Kolda : Une femme mariée décède dans une boite de nuit des suites d'un malaise
F. Mballo, better known as "Djidé," lost his life in a nightclub during a dance party. The tragedy occurred during the night of Sunday, September 21 to Monday, September 22, at the bar of the Café de France hotel, in the Saré Moussa district of the Kolda municipality.
Aged about thirty, Djidé, mother of three children from her first marriage, had recently remarried a man from Touba. The couple lived in Pikine, a suburb of Dakar. The woman had returned to Kolda a few days earlier to attend the circumcision ceremony of one of her relatives' sons. It was under these circumstances that she and her friends went out for the evening at the Café de France hotel.
According to preliminary investigations, Djide died after collapsing. His lifeless body was taken to the morgue of Kolda Regional Hospital. In the capital of Fouladou, this death has sparked much discussion.
Commentaires (7)
Pourquoi "femme mariee", une "trentenaire" aurait largement suffi...paix à son âme ! Vous voulez la jugez au point d'interdire toute femme mariée l'accès aux boites de nuit. Areyez votre morale a deux balles. Chacun esr libre d'aller oû il veut!!
Déjà le motif qui l’a fait partir à Kolda en laissant son mari baol baol à Pikine est bidon. C’est quoi cérémonie de sortie de circoncision d’un fils d’une parente. Mais beaucoup de baol baol sont bêtes, il suffit qu’une femme soit de teint claire et ils sont prêts à t’épouser même si tu es une ancienne bagnarde.
non désolé, une femme mariée n'est pas libre d'aller où elle veut et faire ce qu'elle veut, c'est contraire déjà au mariage, un célibataire oui, ta mère ne faisait pas ce qu'elle voulait quand même, il faut être sérieux
même un homme marié n'a rien à faire dans une boîte de nuit, surtout s'il n'est pas accompagné de sa femme, il faut arrêter d'être hypocrite quand même, il n'y a pas à juger la défunte mais quand même pas besoin de mentir pour enjoliver les choses
De souvent faire cette doua'a : Allahumma inni as'aluka husnal khatimah (ô Allah je Te demande de m'accorder une bonne fin)
Article rédigé dans le sens de vilipender cette défunte. Il faut du respect et d'un bon jugement pour les morts. Qu’Allah SWT ait pitié de son âme et l'accueille au paradis Firdawsi. Amine
Je pense que l’article n’a fait que relater les faits en restant fidèle à la réalité. Si ça vous choque c’est parce que vous êtes hypocrite et vous n’aimez pas la vérité. C’est clair que les faits ne vous choquent pas mais l’article de presse qui les relate vous offusque.
Des études ont démontré que les personnes victimes de traumatismes sexuels comme l’excision développent une hypersexualité , pas parce qu’elles ont envie mais parce que leur cerveaux associent l,amour, la personnalité et la sexualité. Quand tu grandis avec l’idée que ton corps n’est pas à toi, parce qu’un autre lui a fait subir des traumatismes sans ton consentement, tu ne penses qu’à le donner pour être aimée et à séduire pour exister.
C’est pourquoi certaines femmes excisées se retrouvent frivoles et se donnent à tout le monde. Ce sont également ces femmes que l’ont voit le plus dans les réseaux sociaux entrain de s’exhiber pour se la jouer désirables. L’hypersexulité qu’elles vivent ce n’est pas du plaisir mais une tentative de régulation émotionnelle. C’est comme ça qu’elles se retrouvent dans les attachements désorganisés qui oscillent entre le besoin d’amour et la peur d’intimité , en conséquence elles cherchent inlassablement le besoin d’attention mais chaque nouvelle relation constitue une répétition de la précédente. Toutes les victimes ne tombent pas dans l’hypersexualité, d’autres au contraire vont tomber dans l’évitement relationnel et l’anesthésie émotionnelle.
complique bruh
Yalla na gnou yalla dooli sutura may gnou moitié bou rafet. Arrêtez d'être des hypocrites. Personne n'aimerait être dans la peau de ces pauvres enfants qui entendront toute leur vie que leur maman est morte en boîte de nuit.
Qui vous dit qu'elle n'a pas eu l'accord de son mari ? Paix à son âme.
Manou bakhna si niit
Je constate, une fois de plus, qu'il n'y a que la polémique pour faire parler les sénégalais. Quand il s'agit de l'éducation de la jeunesse, c'est silence radio, les plus bavards deviennent aphones et inscrits aux abonnés absents.
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