Garde à vue mouvementée : Maimouna Ndour Faye raconte la «volte-face» des gendarmes
Following Babacar Fall, Maïmouna Ndour Faye has also been released. In an interview with L'Observateur, the head of 7TV recounted the 48 hours she spent in police custody after the broadcast of her interview with Madiambal Diagne.
The journalist recounts the circumstances of her arrest: "I had finished recording the program and launched the poster for broadcast, then I left the television studio. It was then that my staff informed me that the police had arrived and requested the program be interrupted."
Upon returning to the scene, she denounced the method used: the police officers tried to force her into their vehicle when she asked to change her clothes, as she was wearing a suit and high heels. "What they didn't accept at first was that they tried to force me into their vehicle. I refused, and finally, they let me change before following them," she explained.
Maimouna Ndour Faye deplores the mobilization of a "well-equipped squad of gendarmes, as if to arrest a cartel," which she considers "unworthy of a democracy." "It made me furious," she told the newspaper, part of the Groupe Futurs Médias.
The hearing began at 2 a.m., in the presence of his lawyers, and ended around 4 a.m. There was a moment of about-face: while a simple summons was initially envisaged - "The summons was practically already prepared" - the gendarmerie finally notified him of a 48-hour custody period thirty minutes later.
Despite the injustice of the situation, MNF maintains that she was "psychologically prepared": "Strangely enough, I was psychologically prepared. It's a situation that didn't shake me, nor surprise me. [...] It's not a traumatic situation for me."
Commentaires (86)
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They les journalistes kuluna !!!
Le seul fait qui vaudrait preuve de ce qu'elle dit: qu'elle diffuse l'interview de Madiambal. Point. Barre.
Et toutes leurs fabrications de titres pour l'occupation des médias 24H/24 ne feront que renforcer le succès du meeting du 8 Novembre, cet autre traumatisme qui leur privé de sommeil.
L'état est trop faible. S'il avait arrêté tous les bandits et escrocs du rigime précédent a temps, aujourd'hui tous ses gens n'auront eu le courage de nous rompre les couilles
Les journalistes sont -ils un classe à part ? Est-ce qu' ils bénéficient d'une immunité qui les met hors de portée de la justice
Nous avons affaire à une presse mafieuse qui est entrain de mener un combat par procuration.
Ils parlent de liberté, de démocratie et de recherche de je ne sais quel scoop pour justifier la tribune offerte à un fugitif qui a comme unique dessein, la déstabilisation du régime en place . Est-ce qu'ils leur arrive de convoquer l'éthique?
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Dans cet espece, ces deux personnes ne sont pas tenues au secret de l'instruction. Ce dernier est applicable qu'à des personnes déterminées dans le code.
NB :Seul le recel de violation du secret de l'instruction peut être retenu contre un journaliste.
Toutefois dans le cas d'espèce, il n'ya pas une infraction principale, M. Madiambal DIAGNE n'a jamais été entendu pas le juge d'instruction ou par un enquêteur.
En pareil cas peut on parler de recel? NON NON
EN RÉSUMÉ LA VIOLATION DU SECRET DE L'INSTRUCTION DONT PARLENT CERTAINES PERSONNES EST UNE MAUVAISE QUALIFICATION
IDEM POUR LE RECEL.
Il connaît la sanction grand d hypocrite
La seule différence c'est que leur gourou de Pasteef est un violeur doublé d'un manipulateur et menteur.
Le scoupe serait qu'elle rediffuse pour monter qu'elle est dans ses droits et n'a rien à se reprocher
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