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Frontière de Moussala : 124 ressortissants étrangers refoulés lors de vastes opérations de contrôle et de sensibilisation

Auteur: Dialy Ibrahima Diébakhaté

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Frontière de Moussala : 124 ressortissants étrangers refoulés lors de vastes opérations de contrôle et de sensibilisation

Le Secteur Frontalier de Moussala a mené, les 25 et 26 décembre 2025, d’importantes opérations de patrouille et de contrôle des documents de voyage, dans le strict respect des dispositions relatives au séjour et à l’établissement des étrangers sur le territoire national.

Ces actions d’envergure ont couvert la lisière frontalière allant de Moussala à Guémédjé, puis de Guémédjé à Fadougou, une zone stratégique en matière de circulation transfrontalière. Pendant deux jours, les équipes déployées ont sillonné plusieurs localités, notamment Gare Bouréya, Bougouda, Fadougou ainsi que leurs environs immédiats.

À l’issue de ces opérations, cent vingt-quatre (124) ressortissants étrangers ont été refoulés pour défaut de documents de voyage conformes. Les personnes concernées se répartissent comme suit : 72 ressortissants maliens, 28 burkinabés, 17 guinéens, 5 nigériens et 2 nigérians.

Parallèlement aux contrôles, des séances de sensibilisation ont été organisées au profit des populations locales, en présence des chefs de village ou de leurs représentants. Les échanges ont porté sur les urgences sécuritaires actuelles, notamment l’extrémisme violent, l’immigration irrégulière, le terrorisme, la traite de personnes et la criminalité transfrontalière organisée.

Dans une démarche de prévention et de lutte efficace contre ces fléaux, les populations ont été invitées à renforcer leur collaboration avec les Forces de Défense et de Sécurité, indépendamment de toute considération d’appartenance.

Tout en saluant la pertinence de ces opérations menées par la Police aux Frontières de Moussala, les habitants de Gare Bouréya, Bougouda et Fadougou ont profité de l’occasion pour interpeller les autorités sur certaines difficultés persistantes. Ils ont notamment dénoncé le manque de couverture du réseau téléphonique dans ces zones reculées, ainsi que l’état dégradé des routes, des contraintes majeures qui freinent les activités économiques locales et, par conséquent, le développement de ces communautés.

Auteur: Dialy Ibrahima Diébakhaté
Publié le: Dimanche 28 Décembre 2025

Commentaires (9)

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    Et le PSE On en parle . il y a 11 heures
    ?? Gare Bouréya, Bougouda et Fadougou ,, ,,,??? ça perche où ça ?
    Surement quelque part en Afrique de l' ouest zone Cedeao ..
    Mais où est donc la libre circulation des personnes et de leur bien ?
    Mystère !!
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    Darkpinguin il y a 11 heures
    La pauvreté dans la sous région associée à l'explosion démographique vont faire de la capitale sénégalaise un Eldorado d'autant plus que dans la capitale ces contrôles effectués aux frontières existent pas et qu'il pas de restrictions pour interdire ces étrangers de s'adonner à certaines activités comme le transport, le commerce de détails et la restauration qui au delà de concurrencer les populations locales présentent par le fait d'être des inconnus à l'état civil un danger sécuritaire certains mais aussi sur le plan sanitaire et économique
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    Trt il y a 11 heures
    Attention à alqaida dans cette zone
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    Mbaye LO il y a 11 heures
    Ils ne payent pas de taxes tout en vendant sur la rue.
    Ils doivent avoir faire application au.Ministere du Commerce pour Licence " vending Licence " et payer des taxes pour la ville ou' ils s'etablissent.
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    Darkpinguin il y a 11 heures
    La pauvreté dans la sous région associée à l'explosion démographique vont faire de la capitale sénégalaise un Eldorado d'autant plus que dans la capitale ces contrôles effectués aux frontières existent pas et qu'il pas de restrictions pour interdire ces étrangers de s'adonner à certaines activités comme le transport, le commerce de détails et la restauration qui au delà de concurrencer les populations locales présentent par le fait d'être des inconnus à l'état civil un danger sécuritaire certains mais aussi sur le plan sanitaire et économique
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    Human Being il y a 10 heures
    Le Panafricanisme est mort où n'a simplement jamais existé.
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    Ibra il y a 10 heures
    Ndeyssan l'administration senegalaise travaille selon l'actualité sur les reseaux sociaux. En effet depuis 2012 le senegal devait renforcer sa frontiere. Ce qui n'a rien à voir avec la libre circulation dans l'espace CEDEAO. Parlant même de Cedeao en traversant la Gambie il y'a au moins 5 controle sur une transgambienne qui ne fais pas plus de 30 km. En guinée conakry c'est pire . Alors arrêtez votre panafricanisme hypocrite.
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    SOW il y a 10 heures
    Des fois quand on parle de sécurité nationale on doit laisser nos haines viscérale de côté. On a tous le droit de circuler librement dans la zone CEDEAO mais en ayant nos papiers au complet, et j’ai séjourné dans la sous région mais tu dois avoir au préalable ta CIN, un lieu de logement et avoir assez de sous pour pouvoir convenir à nos besoins à notre arrivée, c’est le minimum demandé. La question serait est ce qu’on fait ce qui est demandé sur les textes, et maintenant que les forces de l’ordre s’y appliquent pour sécuriser notre territoire national, on doit les en féliciter car eux n’ont pas de partie prise, c’est la nationalité qui les intéresse.
    As Salam aleykoum
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    Le Sénégal il y a 10 heures
    Les sénégalais critique les autres pays mais ils sont beaucoup plus raciste que les autres pays
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    Dou il y a 9 heures
    Oú est le racisme ici? Rentre chez toi espèce de ndring usurpateur de nationalité.
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    Dou il y a 9 heures
    Oú est le racisme ici? Rentre chez toi espèce de ndring usurpateur de nationalité.

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