Télécoms au Sénégal : l’État veut revoir les règles du jeu
The economic and financial report accompanying the 2026 finance bill mentions the revision of the Sonatel and Expresso concession agreements, a decision that marks a turning point in the regulation of the telecommunications sector in Senegal.
This measure reflects the State's desire to clarify certain contractual grey areas, improve transparency and consolidate its economic sovereignty in a strategic area.
However, this initiative could revive tensions with incumbent operators, whose investments support a significant part of the national digital economy.
The challenge will be to find a balance between compliance requirements, maintaining the attractiveness of the sector and preserving a stable business climate.
In this context, the success of this review will also depend on the authorities' ability to establish a constructive dialogue with the stakeholders concerned, while ensuring that regulation serves the national interest without discouraging innovation and future investment.
Commentaires (10)
Au Sénégal contrairement au reste du monde les débits offerts à l'abonnement fibre optique, le réseau backbone qui compose les bases de la structure des infrastructures numérique nerfs de l'économie moderne sont dérisoires, faibles et ridicules une dizaine voir deux ou trois dizaines en Megabits par secondes à la place de la norme mondiale qui est désormais au minimum le GIGABITS par seconde ( 1 Gbps/s=1000 Mbps/s). La qualité et les performances d'un réseau s'apprécient par sa capacité à convoyer le MAXIMUM DE DONNÉES PAR SECONDE comme le serait pour un autoroute où les voitures se mettraient en queue dans des embouteillage avec un chaussé d'une dizaine de mètres de large comparée une autre autoroute de plusieurs voies par sens et chaque assez larg.
En Outre aussi un autre aspect qui mérite d'être signalé il faut parler du scandale de la pénétration de l'internet en milieu rural et de la couverture totale du territoire où c'est réseau sans 3G et 4G avec ses Pass qui font la loi voir le vide en périphérie plus éloignée dans les zones centre et frontalière qui sont sans solution obligées d'innover et on voit apparaître et se développer un nouveau phénomène avec l'arrivée de KIT STARLINK alimentés au solaire ou batteries de voitures avec l'ouverture des pays des Etats du Sahel Mali Burkina et Niger qui ont autorisé l'opérateur internet satellitaire d'exercer. Les kits Starlink sont achetés dans ces pays voisins dans nos zones frontalières où les populations sans alternatives locales sont obligées de s’y rabattre on commence alors à les voir chez nous dans ces zones. Plus fiables et rapides en connexion les débits voisinent les 200 Mbps/s et les abonnements autour 20000 f cfa sont facilement payés en cotisations en établissement d’un réseau local entre maisons ce qu’Orange SN refuse ici ou par les cyber points de connexion où les populations se regroupent et les taxes et TVA y afférente payés avec les abonnements sont aux profits de ces états voisins de la sous région une perte de l'état du Sénégal qui devait être le premier à offrir cette solution satellitaire qui au delà de trouver une solution durable pour couverture totale du territoire, les zones éloignées du centre etc serait une alternative sécuritaire de notre INDÉPENDANCE et notre souveraineté numérique avec la multiplication des sources d'accès aux autoroutes internationales de la communication du réseau mondial.
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