«Certains pensaient que j’étais fou» : CAN 2002, El Hadji Diouf raconte sa soirée la veille de la finale contre le Cameroun
Bamako, au Mali, 9 février 2002. Le Sénégal prépare la première finale de CAN de son histoire. Alors que l’on imagine les deux équipes happées par la pression, El Hadji Diouf est aperçu dans la soirée attablé dans un restaurant bamakois. Comme si de rien n’était. «Certains pensaient que j’étais fou ou que je ne prenais pas le match au sérieux», rembobine l’ancien Lion dans un entretien paru ce lundi dans Le Soleil des Sports.
Diouf servira une réponse en deux temps. D’abord : «Le match, c’est demain. Ce soir, je suis là pour voir ma famille.» Ensuite, il répond sur le terrain : «Il signe une performance spectaculaire, dominant rigoureusement des défenseurs comme Rigobert Song et Raymond Kala. Homme du match, il révèle au monde entier la naissance d’un grand joueur», s’emporte le journal sportif.
La même source rapporte que cet épisode a conforté El Hadji Diouf dans l’idée que «le football est d’abord un sport mental».
Commentaires (14)
Aujourd’hui, une nouvelle génération de talents sénégalais brille sur les terrains, portant haut nos couleurs aussi bien en Afrique qu’à l’international. Il est temps de leur donner la place qu’ils méritent, de célébrer leurs exploits et de mettre en avant ceux qui continuent à écrire l’histoire du football sénégalais.
Tu n’en vaut pas le peine
Ton attitude déphasé fait que tu es un souvenir écrasé
Rangé dans les tiroirs de l’échec encrassé
Il ne voit toujours pas ce qui a causé sa perte 20 ans après
C'est dommage car il fut grand
Bon courage PAPE TIAW et BON VENT !
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