Collision mortelle à Sandjiara : quatre morts et onze blessés, dont six dans un état grave
A tragic traffic accident occurred this Saturday, August 16, 2025, at around 1 p.m. near Faylar 2, in the commune of Sandjiara. The particularly violent collision involved a public transport bus and a Hiace minibus.
According to initial reports from the scene, the tragedy occurred when a construction equipment transport vehicle from Sandiara lost control due to a mechanical failure. The vehicle then collided head-on with the minibus coming from Thiadiaye, causing a fatal head-on collision.
The provisional toll stands at four dead and eleven injured, six of whom are in serious condition. Alerted, the medical teams of Batpara, a military convoy made up of doctors, quickly provided first aid before the arrival of the Mbour firefighters. The latter then 

evacuated the victims to the regional hospital of Mbour for better care.
An investigation has been opened to determine the precise circumstances of this tragedy, which has once again plunged road users into dismay.
Commentaires (38)
Trop de complaisance à l’égard des criminels de la route
Il fut un temps tout accident était de la faute de Mansour
L ' État a pris plusieurs mesures pour réduire considérablement les accidents dont des amendes diverses.Les forces de défense et de sécurité doivent jouer leur partition en faisant respecter ces mesures sans aucune complaisance.
Les vars sont les seuls les enemmis de pastef. Ils disaient bien que Mansour Faye devrait demissioner. El Malick est venu, c,est devenu plus grave. Son remplacant j,ai oublie' son nom) prend les rennes , c,est devenu plus catastrophique
Aujourd,hui on vous rappelle vos critiques et promesses qui vous ont portes au pouvoir vous dites que la politique n,a pas sa place dans de telles circonstance. Mon Vieux!
Il faut poursuivre ceux qui diffusent ces images indécentes et la presse doit avoir un minimum de professionnalisme et de décence
Il faut d’autre part etre un sacré imbécile pour parler de politique ou régler des comptes sur le dos de morts.
Il y’a des causes d’accidents qui n’ont rien à voir avec la politique ; le laxisme des chauffeurs, des policiers sur la route, des magistrats qui appliquent la loi et parfois l’état des routes.
N’importe quel ancien laveur de voiture ou conducteur de charrette devient chauffeur. Ce sont ces impolis qu’on voit tous les jours sur les routes
un DG incompétent
des agents payés à ne rien faite
Arrêtez ces commentaires idiotes.
Une route semée d’indiscipline et de négligence
Ce n’est pas un accident isolé. C’est le symptôme d’un mal plus profond :
• Délinquance routière généralisée : Excès de vitesse, dépassements dangereux, non-respect des feux (quand ils existent), usage du téléphone au volant… On dirait que chacun a son propre code de la route.
• Surcharges absurdes : Camions débordant de marchandises, bus remplis au-delà du raisonnable, bagages entassés sur les toits… tout cela compromet la stabilité et la sécurité des véhicules.
• Contrôles techniques de complaisance : Des véhicules en ruine continuent de circuler, validés par des visites techniques corrompues ou bâclées.
• Parc automobile vétuste : Des voitures âgées de plus de 20 ans, mal entretenues, circulent librement, parfois sans freins ni phares.
• Signalisation défaillante : Absence de panneaux, feux tricolores hors service, marquages effacés… les routes sont souvent livrées à elles-mêmes.
• Combien de morts encore ?
Chaque année, plus de 600 personnes meurent sur les routes sénégalaises, selon les chiffres officiels. Et ce chiffre pourrait être bien plus élevé si l’on comptait les blessés graves qui succombent après coup. Combien de vies pourraient être sauvées si les règles étaient respectées ? Si les infrastructures étaient modernisées ? Si les contrôles étaient rigoureux ?
Qu’attend-on pour agir ?
Le texte évoque une enquête ouverte. Mais combien d’enquêtes ont déjà été ouvertes sans suite concrète ? Il ne suffit plus de constater. Il faut :
• Appliquer les lois avec fermeté et impartialité
• Former les chauffeurs et professionnaliser le transport
• Rénover les routes et installer une signalisation fiable
• Interdire les véhicules hors d’usage et réformer les visites techniques
• Sensibiliser les citoyens dès le plus jeune âge à la culture de la sécurité
Conclusion
Ce texte est un cri. Un cri de douleur, mais aussi un appel à la responsabilité collective. L’accident de Sandjiara ne doit pas être un fait divers de plus. Il doit être un tournant, une prise de conscience nationale. Car derrière chaque chiffre, il y a des vies brisées, des familles endeuillées, et un pays qui ne peut plus détourner le regard.
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