À l’approche du grand Magal de Touba, un des plus grands rassemblements religieux du Sénégal, les autorités locales et les acteurs de l’hydraulique ont pris les devants pour assurer un accès constant à l’eau potable. Le Cadre de concertation des acteurs de l’eau de Touba, réunissant l’Office des forages ruraux (OFOR), Maou Rahmati, la mairie de Touba Mosquée, Touba Ça Kanam et Touba Xepp, a mis en place un important dispositif logistique, sous la coordination du sous-préfet de Ndame. Objectif : permettre aux populations de constituer des réserves d’eau en amont de l’événement, afin de faire face à la forte affluence attendue et à la demande croissante en eau.
Dès le mardi 15 juillet 2025, plusieurs zones déficitaires ont été ciblées pour l’installation de postes avancés autonomes, avec la mise à disposition de camions-citernes. Ces unités mobiles viennent renforcer l’approvisionnement local et répondre efficacement aux besoins des populations.
Les points de distribution d’eau sont déjà opérationnels au forage F3 de Ndamatou, à la sous-préfecture de Ndame, au réservoir de Darou Tanzil, au forage F1 Baye Lahad de Darou Khoudoss et au Pencum Ndindy.
Les populations sont invitées à se rapprocher directement de ces points pour toute demande d’eau ou information complémentaire.
Ce dispositif témoigne d’une volonté commune des autorités administratives et communautaires de garantir des conditions de vie dignes aux millions de pèlerins attendus à Touba. Il s’inscrit dans une dynamique de solidarité et d’anticipation, pour que ce moment spirituel se déroule dans les meilleures conditions sanitaires.
Le cadre de concertation remercie les habitants pour leur collaboration et les invite à faire bon usage des ressources mises à leur disposition.
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Répondre à LEGRATUIT
il y a 1 mois
Ces cérémonies religieuses popularisées par une certaine soit disant bourgeoisie religieuse n’apportent rien économiquement aux sénégalais appeler les gens pour leur donner à manger et pour l’ambiance c’est un esprit de pauvreté.
Répondre à
Quel Bordelil y a 1 mois
dem carnaval diaroul li yopp
reply_authoril y a 4 semaines
Do meussa bakh ba nga touddé sa bopp quel bordel
Répondre à Quel Bordel
VÉRITÉ il y a 1 mois
LE PROBLEME N EST PAS LA MISE SUR PIED D UN DISPOSITIF EXCEPTIONEL
LE PRINCIPAL PROBLEME EST QUE LES CHAUFFEURS QUI CONDUISSENT LES CAMIONS DE L OFFOR VENDENT LA CITERNE D EAU ENTRE 60000 A100000 F
JE SAIS TRES BIEN CE QUE JE DIS CAR JE TRAVAILLE AU MINISTERE CAR L ANNEE DERNIERE UN CHAUFFEUR DE L OFFOR A VENDU A MA TANTE UNE CITERNE D EAU A 70000F A MON INSU
ET CES CHAUFFEURS LA ONT UNE INDENNITE JOURNALIERE DE 15 000 F
MONSIEUR LE MINISTRE IL FAUT UNE SURVEILLANCE ET ACTIVITER LES GPS QUI ETAIENT MIS AU NIVEAU DES CAMIONS
reply_authoril y a 1 mois
Merci de vous rapprocher de l'OFOR pour de plus amples informations.
reply_authoril y a 1 mois
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reply_authoril y a 1 mois
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reply_authoril y a 1 mois
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reply_authoril y a 1 mois
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reply_authoril y a 1 mois
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reply_authoril y a 1 mois
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Commentaires (4)
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Ces cérémonies religieuses popularisées par une certaine soit disant bourgeoisie religieuse n’apportent rien économiquement aux sénégalais appeler les gens pour leur donner à manger et pour l’ambiance c’est un esprit de pauvreté.
dem carnaval diaroul li yopp
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LE PROBLEME N EST PAS LA MISE SUR PIED D UN DISPOSITIF EXCEPTIONEL
LE PRINCIPAL PROBLEME EST QUE LES CHAUFFEURS QUI CONDUISSENT LES CAMIONS DE L OFFOR VENDENT LA CITERNE D EAU ENTRE 60000 A100000 F
JE SAIS TRES BIEN CE QUE JE DIS CAR JE TRAVAILLE AU MINISTERE CAR L ANNEE DERNIERE UN CHAUFFEUR DE L OFFOR A VENDU A MA TANTE UNE CITERNE D EAU A 70000F A MON INSU
ET CES CHAUFFEURS LA ONT UNE INDENNITE JOURNALIERE DE 15 000 F
MONSIEUR LE MINISTRE IL FAUT UNE SURVEILLANCE ET ACTIVITER LES GPS QUI ETAIENT MIS AU NIVEAU DES CAMIONS
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