Ce samedi, Emmanuel et Brigitte Macron se sont rendus aux obsèques du pape François, décédé le 21 avril dernier. Et la tenue de la Première dame n’est pas passée inaperçue.
Un code vestimentaire qui n’a pas été respecté. Selon certains experts, Brigitte Macron, venue rendre un dernier hommage au pape François ce samedi, a marqué les esprits, mais pas pour de bonnes raisons.
Selon le Daily Mail, qui a interrogé l’experte Jo Hayes, le Vatican avait instauré un code vestimentaire pour les obsèques du pape François, qui se sont déroulées ce samedi 26 avril.
Ce code vestimentaire imposait notamment aux femmes de porter «une robe noire sobre ou un tailleur formel avec un voile, un foulard ou un couvre-chef noir».
Et c’est cet accessoire qui a manqué à l’épouse du président de la République. Un oubli ou un choix qui pourraient n’être qu’un détail, mais qui sont finalement assez révélateurs pour Jo Hayes.
Une règle importante
«La politesse veut que l’on respecte le code vestimentaire prévu pour un événement, quel qu’il soit, et surtout un événement aussi significatif que les funérailles d’un pape», a affirmé l’experte.
Surtout que Brigitte Macron a été la seule des «Premières dames et royales» à ne pas avoir porté de voile ou de couvre-chef : «Je suis assez surprise car elle est habituellement très respectueuse du protocole».
«En tant que Française, issue d’une nation historiquement marquée par le catholicisme romain, Brigitte Macron connaît certainement l’importance de la règle du voile lors d’événements officiels en présence ou en hommage au pontife», a poursuivi Jo Hayes.
Donald Trump également pointé du doigt
Le président des États-Unis a lui aussi dérogé au code vestimentaire, qui recommandait «un costume sombre avec une chemise blanche et une longue cravate noire» pour les hommes.
En effet, Donald Trump a rendu un dernier hommage au pape François avec un smoking bleu : «Beaucoup qualifieraient ce costume de bleu foncé, mais un bleu marine profond aurait été plus adapté, s’il ne souhaitait pas porter du noir traditionnel», a conclu Jo Hayes.
Auteur: CNEWS
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