Dakar-Abidjan-Cotonou : le vol d’Air Sénégal frôle la catastrophe
Shortly after taking off from Blaise Diagne International Airport (AIBD) for Cotonou (Benin) via Abidjan (Ivory Coast), an Air Senegal flight encountered a technical problem that forced it to return to its point of origin. L'Observateur, which reported the incident in its Thursday edition, stated that while the aircraft was "above the clouds, the crew encountered a critical failure of the windshield, a failure (a system malfunction, a component breakage, not to be confused with a crack) deemed beyond any operational tolerance."
The captain then decided to turn back, initiating emergency procedures, the newspaper reports. It also states that the flight was carrying 142 passengers; 77 were bound for Abidjan and the remaining 65 were headed to Cotonou.
Commentaires (54)
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Au moins utilisez co pilote chatgpt
Un avion rebrousse chemin souvent meme après des heures de vol pour des problèmes techniques.
C est très courant.
Vous vous dites" frôler la catastrophe "
Bon chacun avec son niveau d information aussi.
Il s'agit simplement de se conformer aux procédures et règlements en la matière pour s'en tirer sain et sauf
Ca arrive dans toutes les compagnies et il vaut mieux prevenir que guerrir
Il faut savoir que Air Sénégal ne rembourse même pas les frais de carburants ou de taxis ou autres et que les voyageurs ayant perdus leurs bagages ne sont jamais indemnisés.
Ngir Yalla, il faut arrêter cette compagnie qui fait souffrir ses voyageurs avec les retards, les disparitions de bagages et leurs incompétences avant qu'il ne soit trop tard !
Vous êtes ignorants
Tu es un ignorant
Si tu voyageais plus tu saurais que cela est courant
Le niveau d’endettement avec un titre alarmiste toutes les 48 h
Les vols d’air Sénégal avec des titres alarmistes
Si j’étais Air Sénégal je ne resterais pas passif
Non seulement je riposterais en communication mais je porterais volontiers plainte
Contre les oiseaux de mauvaise augure
N’importe quel cartouchard de l’université ou chômeur endurci crée son journal et fait des dégâts
Après ils gueulent pour la liberté d’expression et pour être subventionnés
Subventionné pour écrire des sottises
En sollicitant une telle information vous montrez que vous accorder de l’importance à un fait qui ne veut rien dire
Ou
Chercher à décrédibiliser un fabricant d’avions
Les avions qui décollent et rebroussent chemin, il y en a plusieurs par jour. Dakar/Abidjan c'est 2H 30 mn de vol. Abidjan/Cotonou c'est 59 mn. Il doit pleuvoir beaucoup sur cet axe ou zone qui est beaucoup fréquentée par les aéronefs (l'axe Abidjan/Lagos).
Pour une ennui autre, la "Pointe de Sangomar" en route pour Abidjan, rebroussa chemin au dessus de la ville de Koungheul, alors qu'il pouvait aller jusquà Bamako sans problème.
La même "Pointe de Sangomar" a eu un hublot brisé au-dessus de Palma Mallorque. Un incident plus sérieux. Mais se posa calmement grâce au sang froid de son pilote très expérimenté.
Lorsqu'un commandant de bord évalue une situation ou une anomalie donnée, ne voulant prendre aucun risque, il demandera au pilote de rebrousser chemin.
La ville mauritanienne de Nouadhibou a été le théâtre, le 1er décembre, d’une affaire aussi spectaculaire qu’inédite. Vingt pêcheurs sénégalais ont volé une pirogue pour tenter de rallier les îles Canaries, rapporte EnQuête.
Le capitaine Mamadou Diop, présenté comme le cerveau de l’opération, et ses compagnons ont été arrêtés au large des côtes marocaines après une longue course-poursuite.
La pirogue appartenait à Oumar Sène. Son fils, qui se trouvait à bord au moment du vol, a été attaché puis abandonné dans une autre embarcation. Alertés, Oumar Sène, Abdoulaye Sène et Bara Aliou Kane se sont lancés à la poursuite des fugitifs, jusque dans les eaux territoriales marocaines. Une bataille maritime s’est alors engagée avant que les auteurs ne capitulent, épuisés.
Les vingt pêcheurs ont finalement été remis à la marine mauritanienne de Nouadhibou pour interrogatoire. Cette affaire, qualifiée de rocambolesque par EnQuête, relance le débat sur l’émigration irrégulière, malgré le renforcement des dispositifs de surveillance maritime.
A part l'équipage à bord qui est courtois et professionnel tout le reste est à revoir !
Tu auras beau à vouloir les soutenir en tant que Sénégalais pour voyager chez eux mais yomboul .
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