Au Sénégal, les troubles mentaux et du développement demeurent un fléau silencieux, marqué par l’indifférence et le manque criant de structures adaptées. Tandis que des malades errent dans les rues de Dakar, des initiatives citoyennes émergent pour combler les lacunes d’un système saturé. Parmi ces acteurs, Ibrahima Seck se distingue par son engagement auprès des sans-abris et des malades mentaux en leur apportant soutien matériel et réconfort psychologique. À Rufisque, le centre Delossi Keur Serigne Babacar, dirigé par Ahmed Daf est une autre illustration de l’effort collectif pour offrir un refuge à ces exclus. Pourtant, entre stigmatisation sociale et moyens limités, les défis restent immenses. Reportage.
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