Tourisme au Sénégal : Relance freinée par les fermetures d’hôtels et les défis d’attractivité
“The Senegalese tourism sector is going through a difficult period,” observes the Minister of Culture, Crafts, and Tourism. Despite the country’s considerable potential, several iconic establishments have had to close their doors, including Savana, Espadon, Club Aldiana, and Domaine de Nianing. These closures are affecting not only employment but also the entire local economy linked to tourism.
"We must strengthen tourist appeal while effectively regulating activities," the minister recalled during the presentation of the 2026 budget. The Senegalese coastline, cultural sites such as Gorée Island, Fort Pinet Laprade, and craft villages, as well as religious tourism in Darou Mouhty, Géoul and Wadane Sougou, represent major assets for the country.
To revive the sector, several measures are being considered. "An audit of tourist centers, such as the one in Vélingara, is necessary to guarantee efficient operation," the minister stated. He also emphasized the importance of registering all hotel accommodations and regulating guesthouses, hostels, and platforms like Airbnb and Booking. The merger between SAPCO and ASPT should streamline promotional structures and reduce the bloated staff.
The minister stressed the need to mobilize the Senegalese diaspora. "We must develop a tourism offer adapted to new consumption patterns," he declared, mentioning a combined cultural and seaside tourism.
Finally, the construction of new hotel infrastructure in border areas and the rehabilitation of historical sites are considered priorities. "The goal is to transform tourism into a sustainable economic driver, creating jobs and attracting local and foreign investors," the minister concluded.
Commentaires (11)
1. Un coût élevé par rapport à la concurrence régionale (qualité service,taxes,visa,…etc)
2. Un climat d'instabilité marqué par des casses, manifestations, des marches, et des troubles sporadiques. Cette situation n'est pas compensée par un tourisme local suffisamment robuste, les ménages sénégalais étant confrontés à une perte de revenus, d'emplois et d'espoir financier qui limite leur capacité à “tourister”.
Billet trop cher et ouvrer les vols low cost
Voilà. C'est tout.
Des plages il y en a partout dans le monde et de plus belles qu'au Sénégal, il suffit de se rendre au Brésil, au Cap-Vert ou même dans Méditerranée pour s'en apercevoir.
Certes, la dépollution de la baie de Hann pourrait être un atout supplémentaire.
Les touristes visitent un pays pour voir ce qu'il ne peuvent pas voir chez eux, quelque chose d'unique. On va à Barcelone pour voir la Sagrada Familia, au Brésil pour voir le Corcovado ou le Pao de Azucar, en Inde pour le Taj Mahal ou le Yoga.
Qu'y a-t-il à voir au Sénégal d'unique ?
C'est là qu'intervient la nécessité d'accéler la restauration des bâtiments historiques, qu'il s'agisse du tata de Alboury, de la Folie du Baron Roger, des divers forts, du puit de Kalom, des mosquées en banco le long du fleuve Sénégal.
Tant qu'on continuera à penser que le touriste américain vient au Sénégal pour manger du Hamburger plutôt qu'un cere mbuum, ou un coca-cola plutôt qu'un jus de ditax, notre tourisme continuera de s'effondrer, indépendemment des questions de sécurité ou de tranquilité.
Les gens veulent de l'authenticité.
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