Casamance : les ex-rebelles du Mfdc réclament leurs financements, Demba Kandji saisi
During a visit to Ziguinchor, the Ombudsman of the Republic, Demba Kandji, was questioned by Fatoma Coly, the former head of the Diakaye rebel base.
This, reported by L'Observateur, deplored the failure to respect the peace agreements signed with the State of Senegal in May 2023. According to him, the 255 former combatants of the Movement of Democratic Forces of Casamance (MFDC) who laid down their arms are still waiting for the promised funding to cultivate their land and initiate genuine reintegration.
The mediator was then asked to convey these grievances to the President of the Republic and his Prime Minister. In response, Demba Kandji, quoted by the Groupe Futur Médias daily, reiterated that his role was to convey citizens' complaints to the administration and ensure that the State respected its commitments.
Commentaires (9)
Ex rebelle qui demande financement?! Décidément !
Ils veulent juste la reprise de distribution des mallette d’argent Wade macky sont passés à la caisse et maintenant c’est le tour de Diomaye sonko. Le Sénégal est un cirque wolahi
En tout cas que celui qui prendra la responsabilité de donner un financement à ces bandits maître chanteur prenne de payer en cas de non remboursement de ces derniers
Financement pour quoi faire? Tu fais la guerre à ton pays et après tu demandes un financement pour déposer les armes. C’est quoi ce bordel? Ou bien ils parlent du dépot des armes entre 2021 et 2024? Quoiqu’il en soit, y’a aucun financement à donner ici. Vous n’avez qu’a reprendre les armes pour voir de quel bois notre armée se chauffe. Allez travailler! Personne ne vous avait forcé à perdre du temps à combattre votre propre pays. Allez oust!
Vous devez etre traduit devant la justice
Voilà ce que faisaient nos anciens présidents pour faire croire que la rébellion en Casamance est finie. C'est nos gouvernements qui financent les rebelles. Ils leur donnent de l'argent et disent accepter de déposer les armes. Pur chantage.
Et pourquoi ne pas utiliser l'argent qu'il acheter les armes pour s’autofinancer
ils ont le droit de demander des financements suite à l'accord signé avec l'état du Sénégal. ils demandent comme les marabouts, pseudo-marabout et tarikha, n'est ce pas eux aussi demande leur part du gateau
Attention !!! Il faut savoir que ces gens ne réclament que le respect des accords qui ont mené à leur démobilisation. Quoi de plus normal aussi que des sénégalais même s'ils étaient des "rebelles" demandent un financement pour mener une activité agricole.
Les anciens combattants ont besoin d’une sécurité matérielle et personnelle pour réussir leur réintégration. Ils doivent pouvoir percevoir une alternative sûre et viable au combat. Ils doivent se sentir suffisamment confiants que leurs intérêts légitimes seront respectés. Sans cette confiance, il n’existe pas de volonté politique pour la paix. Ces gens ont été instruits et ont parfois pratiqué la violence pour gagner leur vie. L’appartenance à une force armée, régulière ou irrégulière, faisait qu’ils avaient des moyens de subsistance, un réseau de soutien. Après la démobilisation, ils perdent toutes ces choses.
Il faut leurs offrir des opportunités pour qu'ils puissent se prendre en charge et prendre en charge leurs familles afin que leurs que leurs pensées se détournent complétement de la guerre........
Ce conflit a trop duré et a fait trop de dégâts j'en sais quelque chose paracerque aux pires moments de ce conflit j'étais au front (1995-1996-1997)
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Bien dit
Ils ont de l'argent pour s'acheter des armes puissantes, des mines en quantité, mais pour rien pour s'acheter des kadjandos . Quel paradoxe ! De qui se moquent-ils , ces bandits, tueurs et coupeurs de routes, poseurs de mines. Les fonds, c'est pour les victimes non pour les bourreaux. Honte et malheur à vous qui avez détruit la Casamance !
Niit yamal bayil nos guide religieux, ils n'ont jamais pris les armes contre l'Etat et les civils. Ils ont des talibés qui travaillent et qui paient des impôts, ils ont dans leur grande majorité des champs et des business. Cependant, si ces accords sont avérés, l'Etat doit honorer sa parole en respectant les termes des accords.
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