Affaire Madiambal Diagne et Pape Malick Ndour : Alioune Tine dénonce un grave dysfonctionnement administratif
Invité de l’émission Ultimatum sur Seneweb, Alioune Tine, fondateur d’Afrikajom Center, a réagi à l’affaire impliquant Madiambal Diagne et Pape Malick Ndour, tous deux empêchés de quitter le territoire national sans avoir été préalablement notifiés d’une interdiction de sortie.Pour le défenseur des droits humains, cet épisode illustre un grave dysfonctionnement administratif qui jette le doute sur la rigueur des institutions. « Ils étaient tous les deux à l’aéroport parce qu’il y a eu un dysfonctionnement dans l’administration. Il y a eu un retard dans la transmission de l’information, et c’est déplorable », a-t-il souligné.
Alioune Tine rappelle que, dans un État de droit, toute mesure restrictive de liberté doit être clairement notifiée à la personne concernée. « Tant que ce pays appliquera la loi dans le respect strict de l’État de droit et des procédures, tous les épris de justice seront en phase », a-t-il déclaré.
Évoquant le cas du journaliste Madiambal Diagne, il ajoute : « À la place de Madiambal, surtout avec son statut, je ne pense pas qu’il aurait tenté de s’enfuir. Le problème vient du retard administratif et du manque de coordination. » Enfin, Alioune Tine plaide pour une réforme en profondeur du système judiciaire et administratif, afin d’éviter la répétition de telles erreurs. « Il faut une réforme systémique, conforme aux principes de l’État de droit et à la dignité des citoyens », a-t-il conclu.
Commentaires (48)
Mais ce qu'il est entrain de faire, c'est très bien, c'est son role.
A chacun son role.
Les toilettes des élèves n'ont PAS D'EAU. Les enfants sont forcés d'utiliser des sanitaires insalubres, sans aucune hygiène.
La santé de nos enfants est directement menacée par les risques de maladies. C'est inacceptable !
Malgré la gravité de la situation, l'association des parents d'élèves ne réagit pas.
L’inspection d’académie est interpellée.
Partagez ce message ! Interpellons la direction et les autorités pour qu'ils agissent MAINTENANT et abrègent la souffrance de nos enfants.
Il a affirmé que Sonko est un Milliardaire.
Depuis, il est devenu l'homme à abattre.
Pour le cas de Pape Malick Ndour, il s'agissait de trouver un pretexte pour libérer Ngoné saliou.....c'était Un contre-feu.
Alioune essaie de justifier la fuite de personnes qui commettent des infractions.
Dans tous pays quand des soupçons pèsent sur une personne il ne cherche pas à s’enfuir
Au lieu de s’indigner des personnes des personnes qui ont volé et tuer des sénégalais, vous cherchez à les défendre
Pape Malick, il savait tres bien, comme Mansour Faye a l'epoque, que des dossiers sont ouverts contre eux. Ils voulaient comme les autres qui ont mis leur courage dans leurs jambes. Aujourd'hui, tu as un vrai Etat de Droit, si tu compares avec le regime de Macky Sall que tu ne critiquais pas comme tu le fais en ce moment. Il faut arreter de nous pomper l'air.
Pourtant c'est le même Alioune Tine qui défendait Sonko quand il était dans ses déboires judiciaires contre l'ancien régime.
Pourquoi les pasteefiens sont ingrats ?
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
En s’attaquant frontalement à des figures bien implantées dans leurs fiefs, le pouvoir semble ignorer une réalité politique fondamentale : la victimisation renforce la légitimité. Les mobilisations populaires récentes en sont la preuve éclatante. Au nord, Farba Ngom bénéficie d’un regain de soutien impressionnant ; à Saint-Louis, Mansour Faye rallie de plus en plus de partisans ; à Louga, Moustapha Diop suscite une ferveur populaire inattendue ; et à Dakar, le mouvement du Rappel à l’ordre parvient à fédérer un large front citoyen en dénonçant ce qu’il considère comme une justice à deux vitesses.
Ces signaux devraient alerter les dirigeants du Pastef : en voulant neutraliser leurs adversaires, ils risquent au contraire de consolider leur statut de martyrs politiques et de leur offrir une nouvelle légitimité morale. L’opinion publique sénégalaise, profondément attachée à la justice et à l’équité, réagit mal à ce qu’elle perçoit comme une instrumentalisation du pouvoir judiciaire. Plus les arrestations se multiplient, plus elles alimentent le sentiment d’injustice et la frustration populaire, y compris parmi ceux qui n’étaient pas initialement hostiles au régime.
Si cette stratégie n’est pas corrigée, elle pourrait se retourner contre le Pastef. L’histoire politique du Sénégal montre que la répression a souvent précédé la défaite électorale : chaque fois qu’un pouvoir s’est enfermé dans la logique de la confrontation plutôt que du dialogue, il a fini par perdre le soutien populaire. En poursuivant sur cette voie, le Pastef risque non seulement d’éroder sa crédibilité, mais aussi de fragiliser le climat social et politique du pays.
Si l'Etat veut empecher quelqu'un de bouger il ne sortira même pas de sa maison.
Les gens font de la politique et veulent du sensationnel et faire croire que des personnes ont été empechées de fuir.
Na niou baayi tiaxane bi.
Reunion organisée entre La société ELLIPSE PROJECT, Ousmane Sonko et Me Clédor Ly .
La société ELLIPSE PROJECT a financé les lourds frais médicaux à Paris,de Me Ciré Clédor Ly avocat de Ousmane Sonko.
Selon Me Ciré Clédor Ly, la société Ellipse project n'est pas concernée par les enquêtes du Pool judiciaire financier PJF.
Sur les 50 fournisseurs qui ont collaboré avec Ellipse project, seul la socìété de l'homme d'affaire et journaliste Madiambal Diagne est impliquée.
Quelle médiocrité.
Moniteur Tine je constate que lire vos articles ou écouter vos communications de nos jours n'est ni plus ni moins qu'une perte de temps. HEUREUSEMENT LA JEUNESSE AFRICAINE A CHANGÉ ET LES TRICHERIES NE PASSENT PLUS. VOUS TRAILLEZ MAINTENANT POUR MACKY SALL ET SON CLAN, MAIS C'EST PEINE PERDUE. ILS ONT PILLE LES RICHERCHED DU PAYS, MASSACRE, TORTURE SES CITOYENS ET POSER SON COUDE SUR LES ENQUETES. MR TINE FAUT-IL VŒU RAPPELER QUE MACKY S'EST ENFUI AUSSITÔT APRÈS SA PERTE DU POUVOIR ET QUE SON COUDE EST AU DIABLE. DONC NE VOUS EN DEPLAISE BONJOUR LES ENQUETES.
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