Alioune Tine appelle à la lucidité démocratique et à la paix des braves
In a context marked by democratic fragility and palpable political tension, Alioune Tine, an emblematic figure in the defense of human rights in Africa, issues a vibrant call for collective responsibility. As the question of the impeachment of former President Macky Sall stirs debate, Tine invites a deeper understanding of the issues, far removed from passions and score-settling.
Alioune Tine urges political actors not to repeat the mistakes of the past. The Gatsa-Gatsa, a tumultuous episode in Senegalese political history, left lasting scars on institutions and national cohesion. "Everyone realizes today that the Gatsa-Gatsa produced long-term political and institutional vulnerability," he recalls. Persisting in denial and blindness, according to him, could cost the country dearly on several levels.
Senegal, despite its progress, remains a democracy under construction. Tine emphasizes that this democracy is "sick" and deserves to be cared for, nurtured, and consolidated. He calls for a stance of lucidity and restraint, both on the part of the government and the opposition.
Call for calm, serenity and mutual respect
To revive the economy and ensure social stability, political peace is essential. Alioune Tine calls on President Bassirou Diomaye Faye and his Prime Minister Ousmane Sonko to focus on the essentials and call for serenity. He also calls on the opposition to call for a "peace of the brave," a republican truce to allow democratic debate to continue with mutual respect.
Accountability: Yes, but within the rules
Accountability is a legitimate social demand, but it must not turn into a witch hunt. Tine insists on respect for judicial procedures and fundamental human rights: "Form is substance," he insists. He reiterates that any approach to justice must be guided by ethics, legality, and human dignity.
Commentaires (14)
Pendant ce temps, l’opposition, plus que jamais debout et pacifique, se trouve galvanisée par les récentes déclarations de Macky Sall et renforcée par les arrestations arbitraires.
Ces arrestations n’ont fait qu’accroître la popularité de Farba, Lat Dior, Mansour Faye, Pape Malick, Madiambal, Badara et Abdou Guer.
Pendant ce temps, l’opposition, plus que jamais debout et pacifique, se trouve galvanisée par les récentes déclarations de Macky Sall et renforcée par les arrestations arbitraires.
Ces arrestations n’ont fait qu’accroître la popularité de Farba, Lat Dior, Mansour Faye, Pape Malick, Madiambal, Badara et Abdou Guer.
Le Président Macky n'a rien à voir avec ça puisqu'il n'intervient ni dans les enregistrements encore moins dans le contrôle.
Maxk
Le gatsa gatsa n'a jamais été le responsable du chaos.des institution et de la cohésion nationale.
Les institutions ont été ravagées par l'instrumentalisation de la justice (avec des milliers de détenus politiques, la torture, les répressions meurtrières, vol et pillage des deniers publiques érigés en règle.
La cohésion nationale venons en à cela Mr Tine même si vous voulez nous faire croire que vous êtes amnésique, n'est-ce pas qu'il fallait seulement qu'on s'appelle Badji, Coly, Sonko, Diemé etc pour être arrêter torturer et emprisonner.
Quel pays de nafekh.
Aujourd'hui c'est un ancien ministre qui appelle à l'insurrection, au coup d'état, à la transition dirigée par Macky sall ce projet caché qui devient maintenant officiel (suivez les déclarations habituelles de Barthélémy) et vous ne dites rien Mr Tine.
Mais wa Pastef pourquoi vous vous laissez faire.
On veut vous immolé, on veut vous comploter, on veut abréger votre mandat par une opposition milliardaire et armée (ou sont les armes achetées).
Et vous êtes là dociles à attendre qu'ils vous retournent en prison, qu'ils vous tuent encore, qu'ils vous déshonorent encore.
J'en rage, mon Dieu aide moi à réveiller Pastef avant que cela ne soit trop tard.
C'est évident que ce meeting de Nio lank est organisé par cet opposition milliardaire et armée.
Cette opposition hypocrite qui oublie que quand leur pouvoir fût menacé c'est le Premier Ministre Ousmane Sonko qui appelait au respect de la constitution et à ne pas destituer Macky alors que le pouvoir était dans la rue
Quelle traîtrise.
Wa Pastef, bakhna !!! nélaw léne rek, le réveil sera difficile.
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