Agrégation Cames : zéro admis en Guinée et au Gabon
La Guinée et le Gabon sont les deux seuls pays à ne pas avoir de nouveaux du Cames parmi les pays ayant envoyé des candidats au Cames. Conakry et Libreville ont récolté un zéro pointé au 22ème concours d’agrégation en Sciences juridiques, politiques, économiques et de gestion (SJPEG) du Cames tenu à l'UCAD à Dakar. Chacun des deux pays avait envoyé trois candidats. La Guinée a vu son dernier représentant échouer au pied du podium, c’est-à-dire aux épreuves d’admission définitive. Les 2 autres n’ont pas dépassé le cap de la sous-admissibilité. Quant au Gabon, tous ses candidats ont été recalés au premier tour.
Dans cet exercice, c’est le Togo qui s’en est sorti le mieux avec 11 admis sur 17 candidats, soit 64,71% de réussite. Il est suivi du Burkina qui a 16 admis sur 26 candidats (61,54%). Avec 37,84%, (14 admis sur 37), le Sénégal se trouve à la 5ème position derrière le Tchad (3 sur 6) et le Bénin (10 sur 20) qui ont chacun 50%.
Le taux de réussite global est de 40%. De 215 candidats, on est passé à 113 sous admissibles, 97 admissibles et 86 admis.
Commentaires (10)
Pas surprenant pour la Guinée mais le Gabon méritait mieux . Ne serait ce que pour le retour d'investissement dans l'effort qu'il met dans les bourses accordées pour les études à l'étranger mais apparemment il doit élever le niveau.
CAMES , c'est quoi même ?
ca me rappelle mes annees d'insouciance.
de la fenetre, onobservait la rue, avec mes soeurs
le concours etait ainsi etabli:
il fallait deviner dans quel sens viendrait la prochaine voiture à passer dans la rue.
ah! le bon vieux temps...
À l'échelle mondiale, le Sénégal est le 70ème partenaire commercial de la France.
Surprenant pour le Gabon
et la France. bande d'ignards
Quand on entend Daddis et Toumba sexprimer on est pas surpris. Cheikou Toure a decime toute la creme gu8neene.
Puisque le concours se fait en français, je crois qu il faut introduire le français comme matière pour tous les étudiants.
La maîtrise de la langue est un problème poir les étudiantset certains enseignants. L 'expression orale et/ou ecrite reste difficile . La prononciation de certains mots est aussi un problème .
Bref!
Il faut que le ministère de l Enseignement supérieur reflechisse sur ça.
Aux Etats Unis, l Anglais est enseigné à l Université aux étudiants de première et deuxième année. Pourquoi pas chez nous?
Il faut sortir du cames et prendre en mais notre systeme educatif et l'avancement de nos profs. Ce truc n'a aucun sens aujourd'hui à part fabriquer des mandarins.
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