Le Ministère de l'Éducation dément : « Aucun programme n'enseigne l'homosexualité »
Dans son communiqué, le Ministère de l'Éducation nationale réfute avec la plus grande fermeté et la plus haute gravité les informations diffusées ces dernières heures, laissant croire que « l'homosexualité serait enseignée dans les écoles du Sénégal ».
Selon les autorités éducatives, de telles affirmations sont non seulement fausses et infondées, mais elles constituent également une tentative manifeste de semer le doute et de troubler profondément l'opinion publique.
Le Ministère rappelle que les programmes scolaires du Sénégal sont souverainement élaborés, validés par les instances pédagogiques habilitées et en totale conformité avec les valeurs morales, religieuses et culturelles de la Nation. L'autorité précise qu'aucun document officiel, aucun manuel homologué, aucune directive pédagogique ne contient la notion incriminée.
Selon le communiqué, la publication en cause provient d'un individu se présentant comme journaliste et repose sur un extrait isolé dépourvu de toute contextualisation. Une telle démarche, étrangère aux exigences de rigueur et d'éthique, contribue à troubler la sérénité publique et à jeter un discrédit injustifié sur l'école sénégalaise.
Le Ministère appelle solennellement l'ensemble des citoyens à la prudence, au discernement et à la vigilance face aux manipulations pouvant circuler sur les réseaux sociaux.
Le communiqué souligne que l'École sénégalaise est un espace sacré où s'acquièrent le savoir, les valeurs et la citoyenneté. Elle ne saurait faire l'objet de spéculations, d'amalgames ou d'instrumentalisations, surtout dans un contexte de réappropriation de notre capital spirituel et de promotion de nos valeurs à travers différents programmes.
Le Ministère cite notamment la Nouvelle Initiative pour la Transformation Humaniste de l'Éducation (NITHÉ), l'intégration des daaras, et la promotion du civisme à travers le concept armée-nation.
Enfin, le Ministère de l'Éducation nationale réaffirme son engagement absolu à préserver une école républicaine, profondément enracinée dans les valeurs sénégalaises, dédiée à la formation de citoyens éclairés, responsables, ancrés dans leur culture et porteurs de l'avenir de la Nation.
Le communiqué conclut avec fermeté : « Aucun écart à cet engagement ne sera toléré. »
Commentaires (15)
Il suit la même stratégie que Senghor : occuper l’opinion pendant que sa coalition UCG se met en place, entouré de figures du vieux système politique présent depuis 65 ans.
S’il considère encore certains responsables du système, qui ont toujours pillé le Sénégal, comme des modèles, alors que le Sénégal dépend toujours du FMI, c’est inquiétant. Ces vieux du système ont échoué. De plus, mettre des milliards à disposition de Mimi Covid25 pour acheter un appareil politique montre un manque de discernement : un appareil politique ne s’achète pas, il se construit.Dans le temps c’est une relation de confiance entre un homme politique et le peuple et Diomaye n’est même pas en mesure de gagner la confiance des habitants de Ndiagagnao qu’il n’a jamais reussi a gagner ou etait ton dieu qui t’aurait donné le pouvoir ? Donc ton dieu est Sonko n’en déplaise au nouveau prince de Ndiagagnao
Nous vous attendons !!!
Ce gars est un nullard parachuté pour continuer des programmes qu il trouvé sur place. Il connaît rien a part présider des cérémonies
Il faut toutefois respecter les inspections d'académie en leur laissant l'organisation de la suite du concours. Si vraiment n veut donner la chance à tous,
il ne faut pas convoquer à Dakar pour finir le reste du teste.
Pour soulager - aider - faciliter -respecter la digité des candidats et leurs parents mais aussi les Académies qui organisent pourtant le Baccalauréat - Alors,
la suite du concours CREM doit être LOCAL et non à Dakar.
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