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DIOMAYE /SONKO : DUO OU DUEL ?  AVEC UN EXECUTIF REVOLUTIONNAIRE : UN FAUTEUIL A DEUX ENTRE UN PRESIDENT EMINEMMENT LEGAL ET UN PREMIER MINISTRE PUISSAMMENT LEGITIME (Par Mame Diarra Sow)

Auteur: Mame Diarra Sow

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DIOMAYE /SONKO : DUO OU DUEL ?  AVEC UN EXECUTIF REVOLUTIONNAIRE : UN FAUTEUIL A DEUX ENTRE UN PRESIDENT EMINEMMENT LEGAL ET UN PREMIER MINISTRE PUISSAMMENT LEGITIME (Par Mame Diarra Sow)

De l’impérieuse nécessité de poursuivre la révolution patriotique africaine développée au Sénégal avec son continuum de ruptures et sa cohorte de tumultes inhérents à toute révolution à l’instar de l’historique révolution française de 1789 ou du contemporain printemps arabe. C’est la mise en lumière du grand soir sénégalais mis au grand jour avec un pouvoir exécutif révolutionnaire qui marque l’une des premières ruptures avec un bicéphalisme inédit entre un Président éminemment légal et un Premier Ministre puissamment légitime. Une nouveauté qui conforte l’exception démocratique sénégalaise et enracine l’esprit révolutionnaire africain de PASTEF. 

Inédit! Car ce n’est pas le schéma bonapartiste ou césariste avec l’hégémonie d’un Président élu porteur d’un projet de société intuiti personae et un Premier Ministre nommé pour le mettre en œuvre. Mais un exécutif révolutionnaire d’un fauteuil pour deux figures politiques liées au peuple par un seul pacte de confiance sur la base d’un même projet. Un pouvoir exécutif inédit qui n’émane pas de l’élection présidentielle issue d’une rencontre entre un homme et son peuple mais d’un rendez-vous de duo DIOMAYE / SONKO et leurs concitoyens. 

Pourtant le Général De Gaulle fondateur du régime de la Ve République française fortement présidentialiste qui inspire le Nôtre disait verbatim « qu’il ne peut y avoir de dyarchie au sein de l’Etat » entre un Président de la République élu et un Premier ministre nommé.

Certes ! Car en l’espèce il n’est point de dyarchie au sein de l’exécutif mais d’une nouvelle expérience républicaine. Qui n’est ni anomalie démocratique ni dysfonctionnement institutionnel mais une adaptation de la réalité politico institutionnelle à l’instar du régime de cohabitation expérimenté au pays de Marianne. S’agissant en France de plusieurs séquences de cohabitation entre un Président de la République et un Premier ministre issu d’une majorité parlementaire de l’opposition.

Dans notre Sénégal de 2025, il ne s’agit pasaussi de cohabitation mais de l’avènement d’une jurisprudence institutionnelle émanant d’une révolution démocratique qu’on pourrait définir comme une Co gouvernance si l’on peut se permettre ce néologisme. C’est à dire un pouvoir exécutif à deuxforces entre un Président éminemment légal et un Premier ministre puissamment légitime.

Un duo de l’exécutif né du contexte exceptionnel de l’élection présidentielle révolutionnaire du 24 mars 2024. Qui est la traduction de la volonté du peuple souverain réitérée lors des élections législatives avec une majorité parlementaire exclusivementPASTEF dirigée par SONKO. 

Une Co gouvernance qui émane duparallélisme de forme avec une conquête du pouvoir à deux et un exercice du pouvoir à deux. Pour la première fois la conquête du pouvoir est incarnée par un duo au lieu d’être l’incarnation d’un seul homme face à son peuple. Le slogan « DIOMAYE MOY SONKO » en atteste.

Une Co gouvernance qui fait que si le Président DIOMAYE est Président de la République le Premier Ministre SONKO demeure le Président du parti présidentiel PASTEF ; DIOMAYE a gagné comme Chef de l’exécutif tout comme SONKO a triomphé des législatives. Si Le Président est gardien de la Constitution, le Premier Ministre reste le garant du Projet.

Une Co gouvernance qui s’affirme : d’abord parce que Le Président FAYE élu est par essence dépositaire de la confiance du peuple sénégalais mais cette confiance n’est pas intégrale. C’est une confiance déléguée et dictée par le Président SONKO qui a donné une consigne de vote aux sénégalais. Ensuite après avoir désigné son Co détenu candidat le leader SONKO s’est mobilisé et a battu campagne aux côtés du candidat DIOMAYE comme colistier de fait dans un tandem historique d’une campagne électorale éclair historique débutant du point de presse de l’hôtel AZALAI au rassemblement de MBOUR.

Partant de ce récit républicain révolutionnaire arriva le gouvernement SONKO 2 qui est venu relancer la rumeur grandissante et encombrante de dyarchie. Pourtant comme tout remaniement gouvernemental, il est destiné à donner un nouvel élan. En l’espèce censé faire taire les dissensions supposées au sommet de l’Etat.

Mais le gouvernement SONKO 2 n’aura pas réussi à rafraichir la chaleur du climat politique adossé aux symptômes du corps républicain malade au pronostic vital engagé interné au quatrième sous-sol d’après l’Autorité avec des signes cliniques les plus agonisants : déficit public abyssal ; dette publique cachée, inflation galopante, scandales politico-financiers en série, reddition des comptes publics, chômage de masse et jeunesse désœuvrée à l’assaut de l’océan pour un avenir meilleur au péril de leur vie.

Et voilà que le remaniement qui est en soit un léger réaménagement produit une forte controverse. Surtout avec les deux ministères régaliens de la Justice et de l’Intérieur respectivement à Mme FALL en permutation et Maitre Cissé avocat du Premier Ministre SONKO. D’aucuns y voient la puissance du Premier ministre avec une démonstration de force au sein de l’exécutif. Encore une suspicion grandissante d’une perception de dyarchie qui refait surface.

Le gouvernement SONKO 2 tout neuf a fait ressurgir le vieux spectre de la dualité. Et ce qui est un banal moment démocratique est devenu une périlleuse séquence républicaine avec son lot de controverses.

A nouveau, La petite musique de dualité résonne à grand bruit. La polémique enfle.Les esprits s’échauffent. Les imaginations s’enflamment sur la supposée dyarchie. La rumeur entre DIOMAYE ET SONKO au bruit assourdissant ne cesse de se développer, de s’amplifier et de s’épaissir.

Telle est l’actualité mais tel n’est pas l’enjeu. Compte tenu des urgences et de l’état du pays en souffrance enfoui au 4ème sous-sol l’enjeu n’est pas une équation de rupture politique de duo ou duel mais l’impérieuse nécessité d’une grande rupture économique et sociale. 

Assumer le duo en tant que guides de la révolution durant la conquête du pouvoir et pères de la rupture systémique durant l’exercice du pouvoir. Les deux figures de l’exécutif ne peuvent pas ne pas avoir la claire conscience de leurs rôles et de leurs responsabilités devant l’histoire. La rupture pour être à la hauteur des enjeux. Trouverdes solutions et des actions correctrices auxproblèmes. Surtout remettre le pays dans l’ordre à tout point de vue.

Le Président de la République qui est la clef de voûte des institutions a compris l’impérieuse nécessité du duo en criant urbi et orbi que le Premier Ministre doit être fort. Conscient que la force du Premier ministre ne signifie pas l’affaiblissement de la fonction présidentielle. Partager le pouvoir ce n’est pas le diviser et le fragiliser c’est additionner les capacités et le renforcer.

En toute conscience il reconnait qu’il a été élu victorieusement mais que son destin politique qui l’a propulsé de l’ombre à la lumière a été promu par les bons soins de son Premier ministre SONKO. 

En toute loyauté en évoquant à cri et à corps qu’il faut que le Premier Ministre soit fort montre qu’il ne s’essayera pas au symbole de l’aventure personnelle ni à l’audace transgressive. Ainsi loin de lui l’idée de faire la politique de l’autruche car conscient de sa candidature de substitution donc par défaut consécutive à l’invalidation de celle de SONKO.

En toute clairvoyance, l’homme politique avant d’être élu sait apprécier et garde en mémoire qu’avant d’accéder au pouvoir il n’avait ni poste électif ni poste nominatif ; qu’il n’était ni haut dirigeant de la fonction publique ni top manager du secteur privé. Propulsé du jour au lendemain comme candidat par le bon vouloir du leader SONKO a généré en lui un destin singulier comme nul autre pareil.

En tout réalisme, ça présage que le Président brillamment élu ne se laissera pasmener par le confort du pouvoir ni par ses lourdeurs théoriques ni par ses pesanteurs démagogiques. Par exemple ne pas adhérer ni à la soudaine et curieuse sympathie d’une frange de l’opposition ni à leur subite et inattendue force de soutien qui l’invite à occuper pleinement et exclusivement le fauteuil de l’exécutif évoquant l’interprétation stricto sensu de la fonction présidentielle comme seul dépositaire de la confiance des concitoyens. Mais comme déjà souligné, omettant de dire qu’il bénéficie d’une confiance déléguée émanant du Président de PASTEF.

En toute responsabilité l’on peut être convaincu que le Chef de l’Etat de la rupture ne s’abandonne guère à l’ivresse du pouvoir ni aux ors et dorures du palais présidentiel ni aux gyrophares sifflants et sirènes hurlantes de la République.

Concernant le Premier Ministre SONKO, nul doute qu’il est l’incarnation du Projet ». Nul doute qu’il en est la figure de proue incontestable et incontestée. Il faut rendre à César ce qui appartient à César dit-on. Et sa responsabilité est engagée devant le tribunal de l’histoire pour le triomphe de larévolution. Le leader politique est attendu sur une obligation de résultat de laisser une trace précieuse dans le panthéon des révolutions compte tenu des attentes incommensurables suscitées. Et rien n’est de trop, rien n’est assez pour écrire un heureux chapitre de l’histoire. Comment capitaliser sur la posture de l’homme le plus influent ? Comment être à la hauteur du défi de rupture massive et de transformation du pays. Après le discours il est attendu sur des objectifs de rupture pour l’émancipation de la nation, la formation du capital humainnotamment la jeunesse à éduquer. Pour une économie d’innovation et de productivité créatrice de croissance et d’emplois. Pour solutionner le désordre économique et social, le bavardage médiatico politique in finé la pagaille républicaine. Si l’on dit que Premier Ministre a fait élire un Président de la République ensuite une majorité parlementaire de députés. Est venue l’heure de faire émerger des champions économiques acteurs d’une industrialisation et d’une transformation économique d’un pays en ordre.

Voilà pourquoi il faut enterrer la rumeur qui a accouché d’interrogations légitimes et de questionnements légaux sur le duo DIOMAYE et SONKO à savoir :

Le duo de frères d’armes s’est-il transformé en duel fratricide ? 

Le duo conquérant s’est-il converti en duel gouvernant ? 

Même s’il est souvent dit qu’en politique les amitiés les plus solides ne résistent ni aux circonstances, ni aux ambitions. Aussi que « La politique est le cimetière des amitiés » avec des exemples tristement célèbres d’ici et d’ailleurs. Senghor et Dia ; Fidel Castro et Ché Guévara ; Thomas Sankara…

Osons espérer, que la puissance du Projet révolutionnaire dicte que le duo ne se convertisse jamais à un duel.

Osons espérer que l’immense attente générée commande le devoir d’unité du duode Co gouverner.

Co Gouverner pour ne pas trahir la promesse de rupture

Co Gouverner pour effacer le décalage entre les débats stériles des politiques et les préoccupations réelles des citoyens

Co Gouverner pour que la parole entendue soit l’action attendue en couplant l’acte à la parole.

S’y ajoute le devoir d’exemplarité de s’unir et pouvoir unir la nation autour du vrai défi qui est la révolution économique. La seule révolution qui vaille. Avec Le modèle économique révolutionnaire qui fera date à l’instar des modèles des pays nordiques ou des Emirats arabes. Inventer le système économique qui changera la vie des Sénégalais. Que la surenchère politicienne soit relayée par une effervescence économique. Que l’inflation des discours politiques soit remplacée par une surproduction d’actes économiques. Que les députés rivalisent de propositions de loi qui nous impactent et que les ministres soient en compétition avec des projets de loi qui nous parlent.

Que le duo en Co gouvernance qui ne trahit pas l’esprit des institutions soit une richesse politique à convertir en prospérité économique.

Au nom des 80 morts connus durant les soulèvements populaires 2021 /2024 et de tous les autres martyrs inconnus

Au nom des milliers de sénégalais pour la plupart des jeunes engloutis dans les flots de l’Atlantique à la recherche d’une dignité humaine

Au nom des dizaines de blessés en souffrance

Au nom des centaines d’handicapés en traumatisme

Assumer le duo de l’exercice du pouvoir conformément à l’engagement de conquérirà deux tel que pensé et convenu dans le secret de leur cellule du Cap Manuel. Toutengagement à respecter qu’il soit parole donnée ou acte écrit.

Tout engagement à poursuivre dans une approche sacrificielle et principielle de servir les Sénégalais pour la grande rupture de progrès économique et social.

Telle est leur mission ! En écho à la pensée de Frantz Fanon :« que chaque génération doit affronter sa mission, la remplir ou la trahir ».

Vive la

Mame Diarra SOW

 Citoyenne

Auteur: Mame Diarra Sow
Publié le: Vendredi 10 Octobre 2025

Commentaires (14)

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    Boubs il y a 21 heures

    Merci pour ce texte, je suis content de vous avoir lu! Le Sénégal a besoin d'initiatives de ce type quel que soit notre bord politique. Le texte est pertinent, argumenté, il est correct , respectueux et surtout c'est une véritable contribution intellectuelle, pas autre chose. DIEUREDIEUF

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    Retard il y a 21 heures

    Sokhnaci débat bi wessounagneko bou yaggeu!

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    Thieuye lii il y a 21 heures

    Tres bien dit Sokhna DIARRA SOW. Tout a ete' tres bien pense' et tres bien dit. Une plume d,or mashala. Bonne continuation. Si j,etais Professeur, je vous aurais donne' 20/20 Merci beaucoup

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    Sénégal il y a 21 heures

    La Cour suprême de Dakar, au Sénégal, a rejeté, le 1er juillet, un recours en rabat d'arrêt du premier ministre, Ousmane Sonko.
    La cour suprême du Sénégal confirme son inéligibilité.
    Par conséquent Ousmane Sonko ne peut être candidat à l'election présidentielle de 2029.
    Il devra payer la somme de 200 millions de francs CFA de dommages et intérêts à Mame Mbaye Niang pour diffamation.

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    Sénégal il y a 21 heures

    La Cour suprême de Dakar, au Sénégal, a rejeté, le 1er juillet, un recours en rabat d'arrêt du premier ministre, Ousmane Sonko.
    La cour suprême du Sénégal confirme son inéligibilité.
    Par conséquent Ousmane Sonko ne peut être candidat à l'election présidentielle de 2029.
    Il devra payer la somme de 200 millions de francs CFA de dommages et intérêts à Mame Mbaye Niang pour diffamation.

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    PANAFRICAIN il y a 21 heures

    Pour moi c'est une chance,on a fait une pierre 2 coups. On a jamais eu un premier ministre mais un pantin du président

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    Halilou il y a 20 heures

    En tout cas, il y a trop de théorie et de comparaison. Ce qui est factuel c'est que les populations sont fatiguées et attendent le changement. Faute de changement des dures conditions de vies, ce régime va être viré en 2029. Bla bla rek zéro réalisation à part les grosses fesses, gros ventres et grosses joues des autorités.

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    Xeme il y a 20 heures

    Du n'importe quoi.
    Je me demande ce qu'ils auraient écrit si ce duel existait comme ils le souhaitent.

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    Bebert il y a 20 heures

    la révolution patriotique africaine développée au Sénégal .............donne l'adresse de ton dealer......les 2 etrons : pirogues pleines, zéro jobs, caisses noires ya bon.........et suçons a fond le FMI sinon c'est les crevards dans la rue................quel putain de zoo de larves !!

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    Anonyme il y a 19 heures

    Il faut et il convient que nous ayons davantage de femme en politique au pays. .Bravo Mme pour votre esprit lumineux qui retrace brillamment et objectivement avec fidélité comment les choses sont survenues par la Volonté inébranlable d'un seul homme : Sonko. Sonko, Sonko, Sonko, digne de chants, de louanges et d’éloges, un héros premier arrivé et second par la nature mystérieuse des choses… Il a confiance en lui, il est sans peur et sans reproche, il est franc, honnête, véridique sans détour. Il a su rassembler la jeunesse autour de lui, qui se reconnait en lui. Il est fort, inébranlable, parle vrai, un homme hors du commun. Il a effacé et éclipsé tout le monde politique en place devenu portion congrue et résiduelle. Il incarne le héros hegelien dont la volonté s’accomplit au travers des circonstances douloureuses et sacrificielles. Une étoile scintillante, tombée d’en-haut pour s’illustrer au service du pays, de l’Afrique et du peuple. Il représente la Providence, la Nécessité et le Destin. Les mots ne suffisent pas pour décrire l’indescriptible, l’ineffable… Un phénomène unique en son genre qui mérite notre indéfectible soutien et accompagnement pour mener à bien ses ambitions, ses rêves de renouveau et de progrès

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    Sénégal il y a 17 heures

    Ce débat n’a plus lieu d’être depuis longtemps. Encore un article commandité pour répondre à la pétition « Sonko dégage » et tenter de minimiser le manque de respect de Sonko envers les deux chefs d’État lors du forum sur les investissements.
    Les dés sont déjà jetés : selon la Constitution sénégalaise, le Premier ministre est nommé par décret et ne dispose d’aucune légitimité électorale. C’est Diomaye qui détient le suffrage des Sénégalais, pas Sonko, dont l’attitude reste arrogante et condescendante.
    Tout porte à croire qu’il cherche à saboter le mandat de Diomaye. La preuve : chaque fois que des avancées sont réalisées dans les négociations avec le FMI, il sort de son silence pour tout compromettre. Or, le FMI est une institution soucieuse de son image et de sa crédibilité, et ce n’est pas sans raison que de nombreuses entreprises dépensent des millions en communication pour entretenir leur réputation.

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    Sénégal il y a 17 heures

    Ce débat n’a plus lieu d’être depuis longtemps. Encore un article commandité pour répondre à la pétition « Sonko dégage » et tenter de minimiser le manque de respect de Sonko envers les deux chefs d’État lors du forum sur les investissements.
    Les dés sont déjà jetés : selon la Constitution sénégalaise, le Premier ministre est nommé par décret et ne dispose d’aucune légitimité électorale. C’est Diomaye qui détient le suffrage des Sénégalais, pas Sonko, dont l’attitude reste arrogante et condescendante.
    Tout porte à croire qu’il cherche à saboter le mandat de Diomaye. La preuve : chaque fois que des avancées sont réalisées dans les négociations avec le FMI, il sort de son silence pour tout compromettre. Or, le FMI est une institution soucieuse de son image et de sa crédibilité, et ce n’est pas sans raison que de nombreuses entreprises dépensent des millions en communication pour entretenir leur réputation.

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    Sénégal il y a 17 heures

    Seneweb a purement et simplement effacé les articles relatant les directives de Diomaye sur les infrastructures frontalières et le retour des bourses familiales. Une disparition « mystérieuse » intervenue dès que les internautes ont commencé à rappeler que ces initiatives existaient déjà sous Macky Sall, à travers le PUMA et le PUDC. Une censure flagrante qui en dit long sur la manipulation de l’information dès qu’il s’agit de raviver le débat sur l’héritage des politiques publiques.

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    Sénégal il y a 17 heures

    Seneweb a purement et simplement effacé les articles relatant les directives de Diomaye sur les infrastructures frontalières et le retour des bourses familiales. Une disparition « mystérieuse » intervenue dès que les internautes ont commencé à rappeler que ces initiatives existaient déjà sous Macky Sall, à travers le PUMA et le PUDC. Une censure flagrante qui en dit long sur la manipulation de l’information dès qu’il s’agit de raviver le débat sur l’héritage des politiques publiques.

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    baratin il y a 15 heures

    D'abord apprend à écrire correctement ton nom qui est différent du patronyme DIARRA ! C'est DIARAH non Diarra . Normal ce nom est d'origine SONINKE et a été emprunté par les Hal poularen . Ensuite ce n'est avec ton baratin que la situation du Sénégal va s'améliorer avec SOUKE ET SIRIKI et votre soit disant révolution africaine Enfin, le Sénégal a besoin d'actes pas de belles phrases copiées sur le net et agencées avec l'IA

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