ANASER : il critique la gestion du DG et récolte une convocation à la police
Le président de l’Association nationale des personnes accidentées vivant avec handicap (ANPAVH), Ousmane Ndoye, est convoqué ce jeudi 11 septembre à 11 heures à la Division spéciale de cybersécurité (DSC). Il va répondre à une plainte du directeur général de l’Agence nationale de sécurité routière (ANASER), Atoumane Sy. Selon Les Échos, qui relaie l'information dans son édition du mercredi, cette plainte fait suite aux critiques publiques formulées par Ndoye à l’encontre de la gestion du Dg de l’ANASER.
Commentaires (72)
Ces incompétents sont constant dans leur logique de vouloir faire taire les sénégalais sur leurs insuffisances manquements et dérives
Ils oublient que ce sont ces sénégalais qui les paient !!!
Ils ont lu culot de convoquer le Président des victimes d'accident. Il faut supprimer cette agence elle prône l'insécurité routière. Les accidents se multiplient et aucune mesure concrète n'est établie. Je leur propose juste de mettre de panneaux d'indication des zones accidentoges et aussi des panneaux de rappel sur les points d'accidents mortels. Par exemple à Kaffrine là où il y a les 80 morts .
ANASER : une agence prise en otage par son DG
1. Un directeur général en contradiction permanente
L’ANASER, censée être le rempart contre les drames routiers, se retrouve aujourd’hui prisonnière d’un directeur général plus préoccupé par ses règlements de compte internes que par sa mission de protection des vies humaines. Alors que chaque jour des Sénégalais meurent sur nos routes, le DG préfère maltraiter son personnel et multiplier les incohérences.
Dès son arrivée, il a menacé de renvoyer des agents sous CDI pour « raisons économiques », tout en recrutant de nouveaux fonctionnaires en parallèle. Une absurdité totale. Comment peut-on parler d’économies d’un côté et engager des dépenses de l’autre ?
2. Agents dispersés, missions inexistantes
La moitié du personnel est aujourd’hui affectée dans des régions dépourvues de sièges, sans moyens et sans missions claires. Ces femmes et ces hommes, qui étaient jusque-là le cœur de l’agence, sont réduits à l’inaction. Résultat : une ANASER paralysée, vidée de sa substance et de son efficacité.
Pendant ce temps, le DG s’improvise chroniqueur sur les plateaux télé, multipliant les déclarations creuses. Communiquer, il sait. Sauver des vies, beaucoup moins.
3. Illégalité et silence complice
Comme si cela ne suffisait pas, il recrute sans l’autorisation du conseil de surveillance, violant ainsi les règles élémentaires de gouvernance. Et que fait ce conseil ? Rien.
Le commissaire Boubacar Sanné, si bruyant dans d’autres affaires, garde aujourd’hui un silence assourdissant.
Me Masokhna Kane, qui aime se présenter comme défenseur du peuple, siège lui aussi au conseil. Informé des dérives, il ne bouge pas. Silence complice ou inertie volontaire ?
Le DG est allé plus loin : il a baissé illégalement les salaires des agents, piétinant le droit du travail.
4. Népotisme et gestion clanique
Cerise sur le gâteau, le DG a transformé l’ANASER en entreprise familiale. Il a recruté son cousin administrateur civil proche de la retraite et sa cousine, parachutée dans l’agence. Le népotisme est devenu la règle, la gestion clanique la méthode.
5. Une agence détournée de sa mission
Résultat : une agence minée par le favoritisme, la démotivation et le gaspillage des ressources. L’ANASER, au lieu d’être un outil de sécurité routière, est devenue la propriété privée d’un DG en dérive totale.
Pendant que les accidents de la route continuent de tuer chaque jour, l’ANASER est paralysée par l’incompétence, la mauvaise gouvernance et l’avidité de son chef. C’est plus qu’une erreur de gestion : c’est une trahison envers la mission sacrée de l’agence et envers le peuple sénégalais.
Un DG mythomane et très autoritaire il te croise tu ne lui plaît pas il t’affecte dans des régions où il n’y a pas de siège.
En tout cas les agents sont à la merci d’un grand minable. Et c’est extrêmement grave l’état doit prendre ses responsabilités pendant ce temps les accidents continuent à tuer les sénégalais
Allez travailler
Plus rien ne sera plus comme avant.
C’est triste mais ces arrivistes vont détruire le projet le président Sonko doit dégommer ces incompétents. Je commence à perdre espoirs franchement je ne sais pas ces gens là sont arrivés à être DG après les sacrifices qu’on a fait j’ai mal. Ce gars n’a pas une bonne presse. En plus il fréquente des lieux pas digne d’un DG
🚨 L’ANASER devait sauver des vies.
Aujourd’hui, elle sauve seulement les proches de son DG.
Népotisme, illégalité, salaires coupés : une agence prise en otage pendant que les Sénégalais meurent sur la route.
#ANASER #Trahison #SécuritéRoutière
Il est temps que les autorités se préoccupent de l'agence Nationale de la sécurité routière ANASER qui est en crise à cause de l'incompétence du nouveau DG qui n'a pas de vision et qui est nul...
L’ANASER est devenue la propriété privée de son DG.
Pendant que les routes tuent, lui place sa famille, coupe des salaires et viole les règles.
Une trahison envers le peuple sénégalais.
Balivernes Depuis son arrivée combien de personnes il a recruté ? Il ne cesse de prendre des décisions pour réduire les charges personnelles Conformément aux orientations du gouvernement, le dg est entrain de redresser la boîte en posant des actes concrets comme la sensibilisation , le déploiement des agents sur tout le territoire national, établir un plan national de sécurité routière...etc
Excellent mon gourou il faut égorger ceux qui ouvrent leurs bouches...vas y gourou chicote, chicote....tu ne fais rien mais caisses noires ya bon ...ce zoo n'a que ce qu'il mérite
Critique interdite ....... c´est ce qu´il faut lire à la page 2050 du Porozet. 😃
...plainte du directeur général de l’Agence nationale de sécurité routière (ANASER) ???
la victime:
le président de l’Association nationale des personnes accidentées vivant avec handicap (ANPAVH),
Au Sénégal même une personne normale a beaucoup de difficultés pour traverser la route ou marcher....
trottoires inexistants car encombrés par les marchands ou habitants, charettes, chariots, Conducteurs de mottos taxis jakarta sans aucune connaissance des régles du code de la route, abscence de feux de signalisation, de passages cloutés....
Dans un pays normal, même les aveugles peuvent traverser seuls la rue. Les feux de signalisation sont équipés d´un système sonore qui les informe sur la nature ou couleur du feu...
Depuis son arrivée à la tête de l’ANASER, M. Atoumane Sy a prouvé qu’un management rigoureux et une vision claire pouvaient sauver des vies.
Les campagnes de sensibilisation à la sécurité routière se sont multipliées, les partenariats avec les collectivités locales et les transporteurs se sont renforcés, et les statistiques d’accidents montrent déjà une amélioration.
Avant de juger, regardons les résultats : la mission de protéger les usagers de la route est bien au cœur de son action.
Toutes less témoignages que vous faites sur ce directeur sont vrai.
Je me demande comment il a atterri ici et pourtant il a de très grands collaborateurs
Il est important de rappeler que la convocation d’un citoyen par la police n’est pas une condamnation mais une étape normale pour vérifier des faits.
M. Sy dirige une institution clé pour la sécurité de tous et a le devoir de défendre la réputation de l’ANASER lorsque celle-ci est mise en cause.
Respectons la présomption d’innocence et observons la transparence des procédures avant de porter des jugements hâtifs.
Le travail accompli par l’ANASER sous la direction d’Atoumane Sy se mesure sur le terrain :
– renforcement des contrôles routiers,
– campagnes régulières de prévention dans les écoles et gares routières,
– modernisation de l’équipement pour la sécurité.
Ces actions concrètes parlent bien plus fort que les polémiques.
On peut toujours débattre des choix d’un dirigeant public, mais on ne peut pas ignorer les avancées réalisées.
M. Sy a su mobiliser les équipes et partenaires pour réduire les risques d’accident et instaurer une culture de prévention.
Soutenons les efforts qui vont dans le sens de la sécurité collective plutôt que de nous laisser entraîner dans des accusations sans preuves.
Dans un pays où les accidents de la route restent un véritable fléau, l’ANASER joue un rôle vital.
Sous la direction d’Atoumane Sy, des résultats tangibles sont visibles : formations des conducteurs, amélioration de la signalisation et campagnes de sensibilisation nationales.
C’est en poursuivant ces initiatives que nous protégerons des vies, pas en alimentant des querelles.
Avant de critiquer, regardons les chiffres : sous la direction d’Atoumane Sy, le nombre de campagnes de prévention a doublé en deux ans, et les statistiques d’accidents ont baissé dans plusieurs régions.
C’est cela qui compte pour les familles sénégalaises, pas les rumeurs.
Le nombre d'accidents durant le Magal dit que vous mentez. Il y a plus d'accidents mortels cette année depuis l'ouverture de Ila Touba.
Les paroles sont faciles, les résultats sont concrets.
Le DG de l’ANASER a mobilisé des équipes sur tout le territoire, modernisé les équipements de contrôle routier et lancé des programmes éducatifs.
Qui peut nier ces avancées visibles
On peut ne pas être d’accord avec tout, mais il faut reconnaître quand une institution progresse.
La sécurité routière a fait un bond en avant grâce au travail du DG Sy et de ses équipes.
Critiquer sans faits, c’est refuser de voir la réalité.
La convocation policière est une procédure normale quand on diffuse des propos qui portent atteinte à la réputation d’une institution publique.
Cela montre que l’ANASER prend au sérieux la vérité et la transparence.
Ceux qui attaquent le DG devraient aussi parler des nombreux conducteurs sensibilisés, des milliers d’élèves formés, et des routes mieux sécurisées.
Les faits sont clairs : le pays avance grâce à ces initiatives.
La sécurité routière au Sénégal est un défi national.
Sous la direction de M. Atoumane Sy, l’ANASER a lancé des projets structurants, renforcé la prévention et engagé des réformes ambitieuses.
Défendre son honneur devant la justice n’est pas une attaque contre la liberté d’expression mais une démarche de transparence.
Allez voir le motif de la plainte
Il faut que ces genres de pratique cessent
Inonder les plateformes de mensonges
l'Anaser une agence nouvelle avec un Directeur dévoué qui ne cesse de multiplier la sensibilisation des acteurs de la route pour réduire les accidents
Continuez dans cette lancée Atoumane
Les autorités savent reconnaître les bosseurs
Beaucoup parlent sans connaître le travail déjà accompli. Sous la direction de M. Atoumane Sy, l’ANASER a renforcé les contrôles, mené des campagnes de prévention dans tout le pays et lancé des projets pour sécuriser nos routes. Les chiffres officiels prouvent une réelle amélioration.
Atoumane Sy a fait de la sécurité routière une priorité nationale, avec un objectif clair : réduire de 50 % les décès d’ici 2030. Ce n’est pas un slogan, c’est un plan appuyé par des partenaires internationaux.
Critiquer est facile, mais soutenir les solutions concrètes est plus responsable. L’ANASER forme, sensibilise et modernise. Donnons du crédit à ceux qui agissent.
La sécurité routière est un défi majeur pour tout le pays, et il est essentiel d’évaluer l’action de l’ANASER sur des faits concrets plutôt que sur des rumeurs.
Depuis sa nomination, M. Atoumane Sy a lancé plusieurs réformes structurantes : création du Bulletin d’analyse des accidents corporels (BAAC) pour mieux cibler les zones à risques, préparation du contrôle-sanction automatisé afin de réduire l’impunité sur nos routes, multiplication des campagnes de sensibilisation dans les gares routières, les écoles et les médias.
Ces efforts s’inscrivent dans une vision claire : réduire de 50 % les décès et blessures graves d’ici 2030, en accord avec la Décennie d’action pour la sécurité routière des Nations Unies.
Les chiffres qu’il rend publics montrent son engagement à la transparence : environ 5 200 accidents, 745 décès et 8 500 blessés graves sont enregistrés chaque année, pour un coût de près de 163 milliards FCFA, soit 4 à 5 % du PIB national.
Reconnaître ces réalités, tout en mettant en place des solutions concrètes, prouve que le DG ne se contente pas de discours mais agit.
Défendre la réputation de l’ANASER devant la justice n’est pas une attaque contre la liberté d’expression ; c’est le droit et même le devoir de protéger une institution qui travaille pour sauver des vies.
Il est temps de soutenir les efforts entrepris, de renforcer la responsabilité de chaque usager de la route et de travailler ensemble, plutôt que de discréditer ceux qui s’engagent au service de la sécurité de tous.
Réformer une institution n’a jamais été un exercice populaire, surtout pour ceux qui profitaient d’avantages indus. Mais le Sénégal a besoin d’administrations modernes, efficaces et pleinement orientées vers l’intérêt général. C’est précisément le chemin que l’ANASER, sous l’impulsion de son Directeur général, est en train de suivre. Les attaques personnelles, qui cherchent à détourner l’attention des véritables enjeux, ne servent ni le pays, ni la noble cause de la sécurité routière.
Sa waay nak
Allez vérifier
Atoumane est entrain d'abattre un travail titanesque et surtout sur tout le territoire national
Sénégal mettina nak
Un expert de la sécurité routière débauché par les nouvelles autorités.
Écoeuré par les anciennes pratiques décident de réaliser la vision du projet en matière de sécurité routière... cette rupture vous fait mal et la diabolisation commence
Ce chantage est voué à l'échec
Réponse à un pamphlet biaisé : remettre les faits au cœur du débat
L’article de SENEWEB intitulé « ANASER : une agence prise en otage par son DG » se présente comme une critique virulente du Directeur général de l’ANASER. Pourtant, derrière le ton accusateur et les formules à sensation, ce texte révèle surtout une volonté manifeste de détourner l’opinion publique des véritables enjeux : la réforme profonde et nécessaire d’une agence longtemps sclérosée par l’inefficacité, les passe-droits et l’incompétence.
1. Redresser l’agence ou l’entretenir dans l’inefficacité ?
À son arrivée, le Directeur général a trouvé une structure gangrenée par des pratiques opaques, un organigramme obsolète, des ressources humaines mal réparties et une absence criante de résultats sur le terrain. Son action vise précisément à remettre de l’ordre, à recentrer l’ANASER sur sa mission première : la sécurité routière au service des Sénégalais.
Oui, cela implique des décisions difficiles : audit des effectifs, redéploiement des agents, suspension de certains recrutements douteux, et recentrage des missions. Il ne s’agit pas de « règlements de compte », mais d’un nettoyage nécessaire, douloureux pour ceux qui étaient confortablement installés dans l’inaction.
2. Optimiser les ressources humaines : une obligation, pas un choix
L’affectation des agents dans les régions ne signifie pas leur abandon, mais une volonté claire de décentraliser l’action de l’agence et de la rapprocher des populations. Ce processus est en cours, avec des plans de mise en place progressive de bureaux régionaux et d’équipements de travail. Il est malhonnête de juger une réforme structurelle en cours d’exécution comme un échec.
Quant aux prétendues contradictions sur les effectifs, elles relèvent d’une mauvaise foi évidente : on ne peut maintenir des postes improductifs sous prétexte de CDI et refuser en même temps d’intégrer des compétences mieux alignées avec les nouveaux objectifs de performance. Le pays a besoin d’efficacité, pas de clientélisme déguisé.
3. Gouvernance : respect du cadre légal et réforme en cours
Accuser le DG de recruter sans autorisation relève soit d’une méconnaissance des procédures internes, soit d’une manipulation. Tous les recrutements en cours sont encadrés par les textes et s’inscrivent dans un plan de redéploiement validé en amont. Le Conseil de surveillance est informé régulièrement, et ses membres sont invités à faire part de leurs remarques dans les formes prévues.
Quant à la baisse de certains avantages, elle est justifiée par des ajustements budgétaires temporaires en phase avec la situation économique du pays. Il ne s’agit pas d’un mépris des droits du travail, mais d’une gestion responsable des deniers publics.
4. La fausse polémique du népotisme
Utiliser le terme « entreprise familiale » parce que deux personnes de la même famille auraient été recrutées est non seulement exagéré, mais relève d’un procès d’intention. Ces personnes ont des profils compétents et une expérience avérée dans la fonction publique. Faut-il désormais interdire à tout Sénégalais ayant un lien familial avec un cadre de postuler dans une administration ? Ce raccourci est dangereux et malhonnête.
5. Une vision claire pour une ANASER nouvelle
Le DG actuel est engagé dans une transformation de fond, avec une vision : faire de l’ANASER un véritable outil de lutte contre les accidents, de formation des conducteurs et de modernisation du transport routier. Cela ne peut se faire sans heurter les habitudes et les intérêts acquis. C’est cette résistance au changement qui s’exprime aujourd’hui à travers les attaques personnelles.
Au lieu de multiplier les tribunes haineuses, il serait plus utile de juger l’action du DG sur la base des résultats à moyen terme. Et surtout, d’apporter des propositions concrètes plutôt que des invectives.
Conclusion :
Réformer une institution n’a jamais été populaire auprès de ceux qui bénéficiaient du statu quo. Mais le Sénégal a besoin d’administrations efficaces, responsables, tournées vers l’intérêt général. L’ANASER est sur cette voie. Ceux qui tentent de détourner ce processus par des attaques ad hominem ne servent ni le pays, ni la cause de la sécurité routière.
L'ŒIL DU PATRIOTE
Hier soir, j'ai frôlé la catastrophe. Aux alentours de 20h, sur le virage menant vers Sococim depuis Bargny, j'ai été confronté à une situation d'une absurdité et d'une inconscience effroyables. Un bus TATA en panne avait utilisé un poteau comme signal de détresse. Un poteau ! Dans le noir, cet obstacle quasi invisible aurait pu être fatal. Par miracle, j'ai pu freiner à temps. J'ose à peine imaginer ce qui se serait passé si un autre véhicule m'avait suivi de près.
Ce n'est pas un incident isolé, mais le reflet d'une indiscipline généralisée et d'une insouciance criminelle qui règnent sur nos routes. Où sont les panneaux de signalisation ? Où sont les balises pour alerter les usagers d'un danger imminent ? Nos routes sont devenues un champ de mines, et la peur est notre compagne de route.
Un peu plus loin, à Rufisque, au niveau du pont de Thiokho, la situation n'est guère meilleure. Des travaux ont été mis en place, signalés par des séparateurs en béton posés directement sur la chaussée, sans aucun éclairage ni signalisation visible. Dans cette zone déjà mal éclairée, le danger est omniprésent.
Nos vies sont en jeu. L'inaction des autorités est consternante. L'absence de l'Agence Nationale de la Sécurité Routière (ANASER) sur le terrain est troublante. À quoi sert une agence dédiée à la sécurité si elle ne remplit pas sa mission la plus essentielle : garantir la sécurité des usagers ?
Cette situation ne peut plus durer. Il est grand temps d'agir, de manière ferme et concertée. J'appelle l'ANASER à prendre ses responsabilités, à se déployer sur nos routes, à sensibiliser, à sanctionner les comportements irresponsables, et surtout, à mettre en place une signalisation routière digne de ce nom. Faisons de la sécurité routière une priorité nationale. C'est un devoir envers chaque citoyen, car chaque vie compte
Il est temps que les autorités réagissent. L’ANASER doit sauver des vies, pas servir de terrain d’expérimentation à un DG en roue libre.
Quand le DG déraille, c’est la sécurité routière qui paie l’addition. »
« Stop à l’incompétence, sauvons nos routes ! »
« La sécurité routière n’est pas un jeu. »
« Des vies avant les ego ! »
C’est le même DG qui avait proposé des départs volontaires un vrai comédien c’est un idiot je connais des gens qui souffrent à cause de lui un véritable malade il menace tout le monde même ses partenaires comment un DG peut porter plainte à un victime d’accident
La vérité dans cette histoire est qu'il y a une tentative de destabilisation du DG Atoumane SY qui est en train d'abattre un travail gigantesque avec les agents de l'ANASER. On a vu ses équipes dans les régions du Sénégal (kaolack, Fatick, Kaffrine, Thiès, Louga, Diourbel, Ziguinchor, Sedhiou, Kolda, Saint Louis...), plus proches des populations, mais surtout des acteurs du Transport. on a entendu ses spots de sensibilisation lors du Magal, lors du Pèlerinage Marial de Popenguine, lors du Gamou...Mieux les opérations de contrôle mixte sont en train de se faire un peu partout au Sénégal pour demander aux FDS de mettre l'accent sur la sécurité routière lors des contrôles. last but not least, il y a un audit de sécurité routière de toutes les routes du Sénégal qui est en cours pour ensuite corriger les zones accidentogènes. En réalité le travail a commencé. Mais il y a des personnes qui veulent que le travail ne se poursuive pas. Mais c'est peine perdu. le chien aboie, la caravane passe. bonne journée
Avant, l'ANASER n'était qu'à Dakar. Maintenant, grâce à DG Atoumane Sy, elle est partout : pôles Nord, pôles Sud, pôles Est, pôles Centre…
La sécurité routière, c'est pour tout le Sénégal, pas seulement la capitale ! #Concret"
Les pôles régionaux de l'ANASER changent la donne. Chaque zone est maintenant prise en charge localement. C'est ça, une vraie stratégie nationale. Bon travail M. Sy.
Décentraliser l'ANASER était une priorité.
DG Sy l'a fait. Maintenant, les contrôles et la sensibilisation sont plus proches des usagers. On ne peut que saluer cette initiative.
Franchement président Sonko doit corriger les erreurs de Diomay le projet n’a pas besoin de ses genres de DG .
Comment peut-on voir ces agissements sous notre régime.
Mais Sonko avait avertis vivement le changement de bcp de DG faut auditionner les cv de ces gens là ils ne sont pas de bon ménager franchement être du projet c’est aussi dénoncer quand ça ne va pas
L'ANASER ne travaille plus seule. La parfaite synergie avec la police et la gendarmerie dans les brigades mixtes rend les contrôles bien plus efficaces.
Une belle avancée.
Qui dit brigades mixtes dit meilleur contrôle. DG Atoumane Sy a su créer cette collaboration essentielle entre ANASER, police et gendarmes pour nos routes.
C'est du solide.
La cellule Régulation des comportements, au sein de l’ANASER, est pilotée par des agents des FDS. Preuve que DG Atoumane Sy sait s'entourer des compétences et travailler en équipe pour l'intérêt général.
Le DG Atoumane Sy est TOUJOURS sur le terrain avec ses agents lors des campagnes. Un patron qui ne reste pas dans son bureau, ça se respecte. #Leadership"
Les campagnes de sensibilisation sont maintenant nationales. On les voit partout. C'est le travail d'ANASER sous la direction de M Atoumane Sy.
Arrêtons de critiquer et ouvrons les yeux.
Qui d'autre a vu la présence accrue de l'ANASER dans les régions auparavant?
Les sensibilisations dans les écoles, les gares?
C'est l'œuvre du nouveau management.
Continuons comme ça."
Critiquer est facile. Agir est difficile.
Atoumane Sy AGIT et montre des résultats concrets : décentralisation, synergies, sensibilisation.
La compétence parle d'elle-même.
Un DG qui défend son institution sur tous les plateaux TV est un DG qui croit en son travail. M Atoumane Sy ne se cache pas, il explique et assume.
Respect.
Avant de ternir l'image d'un homme, regardons ses actions. Les pôles régionaux, c'est du concret.
Les brigades mixtes, c'est du concret.
DG Atoumane Sy travaille !
Soutien total à DG Atoumane Sy. Il modernise l'ANASER et étend son action à tout le pays. Nous avons besoin de ça pour sauver des vies.
Courage M. le Directeur.
La sécurité routière est l'affaire de tous. Soutenons ceux qui se battent pour ça sur le terrain instead of les déstabiliser avec des accusations sans fondement.
Cessons les attaques personnelles et regardons le travail accompli.
Le Sénégal a besoin de stabilité et d'action, pas de polémiques stériles.
Merci M. Sy.
Quand un leader arrive et change positivement les choses, il mérite du soutien. #SoutienAtoumaneSy
Vous préférez quoi ?
Une ANASER inactive seulement à Dakar ou une agence décentralisée qui agit dans toutes les régions ?
Moi mon choix est fait.
Et si on jugeait sur les résultats plutôt que sur des rumeurs ?
L'extension de l'ANASER est un résultat majeur.
Donnons du temps au nouveau DG.
100% avec le DG Atoumane Sy !
Depuis qu'il est à la tête de l'ANASER, on sent une réelle volonté de changement.
Ces attaques personnelles sont l'œuvre de gens qui ne supportent pas de voir une personne compétente au pouvoir.
Il faut des hommes forts comme lui pour faire avancer le pays.
A quoi sert ANASER?
UN DG incompétent qui chomait au Canada
Un CV vide
un gouffre à milliard
Q ua ttend sonko pour virer ce nullard et les incompetents qui l entourent?
Pourquoi il s’acharne sur le personnel c’est de la méchanceté gratuite et des signes d’incompétence un bon leader doit installer un climat sociale propice.
L’ancien DG avait de bon projet avec la banque mondiale depuis je n’ai plus d’informations sur l’avancée de ces dossiers le BAAC
Les vidéos verbalisations entre autre autre.
Il faut arrêter de vouloir tout recommencer y’avait de l’existant avec des agents compétents j’ai à partager des ateliers avec des agents de l’anaser dans le passé. Faut pas jouer avec le salaires des gens ce n’est que de l’idiotie de vouloir déloger des pères de familles à leur lieu de travail.
Et si on arrêtait de jouer les victimes pour Ndoye ? Le vrai problème, c'est cette culture de la calomnie qui se répand. Le DG de l'ANASER fait un travail remarquable dans des conditions difficiles et mérite le respect, pas des campagnes de dénigrement sur internet. Bravo à lui de montrer l'exemple en refusant la désinformation.
ANASER n a jamais produit de documents
ANASER pour caser du personnel politique des ministres youm, yankhoba, mansour faye, mansour elimane kane
Sonko doit réagir
multitiplication des accidents avec ANASER qui ne sert à rien
ANASER ne fait que parasiter les controles de la gendarmerie pour essayer d exister
aucune initiative et politique serieuse à ANASER
Il faut renvoyer ce chomeur de DG au canada d oû il tombe
que faisait ce petit DG au Canada?
Son CV?
Dans un pays sérieux ce monsieur ne devrait jamais être chef de division.
N’est pas DG n’importe qui .
Allez réécouter les émissions de ce gars il est nul un vrai nullard.
C’est lui qui disait qu’un chauffeur peut répondre au téléphone avec son véhicule depuis ce jour je me suis dit que le monsieur est un plaisantin un vrai comédien.
La recrudescence des accidents est un fait et franchement il faut faire un appel d’offre pour ce poste le plus rapidement car la sécurité routière n’est pas un jeu ni une affaire de camaraderie.
C’est des vies en jeu
Sonko doit réagir pour débarrasser le pays de cet ancien apprenti du Canada où il était laveur de voiture
Des commentaires inutiles, qui n avance à rien
Si les gens connait l anaser maintenant c'est grace à ce monsieur l ancien ont le connait même pas tok mouy dokh diékhna c'est l effets du jub jubal jubanti
Inchallah le projet vas sortir tous ces gens qui se nourrissaient de nos sueurs ont sait battu corps et âme pour que c est kulouna dégage
Il faut continuer monsieur le Directeur na jub
#sonko moy diomay# diomay moy sonko#
Alerte accident 🚨 🚨
Un accident de la circulation s’est produit hier sur l’axe du Ranérou-Velingara.
Trois personnes ont perdu la vie et deux autres grièvement blessées, après avoir été percutées par un véhicule tout-terrain près du village de Nguét Boki, sur l’axe Ranérou –Vélingara, à hauteur de Naccara, sur la nationale 3, vers 19 h.
D’après les témoignages, l’accident « résulte d’une perte de contrôle du conducteur, en réaction à la présence soudaine d’un cheval qui traversait la chaussée ». Ce qui « a entraîné une sortie de route du véhicule en partance pour Dakar. Après avoir heurté l’animal, il a violemment percuté un groupe de personnes sur le bord de la route, en attente d’un véhicule de transport en commun ».
On compte deux morts sur le coup et trois blessés, dont un a succombé au cours de leur évacuation à l'hôpital par les sapeurs-pompiers.
La gendarmerie de Ranérou a ouvert une enquête, après le constat d'usage. Le chauffeur du 4x4 est mis en position de garde à vue.
Franchement les autorités doivent agir avec ce DG les morts vont continuer sur nos routes ce gars a des problèmes de personnes au lieu d’utiliser les agents il les menace les intimide et bloque systématiquement toutes les initiatives
Le DG Atoumane, c’est l’homme qu’il faut à la place qu’il faut .
Il a l’expertise et c’est un grand travailleur , la preuve il est entrain de bien structurer la boite avec rigueur et avec une gestion saine .
Bonne continuation !!!!
V raiment nous ne sommes pas surpris des performances de notre Camarade Attoumane Sy à la téte de l'ANASER car il n'a pas le profil ni les compétences pour diriger une telle agence. Au canada il était un chomeur et vous pouvez aller sur google et rechercher les fichiers des canadiens au chomage qui bénéficie d'allocation de chomage. Pasteef doit enquéter sur les pseudo cadres de la diaspora qui ont fabriqué des cv par des mensonges..
Un chomeur au canada qui a un salaire net de presque 6 millions . jubb jubbal jubbanti nekhna
DG Attoumane SY Monsieur Systéme HVEO était un chomeur au canada et le jubb jubbal jubbanti au sénégal il perçoit un salaire net de 6 Millions . Sénégal mo nekh
Réponse à un pamphlet biaisé : remettre les faits au cœur du débat L’article de SENEWEB intitulé « ANASER : une agence prise en otage par son DG » se présente comme une critique virulente du Directeur général de l’ANASER. Pourtant, derrière le ton accusateur et les formules à sensation, ce texte révèle surtout une volonté manifeste de détourner l’opinion publique des véritables enjeux : la réforme profonde et nécessaire d’une agence longtemps sclérosée par l’inefficacité, les passe-droits et l’incompétence. 1. Redresser l’agence ou l’entretenir dans l’inefficacité ? À son arrivée, le Directeur général a trouvé une structure gangrenée par des pratiques opaques, un organigramme obsolète, des ressources humaines mal réparties et une absence criante de résultats sur le terrain. Son action vise précisément à remettre de l’ordre, à recentrer l’ANASER sur sa mission première : la sécurité routière au service des Sénégalais. Oui, cela implique des décisions difficiles : audit des effectifs, redéploiement des agents, suspension de certains recrutements douteux, et recentrage des missions. Il ne s’agit pas de « règlements de compte », mais d’un nettoyage nécessaire, douloureux pour ceux qui étaient confortablement installés dans l’inaction. 2. Optimiser les ressources humaines : une obligation, pas un choix L’affectation des agents dans les régions ne signifie pas leur abandon, mais une volonté claire de décentraliser l’action de l’agence et de la rapprocher des populations. Ce processus est en cours, avec des plans de mise en place progressive de bureaux régionaux et d’équipements de travail. Il est malhonnête de juger une réforme structurelle en cours d’exécution comme un échec. Quant aux prétendues contradictions sur les effectifs, elles relèvent d’une mauvaise foi évidente : on ne peut maintenir des postes improductifs sous prétexte de CDI et refuser en même temps d’intégrer des compétences mieux alignées avec les nouveaux objectifs de performance. Le pays a besoin d’efficacité, pas de clientélisme déguisé. 3. Gouvernance : respect du cadre légal et réforme en cours Accuser le DG de recruter sans autorisation relève soit d’une méconnaissance des procédures internes, soit d’une manipulation. Tous les recrutements en cours sont encadrés par les textes et s’inscrivent dans un plan de redéploiement validé en amont. Le Conseil de surveillance est informé régulièrement, et ses membres sont invités à faire part de leurs remarques dans les formes prévues. Quant à la baisse de certains avantages, elle est justifiée par des ajustements budgétaires temporaires en phase avec la situation économique du pays. Il ne s’agit pas d’un mépris des droits du travail, mais d’une gestion responsable des deniers publics. 4. La fausse polémique du népotisme Utiliser le terme « entreprise familiale » parce que deux personnes de la même famille auraient été recrutées est non seulement exagéré, mais relève d’un procès d’intention. Ces personnes ont des profils compétents et une expérience avérée dans la fonction publique. Faut-il désormais interdire à tout Sénégalais ayant un lien familial avec un cadre de postuler dans une administration ? Ce raccourci est dangereux et malhonnête. 5. Une vision claire pour une ANASER nouvelle Le DG actuel est engagé dans une transformation de fond, avec une vision : faire de l’ANASER un véritable outil de lutte contre les accidents, de formation des conducteurs et de modernisation du transport routier. Cela ne peut se faire sans heurter les habitudes et les intérêts acquis. C’est cette résistance au changement qui s’exprime aujourd’hui à travers les attaques personnelles. Au lieu de multiplier les tribunes haineuses, il serait plus utile de juger l’action du DG sur la base des résultats à moyen terme. Et surtout, d’apporter des propositions concrètes plutôt que des invectives. Conclusion : Réformer une institution n’a jamais été populaire auprès de ceux qui bénéficiaient du statu quo. Mais le Sénégal a besoin d’administrations efficaces, responsables, tournées vers l’intérêt général. L’ANASER est sur cette voie. Ceux qui tentent de détourner ce processus par des attaques ad hominem ne servent ni le pays, ni la cause de la sécurité routière. L'ŒIL DU PATRIOTE
DG Atoumane, si les Kuluna vous attaquent c’est parce que vous êtes bon, Doxalal
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1. Des attaques cripto-personnelles d’un homme du système
Les récentes sorties d’Ousmane Ndoye, président de l’ANPAV, contre le Directeur général de l’ANASER, M. Atoumane Sy, ne sont pas des critiques constructives mais des attaques cripto-personnelles. Derrière le vernis d’une dénonciation « citoyenne » se cache en réalité la réaction d’un homme du système dont les intérêts et réseaux sont fragilisés par les réformes en cours.
Lorsqu’on accuse un DG nommé par décret présidentiel, légitimé par l’État, de « gestion solitaire », on oublie que le décret n°2021-1507 lui confère expressément le pouvoir de décision nécessaire à la bonne marche de l’Agence (art. 17), sous la supervision d’un Conseil de surveillance. Juridiquement, M. Sy agit donc dans le cadre strict de ses prérogatives. Ce procès d’intention vise plus à salir un homme qu’à servir la vérité.
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2. Un DG légitime, compétent et engagé
Nommé par le Président de la République, avec l’aval du Premier ministre et du ministre des Transports, M. Sy bénéficie d’une légitimité institutionnelle incontestable. Mais au-delà du décret de nomination, c’est son parcours qui parle pour lui.
Avant d’être appelé à l’ANASER, il avait déjà travaillé sur le volet sécurité routière dans le projet politique Jotna 2024 de PASTEF, en tant que membre du MONCAP (section Canada). Il n’est donc pas parachuté, mais un homme qui a réfléchi, contribué et porté une vision sur la sécurité routière bien avant d’en avoir la charge institutionnelle.
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3. Transformer une agence budgétivore en instrument de performance
À son arrivée, l’ANASER n’était qu’une coquille budgétivore, plombée par le clientélisme politique. Il fallait du courage pour entreprendre une réorganisation en profondeur : rationalisation des effectifs, responsabilisation des cadres, culture de la performance et de la transparence.
M. Sy a osé appliquer le triptyque présidentiel « Jub – Jubbal – Jubbanti », non pas en slogan mais en actes. Et c’est précisément cette rupture qui fait grincer des dents les kuluna du système, habitués à prospérer sur le désordre et l’inefficacité.
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4. Des réformes concrètes qui sauvent des vies
Sous son mandat, l’ANASER n’est plus spectatrice mais actrice de la sécurité routière :
• Programme SnRAP pour évaluer et sécuriser les routes les plus dangereuses ;
• Institutionnalisation du BAAC pour disposer enfin de données fiables sur les accidents ;
• Campagnes de sensibilisation et de contrôle auprès des conducteurs de deux-roues, dans les gares routières, et sur l’état technique des véhicules ;
• Réformes organisationnelles internes pour mettre fin au népotisme et instaurer une gestion professionnelle.
Ces actions ne sont pas théoriques : elles sauvent des vies, préviennent des drames et responsabilisent les usagers. C’est cela la mission confiée par le décret fondateur de l’ANASER, et c’est cela que M. Sy accomplit avec détermination.
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5. Gouverner avec ses hommes : la nécessité de « pastéfiser » l’État
On ne gouverne pas avec les hommes du système qu’on prétend combattre. On gouverne avec ses hommes, ceux qui partagent la vision, la méthode et les valeurs. Le récent remaniement ministériel a montré la volonté claire de « pastéfiser » le gouvernement pour mieux exécuter la vision du Président Diomaye Faye et de son Premier ministre Ousmane Sonko.
Il en va de même pour l’administration et les agences publiques : il faut y placer les cadres du projet PASTEF, porteurs de la rupture et de la transformation systémique, afin de réaliser les objectifs de la Vision Sénégal 2050.
La nomination de M. Sy à l’ANASER s’inscrit dans cette logique de cohérence. Le défendre, c’est défendre une méthode de gouvernance : celle de la rigueur, de la performance et de la transparence.
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6. Conclusion : Quand les kuluna attaquent, c’est le signe du progrès
L’histoire est claire : chaque fois qu’un dirigeant public ose briser les chaînes du clientélisme et du gaspillage, il devient la cible des réseaux de résistance au changement. C’est ce qui est arrivé au DG de l’ASER, Jean Michel Séne, et c’est ce qui arrive aujourd’hui à Atoumane Sy.
Mais que les kuluna du système sachent ceci : leurs attaques sont en réalité la meilleure preuve que la rupture est en marche.
Oui, si les kuluna vous attaquent, c’est parce que vous êtes bon.
Et à vous, M. le DG, nous disons : Doxalal !
Madiodio Ndiaye,
Juriste, militant de PASTEF Wakhinane Nimzatt
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