Grève générale annoncée dans le secteur primaire : Les travailleurs réclament leur indemnité de logement
The Intersyndicale des travailleurs du secteur primaire will observe a general strike starting Monday, September 22, 2025. The action, which is to last 72 renewable hours, aims to protest against the non-payment of the housing allowance promised to employees.
According to union officials, this compensation was included in the amending finance law passed on June 28, 2025, and published in the Official Journal on July 10. But, three months later, the 16,000 civil servants concerned have still not seen the measure applied to their pay.
"Workers are eagerly awaiting the implementation of this major commitment. The delay has caused incomprehension and frustration," said the Inter-Union affiliated with the National Confederation of Workers of Senegal (CNTS).
The trade unionists are directly appealing to the President of the Republic and the Prime Minister to give firm instructions, and are requesting a meeting with the Ministries of Civil Service, Finance and the High Council for Social Dialogue in order to find a solution.
While reaffirming their openness to dialogue, the workers warn that they will remain mobilized as long as the housing allowance is not effectively integrated into their remuneration.
Commentaires (28)
Wassalam !
Un diouti man ne peut-être généreux et ne sait qu'encaisser.
C'est ça une injustice aller en grève pour réparation.
Ya rien de politique
Pourtant, Sonko avait promis de mettre fin aux inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, les réalités l’ont rattrapé : Touba, Dakar et bien d’autres zones sont toujours submergées. Là où l’on attendait un Premier ministre proche des populations sinistrées, on n’a eu qu’un chef de gouvernement absent, replié sur la scène internationale.
Un Premier ministre qui fuit ses responsabilités, qui préfère accuser les autres plutôt qu’assumer les siennes. Pour lui, l’enfer, ce sont toujours les autres.
Pourtant, Sonko avait promis de mettre fin aux inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, les réalités l’ont rattrapé : Touba, Dakar et bien d’autres zones sont toujours submergées. Là où l’on attendait un Premier ministre proche des populations sinistrées, on n’a eu qu’un chef de gouvernement absent, replié sur la scène internationale.
Un Premier ministre qui fuit ses responsabilités, qui préfère accuser les autres plutôt qu’assumer les siennes. Pour lui, l’enfer, ce sont toujours les autres.
Pour rappel, le même Sonko avait juré – la main sur le cœur – d’en finir avec les inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, la pluie a eu le mérite de démasquer la supercherie : Touba, Dakar et d’autres zones pataugent toujours dans les eaux. La seule chose qui coule à flot, c’est la parole creuse.
Plutôt que d’aller se montrer auprès des victimes, il a choisi le confort des salons italiens. Voilà un Premier ministre fainéant, poltron, toujours prompt à accuser les autres et jamais à assumer. Chez lui, l’enfer n’est jamais dans son camp : ce sont les autres, toujours les autres.
Pour rappel, le même Sonko avait juré – la main sur le cœur – d’en finir avec les inondations deux ans après son accession au pouvoir. Aujourd’hui, la pluie a eu le mérite de démasquer la supercherie : Touba, Dakar et d’autres zones pataugent toujours dans les eaux. La seule chose qui coule à flot, c’est la parole creuse.
Plutôt que d’aller se montrer auprès des victimes, il a choisi le confort des salons italiens. Voilà un Premier ministre fainéant, poltron, toujours prompt à accuser les autres et jamais à assumer. Chez lui, l’enfer n’est jamais dans son camp : ce sont les autres, toujours les autres.
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