Il faut arrêter de nous faire perdre notre temps avec ces négro-philosophes dont la seule idée c’est de nous inciter à être dd bons élèves pour les occidentaux. Même les Marocains sont plus avancés que nous alors qu’ils n’ont ni pétrole ni gaz.
Rtffil y a 4 heures
C vrai moi qui voit le maroc un pays qui a ni petrol ni or ni gaz ni zircon ni cacao et qui a atteint un niveau de development comme ça ce la nous montre une chose .....
Répondre à Choco
Diakhateil y a 5 heures
Avant, je me laissais impressionner par ce compatriote.
À présent, je doute de la qualité et de la profondeur de ses réflexions maladroitement matinées de considérations autobiographiques.
Son aura procédé d une surmédiatisation plus que d une production.
Il en est de même de Felwin Sarr.
Nous n arrivons pas a produire une élite intellectuelle.
Nous produisons des stars identitaires.
Il ne contribuent pas, ils manifestent une différence, dans un monde globalisé.
Mon avis est que la négritude est une relique de l histoire.
Il faut la remiser pour une humanitude .
Ambassadeur
Répondre à Diakhate
Karim-USAil y a 5 heures
Il faut arrêter de nous faire perdre notre temps avec ces négro-philosophes dont la seule idée c’est de nous inciter à être dd bons élèves pour les occidentaux. Même les Marocains sont plus avancés que nous alors qu’ils n’ont ni pétrole ni gaz.
Répondre à Karim-USA
Rè va tassil y a 5 heures
Les vieux de la vieille doivent comprendre les complexés avec eux que la démocratie occidentale a été démystifier et démystifier dans la conscience des Jeunesses africaines actuelles, la priorité c'est la réflexion pour notre propre système et s'inspirer d'autres systèmes
Répondre à Rè va tass
Rtffil y a 4 heures
C vrai moi qui voit le maroc un pays qui a ni petrol ni or ni gaz ni zircon ni cacao et qui a atteint un niveau de development comme ça ce la nous montre une chose .....
Répondre à Rtff
Lomil y a 4 heures
Il ne se documente pas. Il débite des idées reçues de ses maîtres. L'enquête mondiale de Open Society Foundation de 2023 avait révélé une très forte aspiration à la démocratie y compris du peuple sénégalais qui était en son temps réprimé par le criminel Macky Sall. De la révolution démocratique sénégalaise, il est incapable d'en faire mention parce qu'elle ne va pas dans le sens de ce que les contre-modeles français de la démocratie présentent comme telle. Au fond, comme tout libéral, SBD n'est pas un démocrate et n'a que mépris pour le peuple.
DOFFil y a 4 heures
« Thiéy » les populistes ont souvent recours à des idées simplificatrices, en désignant une personne ou un groupe comme responsable de leur situation sociale. SVP respectez les opinions de chacun ainsi que la diversité des points de vue
Répondre à Lom
DOFFil y a 4 heures
« Thiéy » les populistes ont souvent recours à des idées simplificatrices, en désignant une personne ou un groupe comme responsable de leur situation sociale. SVP respectez les opinions de chacun ainsi que la diversité des points de vue
Répondre à DOFF
Diakhateil y a 4 heures
Son prestige me semble relever davantage d’une surmédiatisation que d’une véritable autorité intellectuelle. Ce constat dépasse d’ailleurs sa personne. Plus largement, j’ai le sentiment que l’Afrique ne produit plus de grands penseurs au sens fort du terme. Elle produit surtout des figures médiatiques, des « stars identitaires », dont le discours consiste moins à contribuer à la pensée universelle qu’à invoquer une spécificité ou une authenticité brandies comme des étendards, mais dépourvues de réelle pertinence dans un monde globalisé.
L’identité devient ainsi une fin en soi, un substitut à l’effort conceptuel, alors qu’elle devrait n’être qu’un point de départ. Dans cette perspective, il me semble nécessaire de remiser la négritude à sa juste place : celle d’une étape historique, essentielle en son temps, mais désormais achevée. S’y accrocher indéfiniment revient à figer la pensée et à se condamner à la répétition.
Il est temps, selon moi, de s’engager résolument dans l’humanitude. Ce choix n’a rien d’un reniement ; il constitue au contraire un acte de construction. Se penser comme pleinement humain, et non comme éternellement assigné à une identité particulière, c’est ouvrir la possibilité de contribuer, enfin, à une pensée qui parle au monde entier.
Ambassadeur
Répondre à Diakhate
Diaxlléil y a 4 heures
La démocratie et les droits de l’homme existaient en Afrique avant l’arrivée des envahisseurs impérialistes, à preuve l’UNESCO a reconnu la Charte de Kouroukan Fouga (à consulter sur Internet ) edictée par Soundjata Keïta pendant son règne en tant que Empereur du Mandé. Si ces impérialistes croyaient vraiment en leur démocratie et droits de l’homme ils n’auraient pas commencé l’esclavage des Africains ni mis en place le Code Noir qui nous assimilait à des biens meubles donc nous n’étions même pas des humains et ce dit code n’a été sorti des textes que récemment sous François Bayrou. Alors Africains réveillons nous la séance d’hypnose des impérialistes n’a que trop duré, qu’ils arrêtent de nous endormir avec des concepts mis en place que pour mieux nous endormir tout en continuant de nous exploiter.
Répondre à Diaxllé
Un devoir républicainil y a 3 heures
Il est profondément regrettable de constater que l’actuel président de la République, Bassirou Diomaye Diakhar Faye, tout comme son Premier ministre, Ousmane Sonko, restent silencieux face à la disparition de nombreuses figures marquantes de notre pays.
Le décès de Khar Mbaye Madiaga, icône de la musique sénégalaise et patrimoine vivant de notre culture, en est une illustration frappante. De par son parcours, son engagement et sa portée symbolique, le président Diomaye aurait dû être parmi les premiers à lui rendre hommage. Ni lui, ni son Premier ministre ne l’ont fait. C’est regrettable.
Ce silence n’est malheureusement pas un cas isolé. La même attitude a été observée lors du décès de Dial Mbaye et d’autres personnalités qui ont pourtant marqué l’histoire culturelle, intellectuelle et sociale du Sénégal.
À ce stade, force est de reconnaître que l’ancien président Macky Sall se montre bien plus constant et humain dans ces moments. Il rend régulièrement hommage, félicite, encourage et reconnaît les mérites des Sénégalais, même en dehors de tout calcul politique.
À titre d’exemple, il y a à peine deux semaines, Macky Sall, et lui seul, a publiquement félicité le Pr Souleymane Bachir Diagne, lauréat du Prix Paris-Liège 2025, saluant une œuvre qui honore la pensée africaine et rappelle l’importance d’un humanisme ouvert et du dialogue entre les cultures. Là encore, aucune réaction officielle du président en exercice ni de son Premier ministre.
Un président n’est pas seulement un gestionnaire ou un chef d’institutions : il est aussi le garant de la mémoire collective, le symbole de la reconnaissance nationale. Rendre hommage ou féliciter une œuvre n’est pas de la politique politicienne ; c’est affirmer nos valeurs, notre humanité et notre identité.
À l’ère du numérique, cela ne demande pourtant pas grand-chose : un simple message sur Twitter/X, Facebook ou d’autres plateformes officielles. Le service de communication de la Présidence a un rôle essentiel à jouer.
C’est aussi cela, le Sénégal : reconnaître celles et ceux qui ont contribué à son rayonnement, qu’ils soient artistes, intellectuels ou citoyens engagés.
Ce manque de sensibilité est décevant. Gouverner, c’est aussi savoir dire merci, saluer une œuvre, honorer une mémoire. Sur ce terrain, l’actuel pouvoir doit clairement faire mieux.
Répondre à Un devoir républicain
Moussail y a 3 heures
Il y'a pourtant aussi des philosophes au Maroc. On attend impatiemment de voir des gens comme Ambassadeur sortir l'Afrique de ses difficultés, eux qui disposent de la science infuse.
Répondre à Moussa
Diakhateil y a 2 heures
À Moussa
Je regrette . je ne saurais sortir l Afrique de ses difficultésj.
J' ai servi dans la diplomatie.
Dans tous les fora diplomatiques, j ai plaidé avec conviction les causes Africaines. J ai compris que elles ne sont pas séparables des causes humaines. J ai cherche à changer de paradigme :passer de la distinctivite a l ',homogénéité. Ce n était pas facile. Une hirondelle ne fait pas le printemps.
Au demeurant, l "Afrique m a pas besoin de héros messianique à l image de Moïse pour le peuple juif.
L Afrique a besoin de transformations sociales et d un leadership transformateur.
C est l Afrique qui sortira l Afrique de ses difficultésj
Merci.
Cordialement
Ambassadeur
Répondre à Diakhate
Panafricainil y a 1 heure
Vive la démocratie sénégalaise qui se porte très très bien même
Répondre à Panafricain
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Commentaires (13)
À présent, je doute de la qualité et de la profondeur de ses réflexions maladroitement matinées de considérations autobiographiques.
Son aura procédé d une surmédiatisation plus que d une production.
Il en est de même de Felwin Sarr.
Nous n arrivons pas a produire une élite intellectuelle.
Nous produisons des stars identitaires.
Il ne contribuent pas, ils manifestent une différence, dans un monde globalisé.
Mon avis est que la négritude est une relique de l histoire.
Il faut la remiser pour une humanitude .
Ambassadeur
L’identité devient ainsi une fin en soi, un substitut à l’effort conceptuel, alors qu’elle devrait n’être qu’un point de départ. Dans cette perspective, il me semble nécessaire de remiser la négritude à sa juste place : celle d’une étape historique, essentielle en son temps, mais désormais achevée. S’y accrocher indéfiniment revient à figer la pensée et à se condamner à la répétition.
Il est temps, selon moi, de s’engager résolument dans l’humanitude. Ce choix n’a rien d’un reniement ; il constitue au contraire un acte de construction. Se penser comme pleinement humain, et non comme éternellement assigné à une identité particulière, c’est ouvrir la possibilité de contribuer, enfin, à une pensée qui parle au monde entier.
Ambassadeur
Le décès de Khar Mbaye Madiaga, icône de la musique sénégalaise et patrimoine vivant de notre culture, en est une illustration frappante. De par son parcours, son engagement et sa portée symbolique, le président Diomaye aurait dû être parmi les premiers à lui rendre hommage. Ni lui, ni son Premier ministre ne l’ont fait. C’est regrettable.
Ce silence n’est malheureusement pas un cas isolé. La même attitude a été observée lors du décès de Dial Mbaye et d’autres personnalités qui ont pourtant marqué l’histoire culturelle, intellectuelle et sociale du Sénégal.
À ce stade, force est de reconnaître que l’ancien président Macky Sall se montre bien plus constant et humain dans ces moments. Il rend régulièrement hommage, félicite, encourage et reconnaît les mérites des Sénégalais, même en dehors de tout calcul politique.
À titre d’exemple, il y a à peine deux semaines, Macky Sall, et lui seul, a publiquement félicité le Pr Souleymane Bachir Diagne, lauréat du Prix Paris-Liège 2025, saluant une œuvre qui honore la pensée africaine et rappelle l’importance d’un humanisme ouvert et du dialogue entre les cultures. Là encore, aucune réaction officielle du président en exercice ni de son Premier ministre.
Un président n’est pas seulement un gestionnaire ou un chef d’institutions : il est aussi le garant de la mémoire collective, le symbole de la reconnaissance nationale. Rendre hommage ou féliciter une œuvre n’est pas de la politique politicienne ; c’est affirmer nos valeurs, notre humanité et notre identité.
À l’ère du numérique, cela ne demande pourtant pas grand-chose : un simple message sur Twitter/X, Facebook ou d’autres plateformes officielles. Le service de communication de la Présidence a un rôle essentiel à jouer.
C’est aussi cela, le Sénégal : reconnaître celles et ceux qui ont contribué à son rayonnement, qu’ils soient artistes, intellectuels ou citoyens engagés.
Ce manque de sensibilité est décevant. Gouverner, c’est aussi savoir dire merci, saluer une œuvre, honorer une mémoire. Sur ce terrain, l’actuel pouvoir doit clairement faire mieux.
Je regrette . je ne saurais sortir l Afrique de ses difficultésj.
J' ai servi dans la diplomatie.
Dans tous les fora diplomatiques, j ai plaidé avec conviction les causes Africaines. J ai compris que elles ne sont pas séparables des causes humaines. J ai cherche à changer de paradigme :passer de la distinctivite a l ',homogénéité. Ce n était pas facile. Une hirondelle ne fait pas le printemps.
Au demeurant, l "Afrique m a pas besoin de héros messianique à l image de Moïse pour le peuple juif.
L Afrique a besoin de transformations sociales et d un leadership transformateur.
C est l Afrique qui sortira l Afrique de ses difficultésj
Merci.
Cordialement
Ambassadeur
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