Les "Lions" n'ont pas été nombreux à être décisifs en club ce weekend, contrairement à ce que nous avons pu constater ces dernières semaines. De retour de blessure, Ismaïla Sarr est sans nul doute le Sénégalais du weekend. Du haut de ses 19 ans, le messin, de retour de blessure, a inscrit l'un des buts de l'année. Une merveille. Très attendu après ses récentes performances, Issiar Dia s'est montré décisif mais n'a rien pu faire pour empêcher la défaite de son équipe face à l'OGC Nice. En Italie, Keïta Baldé a perdu des points dans la bataille qui l'oppose à Kalidou Koulibaly pour la troisième place.
Ismaïla Sarr et le but de l'année
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— (@Galsenfoot) 15 avril 2017
Si le FC Metz ne regrette pas une chose, c'est bien d'avoir fait signer le jeune Ismaïla Sarr en début de saison. Décisif dès son arrivée en terre messine, la pépite sénégalaise ne cesse d'éclabousser la Ligue 1 de son talent précoce. Un fort potentiel matérialisé depuis son retour de la Coupe d'Afrique en janvier avec ses 3 premiers buts inscrits dans l'hexagone sous les couleurs de son nouveau club. Ce samedi face à Caen, cantonné sur le banc de touche dans un premier temps, il a su marquer les esprits dès son entrée en jeu. En effet, 88 secondes après avoir foulé la pelouse du stade Saint-Symphorien, Ismaïla a inscrit d'une reprise de volée magistrale le but de la semaine. L'un des buts de l'année tout simplement. Malheureusement, ce bijou n'aura pas empêché le partage, le match nul des "Grenats" face au Stade Malherbe (2-2). En voyant la progression fulgurante du jeune espoir sénégalais, et l'intérêt grandissant de certains grands clubs français, il sera difficile pour le FC Metz de conserver son joyau.
Issiar reste sur sa lancée mais Nancy n'en profite pas
Très en vue ces dernières semaines, Issiar Dia a une nouvelle fois été décisif ce samedi sur la pelouse de Nice. C'est lui qui a offert l'ouverture du score à Dalé après 30 minutes de jeu. Toutefois, si l'ancien joueur de Fenerbahce (Turquie) tente de tirer son équipe vers le haut, ses coéquipiers ne sont pas toujours à la hauteur de la Ligue 1. A l'Allianz Riviera, les hommes de Pablo Correa ont une nouvelle fois montré leurs limites. Après avoir encaissé le but de l'égalisation peu avant la mi-temps, ils se sont inclinés sur le score de 3 buts à 1. Une défaite qui les empêche de profiter de profiter de la rechute de Lorient (18e) et de Zargo Touré qui occupent la place de premier relégable avec le même nombre de points (31) que la formation Lorraine.
Encore buteur, Younouss Sankharé aime décidément la Gironde
4e but de Younousse Sankhare avec Bordeaux pic.twitter.com/fpgkbeBXWd
— (@Galsenfoot) 16 avril 2017
Younouss Sankharé était devenu l'ombre de lui-même après son transfert à Lille, en provenance de Guingamp. Mais, depuis son transfert à Bordeaux lors du mercato hivernal, le milieu international sénégalais a retrouvé ses sensations et il a fini de s'imposer dans l'effectif des Girondins. Ce dimanche, il a une nouvelle fois montré le chemin à ses partenaires sur la pelouse de Nantes. Le joueur formé au PSG a en effet inscrit le seul et unique but de la rencontre. Grand absent de la liste des 23 sélectionnés par Aliou Cissé pour la CAN, il a inscrit son troisième but lors des 5 derniers matches de sa formation.
Keïta Baldé laisse Kalidou Koulibaly filer
En déplacement sur la pelouse du Genoa ce samedi, la Lazio Rome de Keïta Baldé a très certainement dit adieu à la Ligue des champions après son match nul (2-2). Si le club de la capitale peut mathématiquement aller chercher la troisième place à 6 journées de la fin, on voit mal Naples lui céder du terrain en sachant que les partenaires de Koulibaly n'ont pas moins de 9 points d'avance. Pire, la Lazio pourrait voir revenir les 2 clubs de Milan et ainsi être privée d'une qualification en League Europa. Si Kalidou Koulibaly peut encore aller chercher la deuxième place en rattrapant les deux points qui le sépare de la Roma, la fin de saison s'annonce tendue pour la bande à la pépite "Lazialé". En bas du tableau, Mame Baba Thiam et Assane Diousse (Empoli) se sont donnés un peu d'air après la victoire obtenue sur la pelouse de la Fiorentina. Empoli possède désormais 5 points d'avance sur le premier relégable Crotone.
Des Lions stroboscopiques en Angleterre
Comme bien souvent malheureusement, les Lions brillent de manière stroboscopique en Premier League. Il est d'ailleurs rare de voir deux joueurs sénégalais être décisifs sur une même journée, voire sur deux. Lorsque les uns cirent le banc de touche, les autres jouent mais n'ont pas vraiment l'impact attendu au sein de leurs équipes respectives. Fort heureusement, à quelques journées du terme, ils ne sont pas nombreux à être sérieusement menacés par une relégation. Transféré cet été à Sunderland en provenance de Chelsea, Papy Djiobolodji, qui ne joue d'ailleurs plus, se dirige tout droit vers la deuxième division. Son club occupe la dernière place de Premier League. Espérons que la saison à venir sera bien meilleure pour les "Lions" évoluant en Angleterre car, en dehors du génie de Sadio Mané et la constance de Gana Guèye, cette saison ne pèsera assurément pas lourd dans l'histoire pour les autres.
2 Commentaires
Anonyme
En Avril, 2017 (15:37 PM)Anonyme
En Avril, 2017 (17:37 PM)Depuis 40 ans à moins que ce ne soit plus, je ne me souviens pas, j’ai fait tout mon possible pour donner aux gens des maisons, des hôpitaux, des écoles, et, quand ils avaient faim, je leur ai donné à manger. À Benghazi, j’ai même transformé le désert en terres arables, j’ai tenu tête aux attaques de ce cow-boy, Reagan, quand il a tué ma fille adoptive orpheline. Essayant de me tuer, il a tué à la place cette pauvre enfant innocente. Ensuite, j’ai épaulé mes frères et sœurs d’Afrique avec de l’argent pour l’Union africaine.
J’ai fait tout mon possible pour aider les gens à comprendre le vrai concept de démocratie, qui consiste en des comités populaires dirigeant leur pays. Mais ce n’était jamais assez, comme me l’ont dit certains. Même ceux qui possédaient une maison de 10 chambres, des costumes et du mobilier neufs, n’étaient jamais satisfaits.
Ils étaient si égoïstes qu’ils en voulaient toujours plus. Ils ont dit aux Zuniens et aux autres visiteurs qu’ils avaient besoin de « liberté » de « démocratie » et n’ont jamais réalisé qu’il s’agit d’un système de panier à crabes, où le plus gros bouffe les autres.
Ils étaient seulement ensorcelés par ces mots, sans jamais réaliser qu’en Zunie, il n’y a pas de médicaments gratuits, ni d’hôpitaux gratuits, ni de logement gratuit, ni d’enseignement gratuit, ni non plus de nourriture gratuite, sauf quand les gens sont obligés de mendier ou de faire longtemps la queue pour avoir de la soupe.
Non, peu importe ce que j’ai réalisé ! Pour certains ce n’était jamais assez. Mais les autres savaient que j’étais le fils de Gamal Abdel Nasser, le seul vrai leader musulman arabe que nous avons eu depuis Salah-al-Din. Nasser était sur ses traces quand il a exigé le canal de Suez pour son peuple, tout comme j’ai réclamé la Libye pour mon peuple. J’ai essayé de l’imiter pour garder mon peuple libre de la domination coloniale, des voleurs qui nous détroussent.
Maintenant, je suis attaqué par la plus grande force de l’histoire militaire. Obama, mon petit-fils africain, veut me tuer, priver notre pays de liberté, nous priver de la gratuité de nos biens : logements, médecine, éducation, nourriture, et remplacer tout ça par la grivèlerie à la zunienne appelée « capitalisme ».
Or, nous tous dans le tiers monde savons ce que cela veut dire. Cela signifie que les multinationales dirigeront le pays, dirigeront le monde, et le peuple souffrira. Voilà pourquoi il n’y a pas d’autre solution pour moi, je dois prendre mes dispositions.
Et si Allah le veut, je mourrai en suivant Sa Voie, la voie qui a rendu notre pays riche en terres arables, avec de quoi manger et la santé, et nous a même permis d’aider nos frères et sœurs africains et arabes en les faisant travailler ici avec nous, dans le Jamahiriya libyen.
Je ne désire pas mourir, mais si cela devait advenir, pour sauver cette terre, mon peuple, tous ces milliers de gens qui sont tous mes enfants, alors qu’il en soit ainsi.
Que ce testament soit ma voix dans le monde. J’ai tenu tête à l’agression des croisés de l’OTAN, résisté à la cruauté, contrecarré la trahison. Je me suis élevé contre l’Occident et ses ambitions colonialistes, et avec mes frères africains, mes vrais frères arabes et musulmans, je suis dressé comme un phare de lumière.
Quand d’autres construisaient des châteaux, je vivais dans une maison modeste et dans une tente. Je n’ai jamais oublié ma jeunesse à Syrte, je n’ai pas stupidement dépensé notre trésor national, et comme Salah-al-Din, notre grand leader musulman qui sauva Jérusalem pour l’Islam, je n’ai guère pris pour moi-même.
En Occident, sachant pourtant la vérité, certains me qualifient de « fou ». Ils continuent de mentir, ils savent que notre pays est indépendant et libre, et non pas sous emprise coloniale, que ma vision, ma conduite, est sincère pour mon peuple, et que je me battrai jusqu’à mon dernier souffle pour garder notre liberté.
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