Malgré une expertise reconnue à l’échelle continentale, les entreprises sénégalaises du BTP peinent à s’imposer dans l’exécution des projets publics, 70 % des marchés publics leur échappant. Selon Abdel Kader Ndiaye, président du Syndicat national des entreprises du bâtiment et des travaux publics du Sénégal (SNBTP), certains donneurs d’ordre freinent leur accès à la commande publique au profit de majors étrangers. « Ces autorités contractantes connaissent souvent la typologie des entreprises locales et les limites de leurs capacités, qu’elles utilisent comme repères », a-t-il déclaré lors d’un atelier sur « la compétitivité du secteur privé et l’accès des BTP à la commande publique », tenu ce jeudi 24 juillet 2025.
Face à la domination croissante des entreprises étrangères, l’État du Sénégal affiche sa volonté de rétablir un équilibre stratégique en faveur du secteur privé national. « Si la forte présence des entreprises étrangères reflète un dynamisme économique, elle fragilise le secteur privé local, contraint de rivaliser avec des majors soutenus par leurs gouvernements. Il est temps d’engager une véritable endogénéisation de la commande publique par un repositionnement stratégique et intelligent du secteur privé national », a affirmé Moustapha Djitté, directeur général de l’Autorité de régulation de la commande publique (Arcop).
Le Sénégal dispose pourtant de mécanismes juridiques incitatifs pour les entreprises locales : marges de préférence, marchés réservés, contenu local, procédures assouplies en sous-traitance et dispositif des offres spontanées, introduit en 2014 pour permettre aux entreprises privées de proposer des projets innovants répondant à des besoins d’intérêt général. Cependant, ces entreprises peinent à en tirer profit. « Les offres spontanées visent à libérer les énergies créatrices et à susciter l’ingéniosité des opérateurs privés, qui peuvent identifier des projets innovants, trouver des partenaires financiers et s’octroyer des parts de marché. À l’analyse, notre secteur privé tarde à en tirer le meilleur profit », souligne M. Djitté.
Pour « faire émerger un secteur privé capable de rivaliser à armes égales avec les grandes entreprises internationales », l’Arcop et les acteurs du BTP réfléchissent à des mesures adaptées, notamment l’identification des contraintes d’accès à la commande publique, la proposition d’un système pertinent d’évaluation et de classement des entreprises du BTP, et la mise en place d’un dispositif pour operationaliser les mécanismes de promotion de leur accès à la commande publique. Le secteur du BTP contribue à hauteur de 6 à 7 % du PIB, générant environ 200 000 emplois formels et jusqu’à 600 000 en incluant le secteur informel.
Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
Prenons l’exemple du secteur minier : les entreprises étrangères arrivent avec des machines neuves, exonérées de droits de douane et de TVA, et remportent aisément les appels d’offres grâce aux avantages fiscaux et logistiques qui leur sont accordés.
Pendant ce temps, une entreprise sénégalaise souhaitant importer les mêmes équipements doit s’acquitter de plus de 28 % de droits de douane, en plus de la TVA et autres charges. Dans ces conditions, il devient extrêmement difficile, voire impossible, de rivaliser à armes égales.
Il est essentiel que l’État mette en place des politiques favorables aux entreprises locales si nous voulons réellement encourager le développement d’un tissu économique national solide et compétitif.
Répondre à DialloBTPLogistique
DialloBTPLogistique il y a 1 mois
Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
Prenons l’exemple du secteur minier : les entreprises étrangères arrivent avec des machines neuves, exonérées de droits de douane et de TVA, et remportent aisément les appels d’offres grâce aux avantages fiscaux et logistiques qui leur sont accordés.
Pendant ce temps, une entreprise sénégalaise souhaitant importer les mêmes équipements doit s’acquitter de plus de 28 % de droits de douane, en plus de la TVA et autres charges. Dans ces conditions, il devient extrêmement difficile, voire impossible, de rivaliser à armes égales.
Il est essentiel que l’État mette en place des politiques favorables aux entreprises locales si nous voulons réellement encourager le développement d’un tissu économique national solide et compétitif.
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DialloBTPLogistique il y a 1 mois
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Prenons l’exemple du secteur minier : les entreprises étrangères arrivent avec des machines neuves, exonérées de droits de douane et de TVA, et remportent aisément les appels d’offres grâce aux avantages fiscaux et logistiques qui leur sont accordés.
Pendant ce temps, une entreprise sénégalaise souhaitant importer les mêmes équipements doit s’acquitter de plus de 28 % de droits de douane, en plus de la TVA et autres charges. Dans ces conditions, il devient extrêmement difficile, voire impossible, de rivaliser à armes égales.
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DialloBTPLogistique il y a 1 mois
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DialloBTPLogistique il y a 1 mois
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DialloBTPLogistique il y a 1 mois
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DialloBTPLogistique il y a 1 mois
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DialloBTPLogistique il y a 1 mois
Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
Prenons l’exemple du secteur minier : les entreprises étrangères arrivent avec des machines neuves, exonérées de droits de douane et de TVA, et remportent aisément les appels d’offres grâce aux avantages fiscaux et logistiques qui leur sont accordés.
Pendant ce temps, une entreprise sénégalaise souhaitant importer les mêmes équipements doit s’acquitter de plus de 28 % de droits de douane, en plus de la TVA et autres charges. Dans ces conditions, il devient extrêmement difficile, voire impossible, de rivaliser à armes égales.
Il est essentiel que l’État mette en place des politiques favorables aux entreprises locales si nous voulons réellement encourager le développement d’un tissu économique national solide et compétitif.
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DialloBTPLogistique il y a 1 mois
Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
Prenons l’exemple du secteur minier : les entreprises étrangères arrivent avec des machines neuves, exonérées de droits de douane et de TVA, et remportent aisément les appels d’offres grâce aux avantages fiscaux et logistiques qui leur sont accordés.
Pendant ce temps, une entreprise sénégalaise souhaitant importer les mêmes équipements doit s’acquitter de plus de 28 % de droits de douane, en plus de la TVA et autres charges. Dans ces conditions, il devient extrêmement difficile, voire impossible, de rivaliser à armes égales.
Il est essentiel que l’État mette en place des politiques favorables aux entreprises locales si nous voulons réellement encourager le développement d’un tissu économique national solide et compétitif.
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M. Cisse Papeil y a 1 mois
Bonjour chers collègues du SNBTP, nous sommes heureux de vous avoir lu, ces genres de rencontre sont à Multiplier, pour faire entendre la raison, aux autorités actuellement, en exercice, c'est une vielle doléance, malheureusement, on est toujours loin du bout du tunnel, c'est état d'esprit, est bèl et bien aggraver par les sénégalais, comme disait Senghor,ãvcheikh Al Maktoum : donc cela demande d'une remise en cause de notre état d'esprit
Merci beaucoup M. Le Président NDiaye
M. Cissè /comcom.6c@gmail.com
Répondre à M. Cisse Pape
il y a 1 mois
Répondre à
Ingénieur GCil y a 1 mois
Les entreprises chinoises occupent une bonne part de marché du BTP.
Il faut soutenir, financer les entreprises locales et interdire la sous-traitance entre entreprises étrangères
reply_authoril y a 1 mois
Répondre à Ingénieur GC
il y a 1 mois
18h25..petit nullard que deja tes baboons actuels paient les dettes de l'etat/ à ces boîtes du bled !!
Répondre à
Nianthio il y a 1 mois
Prenez vos 30% et fermez les!
Je vous l avait dit, ces gens ne croient pas en leurs propres mots, des trompeurs menteurs
Ils vous ont vendu le mensonge et vous avez cru. En wolof c est " se coucher sur le dos et uriner"
Répondre à Nianthio
Momo2il y a 1 mois
Des géants sénégalais du BTP étaient réduits en sous-traitants dans leur propre pays, pour le compte d’entreprises étrangères. Si ces dernières ne sont pas contentes ou rassurées, elles s’arrêtent net. Donc même si l’Etat veut relancer les chantiers et l’économie, il est obligé de traiter avec ces étrangers, car il ne pourra pas traiter directement avec des sous-traitants avec qui il n’a pas de relations contractuelles. À moins que de résilier les contrats existants pour en signer d’autres avec les sous-traitants, ce qui poserait un gros imbroglio judiciaire entre l’Etat, les titulaires de marchés (étrangers super protégés), leurs sous-traitants, les banques et assurances, les bailleurs et leurs États d’origine. Ces étrangers, affairistes insensibles à un quelconque sentiment national et fort de leur droit contractuel, resteront inflexibles pour une éventuelle renégociation, attendu que leurs prix, s’ils sont jugés surévalués, pourraient certainement avoir intégré la valeur des enveloppes sous le manteau, donc ils refuseront d’être les dindons de la farce.
Voilà la situation que nous a laissé l’ancien régime, à savoir la mise sous hypothèque de toute notre économie, avec un vaste réseau de siphonnage à vie.
reply_authoril y a 1 mois
Merci Momo
il y a 1 mois
Vous avez les preuves de ce que vous dites des anciens régimes ?
Et l'actuelle affaire Aser dont il est dit qu"on cherche à remplacer un vaillant entrepreneur senegalais porteur du projet par un autre espagnol et donc etranger de surcroit ?...
Quand un esprit est partisan, il produit ipso facto des idées totalement ou essentiellement dénuées de logique et immergées dans de l'incivilité
Répondre à Momo2
il y a 1 mois
C'est la faute sonko qui a emprisonné des dizaines d'hommes d'affaires.
Répondre à
Normal il y a 1 mois
Quand ils te financent et timposent en retour de travailler avec leurs propres entreprises cest le cas de plusieurs secteurs d'activités où chaque partenaire financier vient avec ses propres entreprises étrangères. Ça a duré dans les pays africains
reply_authoril y a 1 mois
Apprenez L'ARABE ou bien L'ANGLAIS à distance et en un temps record.
Suivi personnel, méthode douce selon votre rythme.
CONTACT e-mail : senprof2024@gmail.com
Commentaires (17)
Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
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Il est essentiel que l’État mette en place des politiques favorables aux entreprises locales si nous voulons réellement encourager le développement d’un tissu économique national solide et compétitif.
Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
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Il est essentiel que l’État mette en place des politiques favorables aux entreprises locales si nous voulons réellement encourager le développement d’un tissu économique national solide et compétitif.
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Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
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Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
Prenons l’exemple du secteur minier : les entreprises étrangères arrivent avec des machines neuves, exonérées de droits de douane et de TVA, et remportent aisément les appels d’offres grâce aux avantages fiscaux et logistiques qui leur sont accordés.
Pendant ce temps, une entreprise sénégalaise souhaitant importer les mêmes équipements doit s’acquitter de plus de 28 % de droits de douane, en plus de la TVA et autres charges. Dans ces conditions, il devient extrêmement difficile, voire impossible, de rivaliser à armes égales.
Il est essentiel que l’État mette en place des politiques favorables aux entreprises locales si nous voulons réellement encourager le développement d’un tissu économique national solide et compétitif.
Il est indéniable qu’il devient de plus en plus difficile pour les entreprises sénégalaises de remporter des marchés face à la concurrence étrangère, souvent soutenue par des subventions de leurs États d’origine. Pire encore, ces entreprises bénéficient également de facilités offertes par notre propre administration.
Prenons l’exemple du secteur minier : les entreprises étrangères arrivent avec des machines neuves, exonérées de droits de douane et de TVA, et remportent aisément les appels d’offres grâce aux avantages fiscaux et logistiques qui leur sont accordés.
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Voilà la situation que nous a laissé l’ancien régime, à savoir la mise sous hypothèque de toute notre économie, avec un vaste réseau de siphonnage à vie.
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Vous avez les preuves de ce que vous dites des anciens régimes ?
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