En Italie, le "Saint homme" Francesco Grassi ne laisse personne indifférent. Ancien moniteur d'équitation, il se fait appeler "Shivananda" et prétend guérir les femmes par le sexe. Son histoire a fait la une des journaux transalpins après les plaintes de certaines femmes "victimes" de ses thérapies très spéciales.
Elles se sont exprimées devant les caméras de "Zona Bianca", un programme de la chaîne de télévision "Rete 4".
« J’ai ressenti un fort désir pour lui »
L’une d’entre elles révèle avoir eu des rapports sexuels avec le gourou, après une imposition des mains à l’intérieur de sa tempe, et un contact visuel persistant.
« J’ai ressenti un fort désir pour lui…Il m’a appelé dans une pièce en disant qu’il pouvait me guérir. En fin de compte, l’acte sexuel a eu lieu » raconte la femme.
« Je suis un canal du seigneur, un canal d’énergie »
Pour le gourou, guérir les femmes par le sexe, est une bénédiction accordée par le très haut. « J’ai cette grâce divine. Je n’ai rien fait pour l’avoir. Je suis un canal du seigneur, un canal d’énergie » a déclaré l’ancien moniteur d’équitation, établi dans un Ashram de la campagne de San Marco La Catola (région de Foggia, dans les Pouilles).
Les "pratiques de guérison" se dérouleraient dans cet Ashram fréquenté par des femmes de tous âges, dont des ouvrières et des femmes au foyer.
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