Saccage du restaurant Aby’s Garden : Le procès de l’associé d'Aby Ndour, Babacar Athie renvoyé au 5 décembre
L’affaire Aby’s Garden, opposant les associés Aby Ndour et Babacar Athie, a été évoquée ce 28 novembre 2025 à la barre du tribunal des flagrants délits de Dakar. Mais le procès a été renvoyé au 5 décembre pour plaidoirie.
Pour rappel, l’artiste Aby Ndour avait porté plainte contre son associé Babacar Athie, pour destruction de biens et blocage des opérations de l’entreprise. Selon sa requête, les relations entre les deux dirigeants se sont fortement détériorées ces derniers mois, notamment après la découverte d’un détournement de 40 millions F CFA dans les caisses de l'Aby’s Garden SARL installée sur la corniche-Ouest de Dakar.
À la suite de la première plainte, Babacar Athie avait été déféré au parquet de Dakar, après sa garde à vue. Le dossier en instruction au 2e cabinet, Babacar Athie a remboursé la totalité de la somme détournée pour bénéficier d’une mise en liberté provisoire.
Après sa libération, les choses ont viré au vinaigre. Selon le constat d’huissier joint au dossier, Babacar Athie est revenu dans les locaux de l’entreprise pour détruire le chéquier officiel délivré par la BCI, en raturant tous les talons. Cet acte a eu pour effet de bloquer totalement les opérations bancaires et financières de la société, paralysant ainsi ses activités.
Aby Ndour estime que ce comportement était pour entraver délibérément la bonne marche d’Aby’s Garden.
Lors de l’audience de ce vendredi, B. Athie a comparu aux côtés de son avocat. Mais la partie civile, Aby Ndour, ne s’est pas présentée à la barre. Elle était représentée par son conseil.
Commentaires (10)
Cet homme semble constamment au cœur du truandage. Rien n’y fait : malgré une première épouse brave, calme, polie, pieuse et d’une droiture exemplaire, il se retrouve sans cesse impliqué dans des scandales.
Un jour, il se réveille et court marabouter des associés pour tenter d’échapper à ses responsabilités. Un autre, il cherche à fuir avec l’argent d’autrui. Quand ce ne sont pas les associés, ce sont les banques.
Au Grand Café, son arrogance et son manque de respect ont fini par étouffer le personnel, qu’il n’hésite pas à traiter comme des animaux.
Sacré Babacar… toujours au centre de nouvelles affaires.
Sacrè Djioloff .
parce que nous aussi les clients, seen ay nawlee la nu.
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