Ils sont nombreux les parlementaires qui ont manifesté leur joie avec la suppression de la CREI. Ce n'est pas le cas de Bara Gaye qui se définit comme une victime collatérale de ladite cour.
"Contrairement à ceux qui jubilent, j'ai le cœur qui saigne. Je suis touché au tout profond de mon âme", a dit le parlementaire. Il affirme tout de même qu'il va voter la loi, parce que d'accord avec sa suppression.
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