Audience avec le Pr. Diomaye : Le président de l’Union des magistrats sénégalais révèle ce dont ils ont discuté
Cheikh Bâ, le président de l’Union des magistrats sénégalais (Ums) a été reçu, ce vendredi, par le Président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye. De quoi ont-ils discuté ?
«Nous avons discuté des réformes, nous avons rappelé les principes et les positions des magistrats que nous avons l'honneur de diriger dans le cadre de l'union des magistrats sénégalais et les positions qui n'ont pas manqué d'être rappelées également par notre hiérarchie judiciaire», a-t-il informé.
La question du Conseil supérieur de la magistrature a, aussi, été au cœur des échanges : «Nous parlons tous le même langage par rapport aux grands principes qui gouvernent la magistrature, notamment le conseil supérieur, son fonctionnement, son rayonnement, son renforcement. Nous avons dit la position clairement exprimée des magistrats en ce qui le concerne, lui, sa présence au sein du conseil, que nous saluons et également sa composition qui, pour nous, doit rester exclusivement l'affaire des magistrats», dit-il.
Cheikh Ba assure que le président Faye a répondu sincèrement et franchement par rapport à toutes ces questions. Le chef de l’Etat a déjà donné l'assurance que la réflexion continue et que rien ne se fera sans les acteurs, rapporte le magistrat. Il promet qu’au sein de leur profession, ils échangeront à l'interne pour pouvoir toujours renforcer la réflexion et aboutir à un projet qui convienne aux magistrats et aux Sénégalais.
Commentaires (5)
La loi est dure, mais reste la loi.
Une nation ne peut prospérer dans la division de l'action.
Une nation se fortifie par la convergence des idées et progresse dans l'unité de l’action
Les Français ont choisi un gordjiguen ,Macron, et pourtant le FMI travaille avec eux. Les Américains ont choisi un dirigeant considéré comme raciste, comme Trump, et le FMI travaille avec eux. Mais les Africains, eux, n’ont pas le droit de choisir leurs propres dirigeants ?
Ce qui se passe actuellement au Sénégal est inadmissible !
Le peuple souverain a voté pour Diomaye, qui a la caution de Sonko. La France et le FMI nous disent : « Si vous voulez bénéficier de notre garantie, il faut vous débarrasser de votre Premier ministre, qui refuse d’être franc-maçon et valet de la France. »
Ce qui est choquant, c’est que c’est Diomaye qui est chargé de faire le sale boulot.
Tous les journalistes sénégalais comme Madiambal Diagne et Cheikh Yerim ne sont pas seulement des agents du renseignement français, mais travaillent aussi pour Diomaye.
Il faut que le peuple qui a fait confiance au Pastef fasse bouclier autour de Sonko.
La France veut imposer un Premier ministre pro-français et pro-occidental pour continuer de piller les ressources du Sénégal.
Diomaye Korr Marie Khone akk Absa Faye moo ko yorr
Diomaye dou dampou DJI goudi
Diomaye dou violer couvre feu
Le problème est qu’au Sénégal, certains magistrats se prennent pour des demi-dieux. Ils ont été au cœur et complices de la dictature de Macky Sall. C’est cette justice qui a empêché Karim Wade d’être candidat, qui a également éliminé Khalifa Sall, et qui, enfin, a empêché Ousmane Sonko de se présenter. L’UMS est un machin souvent à la solde des fonds politiques, avec des magistrats carriéristes et corrompus.
Sachez que les meilleurs Sénégalais ne sont pas forcément ceux qui sont formés à l’école de Colobane, au CFJ ou à l’ENA. Comment, au 21e siècle, peut-on recruter une élite selon les mêmes critères que ceux utilisés à l’époque de Senghor ? Il suffit de savoir faire une synthèse de texte et réciter des leçons de droit apprises par cœur. Depuis 65 ans, le Sénégal est dirigé par des littéraires issus de l’école de Colobane ; résultat : le pays fait partie des 25 nations les plus pauvres au monde.
Il est urgent de réformer cette école et de donner leur chance aux scientifiques. Les littéraires sont paresseux, réfractaires au changement, toujours dans leur zone de confort, et devenus des fonctionnaires milliardaires.Au Gabon des magistrats corrompus rendent compte devant leur pairs et pourquoi pas au Sénégal.
Par ailleurs, supposons même que le jeune qui a déchiré la photo du président ait fauté,pourquoi l’envoyer en instruction ? Alors que c’est un cas de flagrant délit, ce sont ces genres de situation qui prouvent que la justice est aux ordre de l’exécutif.
Toi et le jeune qui a dechiré la. Allez vous faire voir.
Ancien pensionnaire de l’école de colobane, pseudo intellectuel sorti de l’école de seconde zone bon xatarayou 😂 😂 😂
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