Affaire Badara Gadiaga : Thierno Bocoum dénonce “la justice des vainqueurs”
The president of the AGIR les leaders movement, Thierno Bocoum, has spoken out to denounce what he calls "victor's justice," following the prosecutor's decision to appeal the release under electronic monitoring of Badara Gadiaga. According to him, this decision illustrates a refusal to apply a law, passed by the National Assembly, aimed at making justice more humane and limiting abuses related to pretrial detention. "This refusal reflects a clear desire to take a hard line against a citizen whose only fault is having expressed an opinion in the context of a public debate," he laments.
Thierno Bocoum criticizes a selective justice system, quick to react when it comes to opponents or columnists, but silent on certain sensitive cases. "A justice system quick to investigate with bias as soon as it concerns an opponent or a columnist who is too free, but suddenly slow, hesitant, when it comes to alleged state scandals," he writes.
The former member of parliament also highlights the Prime Minister's attitude, which he accuses of fostering a logic of political revenge. "The one who started a deadly fight now wants to impose his vengeance under the guise of legality. He speaks of justice but practices revenge." For Thierno Bocoum, the case of Badara Gadiaga goes beyond the columnist himself. According to him, it symbolizes "a country where speaking out becomes a crime and remaining silent complicity." He therefore calls on the President of the Republic to act to preserve the balance of institutions and guarantee the independence of the judiciary: "The President of the Republic, guarantor of the proper functioning of institutions, can no longer turn a blind eye. Allowing this drift to flourish is to weaken the Republic, it is to betray the rule of law."
In conclusion, the leader of AGIR reiterates that justice must remain a pillar of democracy: “Justice is not a battlefield. It is the last refuge of the Republic. When it becomes a weapon, it is liberty itself that bleeds.”
Commentaires (16)
Merci Thierno Bocoum
Toi tu ne seras jamais vainqueurs.
Pourtant Idy les avait bien encadré. L'ancien système les a bien changé, en plus d'être devenu de façon agaçante plus bavards que les jolis perroquets. Respectez Perroquets ADN, belles créatures Divines.
Opposant de salon. tu étais ou samedi ? sous le pagne de mme.
ils sont tous opposant sur sur seneweb sauf sur le terrain
je finirai par croire a ceux qui disent que thierno bocoum est actionnaire ou travaille a seneweb , chaque jour des articles qui nous divertissent .
Et pour lat Diop, amteh ndoye, mansour faye, Aliou sall, ismaila madior fall, Sophie gladima, pape Malick ndour, mansour faye..... La justice de qui?
Il est le seul dans son mouvement. Qui peut me citer 5 Membres de agir et me dire où se trouve le siège
Thierno Bokoum
Babacar ba du forum du justiciable
Voilà deux personnes qui doivent être payés à tapoter sur leur clavier pour tous les sujets
Yéna um Badara. Sén lamiñ yu rëy yi. Yéd len Badara mo gën jay yi. Limuy wax Sonko su ko waxoon Youssou Ndour dax nañ ko bu yagg.
🤣🤣 des opposants virtuels
Mais sur le terrain c'est tout autre chose
Mais pourquoi tu n etais pas a la manifestation de l'opoosition tu es un peureux qui kathie kathie derrriere ton computer comme le disait MACKY un mecontent qui critique critique tu devait former un parti avec Massaly comme adjoint Assane diouf et TIERNO ALLASSANE SALL ,EL HADJI DIOUF les aboyeurs qui sont vraiment des mecontents C EST DOMMEGE
Mais
ou est son autre "patou Dall" 👞 👟 😆 Barthélemy? Personne ne la entendu pour le Tera-meeting
Mba dou, da faf Dë bën yonn?
Ce monsieur fait tout pour se faire remarquer, mais en vain.
Bëgg bokk taxul nga bokk!
thierno que penses tu des derniers rapports de l'arcop? que dis tu de la dette cachée?
Thierno, est-ce vrai, tout que ce que dit le rapport ARCOP 2023 ? C’est très grave mon cher, des crimes économiques, tu peux en parler un peu ?
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Il n a qu à pourrir en prison
On s en fout
Toi moins que rien, tu ponds à longueur de journée des torche culs de pages internet achetées
Les raisons de la colère d’Aïssatou Diop Fall (par Marvel NDOYE:
Aissatou Diop Fall éprouve une haine devenue maladive envers Ousmane Sonko au point que 99% de tout ce qui sort de sa bouche du Lundi au Dimanche, ce sont soit des gros mots à l’endroit de Sonko, soit des mensonges préfabriqués, soit des éléments de langage du camp des ordures qu’elle défend.
Les raisons de cette haine maladive n’ont rien d’idéologique ou autre. Cette haine a 3 sources :
1° Une raison mercantile.
Sous l’ère du tyran cleptomane Macky Sall, il fallait s’afficher anti-Sonko pour obtenir des passe-droits, gagner des marchés complaisants, ou recevoir des enveloppes d’argent sale. Alors ADF, comme tout bon chasseur de primes a rejoint le clan de la vermine anti-Sonko.
Plus la chute du tyran et de sa coalition au pouvoir se précisait, plus les intérêts de ADF étaient menacés, plus elle devenait hystérique, vulgaire, nerveuse, et baveuse vis-à-vis de Sonko.
2° La révélation accidentelle de Farba
Farba a révélé par mégarde, alors que les micros étaient ouverts, ce qu’il faisait avec ADF quand elle vient la voir. Au lieu de s’en prendre à elle-même ou d’en vouloir à Farba, ADF impute à Sonko cette Téra-humiliation qui la suivra toute sa vie, suivra sa progéniture et les générations à venir. D’ailleurs son mari n’a pas attendu la monnaie, comme tout homme aurait fait de même.
ADF considère ainsi que c’est Sonko et son ange protecteur qui lui ont tendu un tel piège. Cette révélation de Farba a détruit sa vie même si elle fait semblant d’avoir oublié. Ses tentatives de banaliser la chose n’ont fait que confirmer. Elle sait que l’ensemble des Sénégalais ne la voient plus que comme Aissatou Diop Fall. Elle sait donc qu’elle n’a plus rien à perdre en matière d’honneur, de dignité, de respect de soi. N’importe quelle autre femme se serait suicidée, mais elle a décidé de ne pas le faire dans le seul but d’assouvir sa vengeance contre Sonko.
3° La fin de son Tok Mouy Dokh
La chute du régime APR/BBY a aussi sonné le glas de ses magouilles et privilèges indus. Ses contrats ou conventions sans contenu réel ont été annulés. Les prêts complaisants en contrepartie de ses insultes et mensonges contre Sonko ont pris fin. Maintenant il va falloir travailler honnêtement et rembourser, ce qui la rend chaque jour un peu plus folle de rage. Là encore, elle en impute toute la responsabilité à Ousmane Sonko.
Voilà donc les 3 principales raisons qui ont conduit ADF à la démence, à décider de réserver le restant de sa vie à la vengeance contre Ousmane Sonko. Elle l’a dit sans détour, et on l’a entendue de nos propres oreilles, en ces termes : « La seule raison de vivre de ma télé, c’est d’insulter Ousmane Sonko. Et j’accueillerai sur mon plateau quiconque insultera Sonko ».
ADF a donc plus besoin de séances de psychiatrie, que d’emprisonnement. Au fond elle vie chaque de plus comme un cauchemar. Ses fréquentations se limitent à quelques racailles ou mange-mils qui font semblant de n’avoir jamais entendu ses aveux ou la révélation de Farba.
Ceux que la vie de cette névrosée intéresse se doivent de l’aider. A bon entendeur !!
Thierno Bocoum semble vouloir exister politiquement à travers des réactions opportunistes plutôt que par des propositions concrètes. Il attend que l’actualité lui tende la perche pour s’exprimer, mais où sont ses idées structurées, ses projets, ses actions de terrain ? On ne le connaît que par des publications sur les réseaux sociaux ou des apparitions dans des médias souvent en quête de sensationnalisme.
Son mouvement AGIR reste une énigme : qui en fait partie ? Où est son siège ? Quelle est sa base militante ? Il est difficile de répondre à ces questions, tant la visibilité de son organisation est faible. Il s’adresse au public, certes, mais à qui précisément ? Son discours semble flotter dans le vide, sans ancrage populaire ni relais institutionnel.
Quant à sa dénonciation de « la justice des vainqueurs », elle pourrait être pertinente si elle s’inscrivait dans une démarche cohérente et suivie. Mais en l’absence d’engagement clair, elle ressemble davantage à une posture qu’à une conviction. Il critique, mais ne construit pas. Il dénonce, mais ne propose pas.
En somme, Thierno Bocoum donne l’image d’un homme politique en quête de reconnaissance, plus préoccupé par sa visibilité que par l’impact réel de ses actions. Et cela soulève une question fondamentale : que veut-il vraiment apporter au débat démocratique ?
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