gbagbo est tombé. Au Gabon, le successeur d’Omar Bongo, son fils Ali, «le reçoit pour éviter d’avoir des problèmes avec lui», dit un initié. L’été dernier, Robert Bourgi, qui est né et a grandi au Sénégal, s’est même brouillé à mort avec le fils du président Abdoulaye Wade, Karim, assurant que ce dernier lui avait téléphoné nuitamment pour demander - sans succès - l’intervention de l’armée française à Dakar, en proie à des émeutes. Robert Bourgi, qui se targue de travailler bénévolement pour défendre les intérêts de la France, tout en étant payé par les dirigeants africains (Libération du 10 juillet 2009), n’a plus la cote. Au chômage technique, il a, semble-t-il, décidé de procéder à une sortie de scène fracassante, qu’il présente comme un acte de repentance.
Jusqu’où ira-t-il dans ses confessions ? Pour l’heure, Robert Bourgi a «blanchi» Nicolas Sarkozy, citant dans le JDD les propos que lui aurait tenus, en 2005, le futur président : «Il m’a demandé de travailler pour lui, mais sans le système de financement par valises.» Une version que contredit l’ancien Monsieur Afrique de Chirac, Michel de Bonnecorse : dans le livre de Pierre Péan (1), il affirme que Bourgi aurait rallié le panache de Sarkozy avec l’argent prévu pour financer non seulement la candidature à la présidentielle du ministre de l’Intérieur, mais aussi celle de Villepin. «Qui peut croire sérieusement que ce système s’est arrêté net avec le nouveau président ? dit l’ami de Bourgi. Sarkozy l’a coopté en toute connaissance de cause.»
Missi dominici. En 2007, le nouveau président lui remettait la Légion d’honneur, évoquant alors «un grand serviteur» de la France, avant de lancer : «Je sais, cher Robert, pouvoir continuer à compter sur ta participation à la politique étrangère de la France, avec efficacité et discrétion.» Il se trompait sur un point : la discrétion. Robert Bourgi a, certes, continué à jouer les missi dominici entre les dirigeants de l’ancien «pré carré» francophone, rendant quantité de services de part et d’autre de la Méditerranée. Il a su aussi se rendre utile dans le registre de la «diplomatie parallèle», rencontrant les nouveaux hommes forts de Madagascar et de Mauritanie, alors que la France condamnait officiellement leurs coups d’Etat. Mais il a jeté par-dessus bord le conseil de son mentor, Jacques Foccart, l’ex-monsieur Afrique de De Gaulle et de Chirac : «Si tu ne veux pas attraper un coup de soleil, reste à l’ombre.» En 2008, il raconte avec gourmandise comment Bongo a obtenu la tête de Jean-Marie Bockel, le secrétariat d’Etat à la Coopération qui voulait signer «l’acte de décès de la Françafrique». En 2009, il explique au Monde rouler pour le fils d’Omar Bongo, Ali, à la présidentielle. L’Elysée lui demande de faire profil bas. Mais Bourgi ne veut plus rester dans l’ombre.
Avec l’arrivée de Juppé au Quai d’Orsay, il a revécu le traumatisme subi sous Chirac, quand il s’était senti méprisé, lui qui avait porté tant de valises et rendu tant de services. Cette fois, le trublion a refusé de rentrer dans sa boîte. «Sarkozy et Guéant ont commis une grave erreur : ils ont délaissé Bourgi, dit un proche. Il est devenu excessivement dangereux.»
Anonyme
En Septembre, 2016 (17:56 PM)Simplement
En Septembre, 2016 (19:06 PM)Ils sont prets à sacrifier leur peuple pour uniquement des ambitions personnelles... C'est triste
Hahahahahahaha
En Septembre, 2016 (20:23 PM)beugnnn douu reee diamaaaa
Asss
En Septembre, 2016 (20:34 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (22:39 PM)Anonyme
En Septembre, 2016 (02:44 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (03:02 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (08:34 AM)Anonyme
En Septembre, 2016 (08:57 AM)Participer à la Discussion