toujours à nous annoncer des forums d'aucune utilité, juste un xxème rassemblement de fainéants se disant indispensables pour la populace qui elle trime et reste pauvre.
Votre pays la france est en feux aussiil y a 1 jour
Vous les Blancs vous n'avez pas de solutions à nos problèmes Vous n'avez que les critiques et le Bashing a l'encontre des africains
Répondre à forum, séminaires .....
porozetil y a 1 jour
2 babouches n'ont rien fait de concret en 2 ans !! 1-caisses noires pleines / 2- nominations de médiocres / 3-lever le coude sur des dossiers judiciaires déjà ficelés....baisse prix carburant, énergie, droits de douanes........... RIEN/TOUSS/NADA
Répondre à porozet
L'enseignant en vacancesil y a 1 jour
Le régime de l'événementiel !!!! Et de presententation de documents stratégique.
Hé!il y a 1 jour
... de slogans.
Répondre à L'enseignant en vacances
dpil y a 1 jour
Avis aux investisseurs
La justice au Sénégal est instrumentalisée
Il n' y a plus aucune sécurité juridique et l'avenir est problèmatique .
Répondre à dp
Plilil y a 1 jour
Très fraternellement cette cérémonie est une honte pour l image du Sénégal,..les investisseurs qui sont ils ...'les gens de pastef? Les bissau Guinéeens... sérieusement bougez vous a l étranger et convaincez des vrais investisseurs tout ce bla bla ne sert a rien du tout...et de grâce la prochaine fois trouvez des vrais artistes pour nous représenter et pas vos 2 poufiasses aux cheveux teintés anciens collaboratrices de firawna sall
Répondre à Plil
Sénégalil y a 1 jour
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Répondre à Sénégal
Sénégalil y a 1 jour
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Répondre à Sénégal
Tasfépil y a 1 jour
L inexistant projet du livre solution a cede sa place au pouvoir des discours d éternelles promesses.
Le Sénégal a vraiment mal choisi ses dirigeants.
Répondre à Tasfép
CITOYENil y a 1 jour
régime fort en slogans et annonces mais nul en réalisations
Répondre à CITOYEN
Tasfépil y a 1 jour
Jamais un régime n a été aussi nul dans toutes ces propositions. Le cochon Hitler Sonko et les chiens nazis de pastef sont dans le tâtonnement total. L homme Sonko, pour ne dire le bouc du troupeau de chèvres pastef va etre la grande honte de l histoire politique du sénégal et ses brebis égarés vont les véritables témoins de l échec de leur héros de pacotille.
Commentaires (10)
toujours à nous annoncer des forums d'aucune utilité, juste un xxème rassemblement de fainéants se disant indispensables pour la populace qui elle trime et reste pauvre.
Vous les Blancs vous n'avez pas de solutions à nos problèmes Vous n'avez que les critiques et le Bashing a l'encontre des africains
2 babouches n'ont rien fait de concret en 2 ans !! 1-caisses noires pleines / 2- nominations de médiocres / 3-lever le coude sur des dossiers judiciaires déjà ficelés....baisse prix carburant, énergie, droits de douanes........... RIEN/TOUSS/NADA
Le régime de l'événementiel !!!! Et de presententation de documents stratégique.
... de slogans.
Avis aux investisseurs
La justice au Sénégal est instrumentalisée
Il n' y a plus aucune sécurité juridique et l'avenir est problèmatique .
Très fraternellement cette cérémonie est une honte pour l image du Sénégal,..les investisseurs qui sont ils ...'les gens de pastef? Les bissau Guinéeens... sérieusement bougez vous a l étranger et convaincez des vrais investisseurs tout ce bla bla ne sert a rien du tout...et de grâce la prochaine fois trouvez des vrais artistes pour nous représenter et pas vos 2 poufiasses aux cheveux teintés anciens collaboratrices de firawna sall
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Le régime Pastef semble s’engager dans une voie périlleuse avec sa politique actuelle d’arrestations et de poursuites, menée au nom de la soi-disant « reddition des comptes » et des enquêtes sur les événements insurrectionnels de 2021 à 2024. Ce qui devait être une opération de moralisation de la vie publique donne aujourd’hui l’image d’une chasse aux adversaires politiques, perçue par une grande partie de la population comme sélective et motivée par la vengeance plutôt que par la justice.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
L inexistant projet du livre solution a cede sa place au pouvoir des discours d éternelles promesses.
Le Sénégal a vraiment mal choisi ses dirigeants.
régime fort en slogans et annonces mais nul en réalisations
Jamais un régime n a été aussi nul dans toutes ces propositions. Le cochon Hitler Sonko et les chiens nazis de pastef sont dans le tâtonnement total. L homme Sonko, pour ne dire le bouc du troupeau de chèvres pastef va etre la grande honte de l histoire politique du sénégal et ses brebis égarés vont les véritables témoins de l échec de leur héros de pacotille.
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