[Billet d'humour] Loto et lotion : quand le chômage se maquille !
Two videos that went viral earlier this week tell the story of many young Senegalese better than any report.
The first image shows a long line of job seekers, CVs neatly printed, in front of… a saleswoman selling skin-lightening products. Not an industrial company, not a tech start-up, but a boutique run by an ambitious woman promising a brighter future. When the job market spills into the backstreets, it's because hope is seeking refuge, whatever form it may take.
The second scene features a young gambler, furious after discovering that 20% of his winnings went to taxes. For him, simply ticking boxes on a ticket is already a considerable effort. Winning the lottery becomes his career plan, and the government is seen as an overly greedy colleague.
Behind the unintentional humor of these videos lies the same reality: employment has become a mirage. Official announcements abound, with ambitious figures and repeated promises. But on the ground, the search for work still too often relies on resourcefulness, chance, or even… cosmetic alchemy.
Some seek to make a place for themselves in any sector, even the most precarious. Others stake their future on luck, for lack of anything better. All share the same concern: how to exist in a country where a degree no longer guarantees anything, where the economy is progressing more slowly than expected, and where chance is ultimately considered a professional partner?
The authorities have placed youth employment among their top priorities. They cannot afford to make a mistake. Because a country where young people wait for luck more than opportunities, where they dream of a winning ticket to survive rather than a salary to build a future, is a country walking a fine line.
Young people deserve a future that depends not on luck or skin color, but on their skills and energy. In any case, the day employment is no longer a lottery, Senegal will have won far more than a jackpot.
Commentaires (4)
Très bel article ''LOTO et LOTION''
Il faut expliquer l'article aux Ladoums
Cette femme doit aller se marier et se caser une bonne fois. Il faut sortir des reseaux sociaux et juste se concentrer sur son foyer et la Religion
Cette dame cherchait un grand buzz qu'elle a obtenu sans effort et, du coup, un énorme coup publicitaire. Du Marketing à la sénégalaise...
Pour la loto, Ki tòp ci Diomaye le client de Sweet Beauté prend 20% aux parieurs pour maintenir ses 9 milliards... tant pis pour les jeunes qui parient leur avenir...
RIEN À AVOIR AVEC LE CHÔMAGE DES JEUNES
Le mal de vivre dans sa peau noire africaine dans un monde où l'image de la femme européenne aux cheveux longs et la peau claire fait figure de symbole soutenue par les médias et le divertissement,. Avec des exemples dans murs de veilles femmes métamorphosées à leurs apparences qui dans les réseaux sociaux font la propagande pour divulguer la pratique du XESSAL par la promotion des produits qu'elles veulent vendre. Une fois qu'une jeune femme commence à utiliser les produits de la dépigmentation qui ne sont pas bon marché et arrive à s'éclaircir la peau avec une nouvelle apparence, le XESSAL devient une dépendance terrible qui occupe son esprit et meuble ses journées toujours en quête de pommades et de lotions comme à la recherche de la drogue elle ne peut plus s'en passer el ne peut plus se permettre d'être en rupture de produits pour s'enduire la peau chaque soir avant de se coucher. Plus question de revenir comme son aspect d'auparavant. C'est plus grave que la drogue, ce qui s'est passé à Didio Glow Skin n'a rien de surprenant et la grande affluence n'a rien à avoir avec le chômage des jeunes pour qui connaît combien ce phénomène de XESSAL à outrance tenaille nos jeunes filles particulièrement celles avec une éducation moribond.
Participer à la Discussion