QUI VOUS FAIT PEUR, MONSIEUR LE PRÉSIDENT ? ( Par Amadou Lamine Ba)
UN CITOYEN VOUS PARLE.
Le silence de l’État du Sénégal face à la candidature du poète Amadou Lamine Sall au poste de Secrétaire général de la Francophonie n’est plus un simple oubli :
c’est une anomalie républicaine.
Une question provocatrice mais légitime se pose alors :
Au Sénégal, y a-t-il des citoyens qu’on écoute… et d’autres qu’on ignore ?
Monsieur le Président : un citoyen vous parle. Écoutez-le comme un chef d’État écoute son peuple.
Je me souviens d’une vidéo célèbre :
Un citoyen français crie « Monsieur le Président, un citoyen veut vous parler ! »
Et Emmanuel Macron, en courant, traverse la rue pour écouter cet homme.
C’est cela, le respect du peuple.
C’est cela, la grandeur d’État.
Comment alors expliquer, Monsieur le Président,
que vous ne répondiez pas à un Sénégalais qui a servi sa Nation,
honoré son pays,
et porté l’Afrique sur les plus grandes scènes du monde ?
Un homme qui a servi l’État, la culture, l’histoire et la Francophonie
Voici ce que représente Amadou Lamine Sall :
• Président des écrivains du Sénégal
• Secrétaire général de la Biennale des Arts et des Lettres du Sénégal
• Secrétaire général de la Fondation mondiale du Mémorial Gorée
• Conseiller technique au ministère de la Culture
• Représentant du Sénégal au Réseau mondial des auteurs francophones
• Fonctionnaire au ministère de l’Intérieur
• Fonctionnaire au ministère de la Culture
Il a inspiré des thèses de doctorat, reçu des prix internationaux,
et sa voix résonne au Musée du Louvre, symbole culturel mondial.
Un homme respecté par le spirituel : reçu par le Khalife général des Mourides
Amadou Lamine Sall a été reçu par le Khalife général des Mourides,
une distinction qui n’est accordée qu’à ceux dont la vie et les valeurs portent sens, dignité et élévation.
Rappelons ce que représente le Mouridisme dans le monde :
• L’un des plus grands mouvements spirituels d’Afrique,
• Présent sur tous les continents,
• Une référence d’éthique, de travail, de discipline et de rayonnement moral,
• Un pilier religieux, social, économique et culturel du Sénégal,
• Un point d’ancrage pour des millions de musulmans,
et même un symbole de tolérance respecté par des chrétiens.
Être reçu par le Khalife, c’est être reconnu par l’un des pouvoirs moraux les plus influents d’Afrique.
Cela en dit long sur l’homme.
Et cela devrait en dire long à l’État.
Un expert de la Francophonie, pas un candidat improvisé
Rappel fondamental :
• Auteur de “Regard sur la Francophonie”,
• Collaborateur de Jean-Louis Roy,
• Collaborateur d’Abdou Diouf, ancien président du Sénégal et SG de la Francophonie.
Il est dans la Francophonie depuis 40 ans.
Il n’y postule pas par hasard :
il y a contribué, pensé et participé.
Senghor aurait répondu. Wade aurait répondu. Macky Sall aurait répondu.
Alors vous… qu’attendez-vous ?
Monsieur le Président,
Monsieur le Premier ministre,
Monsieur le Ministre de la Culture,
Pourquoi ce silence ?
De quoi avez-vous peur ?
Qu’est-ce qui vous empêche de répondre ?
Le rappel qui dérange : Dieu élève qui Il veut
Un an avant votre arrivée au pouvoir,
personne ne croyait que vous remplaceriez Macky Sall.
Personne.
Mais Dieu élève qui Il veut.
Dieu renverse les pronostics.
Dieu ouvre les chemins que les hommes refusent.
Alors pourquoi empêcher un autre Sénégalais d’espérer ?
Comme en Coupe du monde : représenter, c’est déjà gagner
Le Sénégal est qualifié pour la Coupe du monde.
C’est déjà une fierté africaine.
S’il gagne : l’Afrique gagne.
S’il perd : l’honneur est intact, car participer, c’est déjà porter l’espoir continental.
La candidature d’Amadou Lamine Sall repose sur la même logique :
oser, c’est déjà représenter.
représenter, c’est déjà gagner.
Un État se mesure à sa capacité à répondre, pas à son silence
Dire oui est un acte politique.
Dire non est un acte républicain.
Mais ne rien dire est un acte d’effacement.
Un État qui ne répond pas :
• crée la suspicion,
• affaiblit la confiance,
• et laisse croire que tous les citoyens ne se valent pas.
La République ne peut pas fonctionner ainsi.
L’heure de la vérité : répondez.
Monsieur le Président,
Monsieur le Premier ministre,
Monsieur le Ministre de la Culture,
Un citoyen vous parle.
Un citoyen vous interpelle.
Un citoyen vous demande un simple acte de respect : une réponse.
Le Sénégal mérite un État qui parle.
Le Sénégal mérite un État qui assume.
Le Sénégal mérite un État qui existe.
Commentaires (21)
Nous n'avons plus d'Etat. Le Sénégal n'existe plus;
A nous de le ressusciter en 2029 en prenant nos responsabilités pour dégager PASTEF et tout ce qui lui ressemble. Afin de retrouver notre Sénégal
La France et les occidentaux peuvent etre un atout si nous decidons d'etre serieux ( arretons nos africainerie - pas credible - reputes sans valeurs ethique - facile a corrompre - irresponsable - pret a vendre nos populations pour nos petits desirs - petits types - narcissistes - eggomaniaques, pouvoir affame - argent affames ): commencons par coupe les tetes des voleurs de dernier publiquers comme en Asie.
les occidentaux n'empechent pas au pays ambitieux de se developper - cooperer avec l'occident peut entre autre partenaire est tout aussi bien: Singapore coopere avec l'Austrtalie - louant une bonne partie des territories du nord de l'Australie a plus d'un Milliards de dollars par annee, y erigeant une base militaire ou est garde tout l'armada de leur equipemment militaire hypersofistique et US made - en plus ils sont partenaire sur le plan militaire dans le Cadre d'accords ANZAC, ANZUS ( AUs , US New Zeland , UK ) Ils font des joints trainings. Nous avons les terroristes pratiquement a nos frontieres, la surveillance satellitaires et la haute technologie militaire occidentale peut nous etre utile si on est des partenaires - we can benefit from good relartions with the West - It is not necessary to be loud about our desire of independance - we are already independant and have been since 1960 - the probleme is our own poor and pitty choice of corruption and eggo at the expense of national interest. Poor leadership, none transparent and dishonest leaders - this is what our problem is.
Diomay ne doit pas cautionner l'injustice pour instaurer la paix et rassurer les investisseurs - accorder la justice et proceder a a reddition des comptes ce sont des choses qui se font en occident - alors pourquoi Diomay ne peut pas clairement expliquer aux senegalais que la justice et la reddition des comptes se feront et quand et en meme temps justifier le nouveau discour qui devra etre moins beliqueux et plus courtois vis a vis de tous nos partenairesqui en font de meme que nous. expliquer que souverins, nous le sommes depuis longtemps - mais que nous avions nous meme bafoue notre souveraienement en optant pour la corruption au niveau de l'elite dirgeante.
The Southern Pacific disapora.
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Abdou Diouf trahi,Moustapha Niass
Macky Sall serere de culture trahi maître Alioune Badara Cissé
e
Même dans l’administration,les entreprises,ASC,dahira etc les sereres trahi toujours.Rusés qu’il sont ils ont ancré dans le tête des wolof que les peuls sont des traitres pour arriver au pouvoir
Signé serere diam leu
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