Cybersécurité : Ngoné Saliou Diop libre après son audition
Sous le coup de plusieurs plaintes pour injures publiques et atteinte à l'honneur d'une communauté, Ngoné Saliou Diop a déféré ce lundi à la convocation des enquêteurs de la Division spéciale de la cybersécurité.
À l'issue de sa longue audition, la chroniqueuse de Sans Limites TV est libre, selon des sources de Seneweb.
Contrairement à la rumeur relayée sur les réseaux sociaux, Ngoné Saliou Diop n'a pas fait l'objet d'une mesure de garde à vue. Son dossier pourrait être transmis au parquet sous forme de renseignement judiciaire.
Commentaires (51)
Alhamdoulilah amal jamme Nguoné Saliou la journaliste du grand public wakhatal lounaikh wala loula saff fi gnokko mome koumou nakhary ngua daime immigré ji walla ngua mairreu 😂😂😂
excellent, cette comédie avait assez duré, ils ont tout fait pour se servir d'elle et appliquer une vendetta politique, ces gens nous emmerdent beaucoup trop et il est plus que temps que l'état prenne ses responsabilités, leur histoire de neddo ko bandoum, si toutes les autres ethnies commencent à faire pareille on finira par une guerre civile, ils se pensent les meilleurs du pays alors qu'en réalité amoul lou gueuneu kaaw kaawé peul boléssi racisme bou kéneu khaamoul lii laanelaa, je ne sais pas de quelle ethnie est ngoné mais la prochaine fois kougniou laale naasa ethnie toi aussi diogu diappalé laa baa khaam fimouyy mouddié, tout ça c'est le travail de macky sall, li yeuppe c'est venu avec son règne, jamais nous n'avions connu ça auparavant
Fi Yallah Rek moffi Mom. Dana Len Won Bopam Leggi Leggi. Dotoul Yague. Moss Dem Inchallahou Rabbih. Dieu est le meilleur des juges. YANAGNOU YALLOU ATTÉ Ak NGONE SALIOU AK KEPPEU KOUKO DÉFENDRE. Amin ya MONTAQUIM. Lui le détenteur de la vérité. 2029 Yaguetoul. Fékéko té Talko.
Ibou ndaffa diaroul niouy teudj kene il a assez fait de mal au peuple donc on doit pas le laisser â continuer de faire du mal a la population s'il veut porter plainte il n'a qu'a venir au Sénégal
Dioni Yalla Wonelen moffi mom!!!Dioni Dioni!!
Catastrophe. Les tenants du régime était entre deux feux. Ils ont préféré céder à leurs partisans en suscitant la colère de la majorité des sénégalais attachés à l'unité nationale.
Le Procureur vient de perdre le minimum de crédibilité qui lui restait. Dommage !
cette femme n'a rien dit de mal. il a traite maky sale de diawando mais les diawando sont 1000 fois mieux que maki qui est en fait un mathioudo. wade avait bien raison de le traiter de diame, lui qui a vole et ensanglante ce pays.
Pape Malick Ndour libre, lui qui incitait les FDS. Donc Ngoné n'a rien à faire en taule
je suis pro sonko mais cette dame une vraie lèche botte devrait être mise en garde à vue on ne veut pas de guerre ethnique dans ce pays.
sans limite walf des médias de la honte ils font de la prostitution médiatique
Oh mon dieu ... c dommage j avais tellement confiance a ce justice
C'edt pas une surprise. C'est un ahurissant.
Eskey
En fait, bravo Ngoné ne devait pas être inquiétée. La justice doit s’auto saisir de tous ces mbidou qui ont insulté les Wolofs sur internet vu que les preuves sont là. Les Wolofs sont trop gentils.
NGONE Saliou on l’aura par ni ou par né. A nos chapelets!!! Vous DF un vrai pastechien! !
Que Dieu nous protège des satans
Et voilà pastef Proc. De merde Ministre de merde Premier minstron de memerde Un président au balcon Ce pays est du n importe quoi Bilahi walkitabi sama khol bi nimou nakariwé thi senegal magui key sedel yalla sama borom mon cher pays est devenu un dortoir
Je tombe des nus. Qui l’u cru
Je ne vois ce qu’elle a dit de grave. Macky ci famille deum la bokou comme l’avait dit Wade
Les Kulunas jaloux vont maigrir et mourir a petit Feu
Aux chasseurs de prime de la faire taire. Quiconque se sent insulté par elle l'aide point à avoir une vie calme. Pourquoi pas ne pas faire d'elle le début de milles collines puisque la justice joue au faux-cul.
Sonko et l Pastef veulent pousser les peulhs a prendre les armes comme au Mali.
On les attends na Gaw
Tu as tout compris Lou et pour acceder au pouvoir il peut pousser tous ces soit disant journalistes qui sont de leur cote a manipuler et saper la cohesion nationale en divisant les senegalais .Qu ALLAH preserve le Senegal waye' sama khel daloul.
Une ordure qui se permet d’insulter toute une communauté, le monde à l’envers.
Quand Penda Ba insultait la communauté la plis importante du Senegal ou étiez vous? Et pourtant cette communauté n.a jamais porté plainte comme.vous le faites mais s est indignée.
Le procureur vient encore de lécher le c..l de Sonko.
Quel mraam!
Les plaignants devraient l'enlever et lui raser la tête (ndéle)
Gankaddi labii thieur.
J ai honte pour ce procureur de merd
Le Procureur vient de perdre le minimum de crédibilité qui lui restait. Dommage !
Laissez cette femme tranquille.
Elle n’a dit que la vérité
Son of a bitch
Waw goor, ya tayy ! La prochaine fois ne portez pas plainte dou moudieu feneu, fadialenko sen bop
Ne vous en faites pas. Yalla Dina ko Fathieu Lou Yaguetoul. Gnepeu Tekkeu Si Sen Beutt. Procureur Guen Yakkar? Gnoun Yallah Lagnou Yakkar.NGONE Saliou dotoul Ameuti Diam!!
Smalah MachaALLAH ALHAMDOULILAH
X se retire de toute discussion sur le Sénégal. Que dieu protège la communauté peulh du Sénégal et de l'Afrique.
Le République du Sénégal est devenue une grosse farce.
La main de Sonko est dérrière cette libération comme cela s'est passé avec azoura Fall.
On a un système de justice à deux vitesses au Sénégal. Un favoritisme et une inégalité dans l'application de la justice.
Les signes avant-coureurs, l'arrestation puis la libération de Pape Malick Ndour....Nous sommes tous en DANGER.
Vive Madiambal Diagne 👍
La justice aux ordres de l'exécutif c'est ça la vérité. Quel changements de système c'est le même qui continue. Si c'était un opposants il va passer sa première nuit en prison mais malheureusement c'est la justice à deux vitesse deur dome lakh dome. C'est triste pour l'avenir du pays
Ce sont les graines semées par Firaouna Sall qui ont germé. Et c'était une de ses missions: diviser les communautés sénégalaises (ethniques, religieuses). Durant 12 ans, Macky a tenté de faire ces divisions, il n'a réussi son implantation de haine que chez les pulaars. Rappelez-vous, pour me comprendre, lors d'un Maouloud, Macky Sall n'avait-il pas lancé une grande campagne de communication à l'échelle du pays, avec de grandes affiches de son image avec le titre: "L'AMI DES FAMILLES RELIGIEUSES ", c'est une traduction du wolof "Keur i diiné yi " (les familles dirigeantes des confréries). Cet affichage, ce comportement de Macky, seul, est une dangereuse arme pour la division religieuse du peuple. Macky ne l'ignore pas. Il l'a fait exprès pour atteindre son objectif.
Bref, du côté religieux, Macky a lamentablement échoué (encore une fois la sortie récente de Sérigne Basse Abdou Khadre révèle beaucoup de leur résistance à Macky). Mais du côté ethnique Macky a bien réussi chez mes parents peuls.
NB: Je prépare un texte plus vaste, inchallah, pour expliquer tout le programme de Macky de se servir des peuls pour la division, pas seulement du Sénégal, mais même l'Afrique. Inch1llah je ferais ce texte. Et comme j'ai l'habitude de le dire, on m'enverra des insultes, mais jamais un seul démenti, jamais. Parce que tout sera documenté en béton armé
Iow moom tu es un gros con pauvre illuminé Macky Sall est parti depuis bientôt 2 ans et toi tu continues ta fixette sur lui ai finish je me demande si tu n'est pas dans la même situation que notre haut représentant amoureux transi
A mon avis ce n'est pas une insulte des peuls. Quand elle dit " khétou" ni gni c'est pour dire genrou nite yi. Ici" khéte" ne signifie pas ethnie mais ce genre de personne. Mais comme elle supporte Pastef, vous voulez en découdre avec elle.
Pastef , quelle déception !!! Comment est-ce que ce marionnette de procureur va regarder ses pairs dans les yeux, le jour où il sera relevé de ses fonctions ? Quel gâchis !!!
Apparemment ces jours ci Satan à fait escale au sénégal.
Que Dieu nous préserve de ses manigances
Peulh wolofs serere diola....nous sommes frères et le resterons incha Allah
Que nos concitoyens se limitent à la politique. De grâce méttons certaines considérations de côté. Nous devons tous être fiêrs de la paix sociale au Senegal.
La pute des milles collines.
C’est ça une justice , vous créez un précédent dangereux . Si justice n’est pas rendu sachez que cette dame n’aura pas la paix . Incha Allah . M le procureur
Ngone Amal diameu ces neddo raciste vous allez tous mourrir de chagrin coeur de mecreant hypocrite quand tu nous tiens dila misere lo chak jour.
Aux Alpoular valeureux gno bok senegal ne laisser ces ethnicistes neddo vous conduire en enfer.
Fitna bakhoul keneu douko ye et il faut se mefier de l eau qui dort.
Le meilleur parmi nous est le plus pieux envers Allah swt.
White yellow black brown chinese arab african caucasian all the same before Allah swt
Le jour que la mort vous visitera seul dans ta souffrance on saura qu on est rien.
Arreter vos pensees de neddo et soyez une fois des croyants avant votre prochain rendez vous avec Allah swt l Unique God that deserve all the best names and attributs.
A musulman plein de peche doit savoir excuser surtout quand la faute n est pas aussi grave cest une muavaise interpretation et occasion pour certaim neddo d attaquer les wolofs qui sont tres tolerents jusqu a devenir naifs
Les peuls, le nouveau "Peuple Élu de Dieu"! Ils se prennent pour les juifs du Senegal. Ils peuvent attaquer tout le monde mais personne ne touche à un seul de leurs cheveux. Pas trop fan de Ngoné mais extremement content du denouement. Les neddo ko bandoumistes primaires emmerdent tout le monde. Les peuls eveilles sont avec Sonko.
Cette est tellement bornée qu elle va encore refaire une boulette
Justice, dignité et respect pour tous : le cas Ngone Saliou interpelle notre conscience nationale
La récente libération de Ngone Saliou, après ses propos publiquement insultants envers la communauté peule, a profondément choqué une grande partie de l’opinion publique. Ce sentiment d’injustice ne concerne pas uniquement les Peuls, mais tous les citoyens qui croient en l’État de droit, à la cohésion nationale et à l’égalité de traitement devant la loi.
Lorsqu’une personne s’autorise à insulter publiquement une communauté entière sans en assumer les conséquences judiciaires, c’est le socle même de notre vivre-ensemble qui vacille. La République sénégalaise repose sur des valeurs de respect, de tolérance et de justice. Si ces principes cessent d’être appliqués avec la même rigueur pour tous, c’est toute la confiance envers nos institutions qui s’effrite.
Il est donc impératif que la justice sénégalaise démontre son indépendance et son impartialité. Ceux qui ont eu le courage de porter plainte ne doivent pas s’arrêter à cette première étape. Ils doivent aller jusqu’au bout du processus judiciaire en introduisant un recours auprès de la Cour suprême pour exiger un réexamen complet et objectif du dossier. La justice doit être un rempart contre l’arbitraire, non un instrument soumis à des calculs politiques ou à des influences circonstancielles.
Cette affaire risque de devenir un long feuilleton judiciaire, qui pourrait s’étendre sur toute la durée du mandat des actuels dirigeants issus du PASTEF. Mais qu’importe la durée : la quête de justice, lorsqu’elle est juste et légitime, mérite patience, persévérance et détermination. Ce combat symbolise bien plus qu’une simple affaire individuelle — il illustre le rapport entre les citoyens, la loi et les institutions censées les protéger.
Dans ce contexte, il revient aux cadres, intellectuels, universitaires, ingénieurs, médecins, et leaders d’opinion peuls de se lever avec dignité, sans violence, pour défendre la vérité et le respect mutuel. Le silence serait perçu comme une résignation, voire une approbation tacite de l’injustice. Mais la réaction doit être pacifique, réfléchie et républicaine.
Ce combat n’oppose pas une communauté à une autre. Il ne s’agit pas d’une confrontation entre Peuls, Diolas, Wolofs, Sérères ou autres composantes du peuple sénégalais. Il s’agit d’un appel à la justice, à la dignité et à la cohésion nationale. Car une injustice commise envers une communauté finit toujours par fragiliser l’ensemble du pays.
Le Sénégal doit demeurer un espace de fraternité et de respect mutuel. Défendre la justice dans cette affaire, c’est défendre la paix sociale, la crédibilité de nos institutions et la promesse d’une République véritablement équitable pour tous.
Justice, dignité et respect pour tous : le cas Ngone Saliou interpelle notre conscience nationale
La récente libération de Ngone Saliou, après ses propos publiquement insultants envers la communauté peule, a profondément choqué une grande partie de l’opinion publique. Ce sentiment d’injustice ne concerne pas uniquement les Peuls, mais tous les citoyens qui croient en l’État de droit, à la cohésion nationale et à l’égalité de traitement devant la loi.
Lorsqu’une personne s’autorise à insulter publiquement une communauté entière sans en assumer les conséquences judiciaires, c’est le socle même de notre vivre-ensemble qui vacille. La République sénégalaise repose sur des valeurs de respect, de tolérance et de justice. Si ces principes cessent d’être appliqués avec la même rigueur pour tous, c’est toute la confiance envers nos institutions qui s’effrite.
Il est donc impératif que la justice sénégalaise démontre son indépendance et son impartialité. Ceux qui ont eu le courage de porter plainte ne doivent pas s’arrêter à cette première étape. Ils doivent aller jusqu’au bout du processus judiciaire en introduisant un recours auprès de la Cour suprême pour exiger un réexamen complet et objectif du dossier. La justice doit être un rempart contre l’arbitraire, non un instrument soumis à des calculs politiques ou à des influences circonstancielles.
Cette affaire risque de devenir un long feuilleton judiciaire, qui pourrait s’étendre sur toute la durée du mandat des actuels dirigeants issus du PASTEF. Mais qu’importe la durée : la quête de justice, lorsqu’elle est juste et légitime, mérite patience, persévérance et détermination. Ce combat symbolise bien plus qu’une simple affaire individuelle — il illustre le rapport entre les citoyens, la loi et les institutions censées les protéger.
Dans ce contexte, il revient aux cadres, intellectuels, universitaires, ingénieurs, médecins, et leaders d’opinion peuls de se lever avec dignité, sans violence, pour défendre la vérité et le respect mutuel. Le silence serait perçu comme une résignation, voire une approbation tacite de l’injustice. Mais la réaction doit être pacifique, réfléchie et républicaine.
Ce combat n’oppose pas une communauté à une autre. Il ne s’agit pas d’une confrontation entre Peuls, Diolas, Wolofs, Sérères ou autres composantes du peuple sénégalais. Il s’agit d’un appel à la justice, à la dignité et à la cohésion nationale. Car une injustice commise envers une communauté finit toujours par fragiliser l’ensemble du pays.
Le Sénégal doit demeurer un espace de fraternité et de respect mutuel. Défendre la justice dans cette affaire, c’est défendre la paix sociale, la crédibilité de nos institutions et la promesse d’une République véritablement équitable pour tous.
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Justice, dignité et respect pour tous : le cas Ngone Saliou interpelle notre conscience nationale
La récente libération de Ngone Saliou, après ses propos publiquement insultants envers la communauté peule, a profondément choqué une grande partie de l’opinion publique. Ce sentiment d’injustice ne concerne pas uniquement les Peuls, mais tous les citoyens qui croient en l’État de droit, à la cohésion nationale et à l’égalité de traitement devant la loi.
Lorsqu’une personne s’autorise à insulter publiquement une communauté entière sans en assumer les conséquences judiciaires, c’est le socle même de notre vivre-ensemble qui vacille. La République sénégalaise repose sur des valeurs de respect, de tolérance et de justice. Si ces principes cessent d’être appliqués avec la même rigueur pour tous, c’est toute la confiance envers nos institutions qui s’effrite.
Il est donc impératif que la justice sénégalaise démontre son indépendance et son impartialité. Ceux qui ont eu le courage de porter plainte ne doivent pas s’arrêter à cette première étape. Ils doivent aller jusqu’au bout du processus judiciaire en introduisant un recours auprès de la Cour suprême pour exiger un réexamen complet et objectif du dossier. La justice doit être un rempart contre l’arbitraire, non un instrument soumis à des calculs politiques ou à des influences circonstancielles.
Cette affaire risque de devenir un long feuilleton judiciaire, qui pourrait s’étendre sur toute la durée du mandat des actuels dirigeants issus du PASTEF. Mais qu’importe la durée : la quête de justice, lorsqu’elle est juste et légitime, mérite patience, persévérance et détermination. Ce combat symbolise bien plus qu’une simple affaire individuelle — il illustre le rapport entre les citoyens, la loi et les institutions censées les protéger.
Dans ce contexte, il revient aux cadres, intellectuels, universitaires, ingénieurs, médecins, et leaders d’opinion peuls de se lever avec dignité, sans violence, pour défendre la vérité et le respect mutuel. Le silence serait perçu comme une résignation, voire une approbation tacite de l’injustice. Mais la réaction doit être pacifique, réfléchie et républicaine.
Ce combat n’oppose pas une communauté à une autre. Il ne s’agit pas d’une confrontation entre Peuls, Diolas, Wolofs, Sérères ou autres composantes du peuple sénégalais. Il s’agit d’un appel à la justice, à la dignité et à la cohésion nationale. Car une injustice commise envers une communauté finit toujours par fragiliser l’ensemble du pays.
Le Sénégal doit demeurer un espace de fraternité et de respect mutuel. Défendre la justice dans cette affaire, c’est défendre la paix sociale, la crédibilité de nos institutions et la promesse d’une République véritablement équitable pour tous.
Moustapha Diakhate avait que ceux qui ont vote' pour P,astef dagno alkou : convocation, .Mandat de depot
Il sort de prison et appelle les dirigeants de Pastef des gougnafiers des incultes: convocation, .a dat de depot
A, sa sortie, il fait un point de presse et dit au procureur de Pastef: "dessel ngama 998 mandats de depot car tu ne peux pas me faire taire"
PASTEF est sa propre opposition. Il va tomber tout seul comme un fruit mur
À la Cour suprême de la République du Sénégal,
Nous, citoyens et parties concernées, portons à votre haute attention la présente demande de réexamen complet de la décision judiciaire concernant la libération de Mme Ngone Saliou, suite à ses propos publiquement insultants à l’encontre de la communauté peule.
Nous considérons que la décision rendue, en l’état, porte atteinte aux principes fondamentaux de justice, d’égalité et de protection de la dignité humaine, inscrits dans notre Constitution et nos lois. Elle envoie un message préoccupant selon lequel certains citoyens pourraient être exonérés de toute responsabilité pour des propos haineux dirigés contre une communauté entière.
Par la présente, nous sollicitons de la Cour suprême :
1. Le réexamen intégral de la décision de libération, afin de vérifier la régularité du processus judiciaire et l’application correcte des textes de loi.
2. L’assurance que la justice sénégalaise demeure impartiale, qu’aucune considération politique ou communautaire ne puisse influencer le jugement des faits.
3. La clarification des conséquences légales pour toute personne qui profère des propos incitant à la haine ou à la division afin de prévenir la répétition de tels incidents.
Nous estimons que ce recours est indispensable pour :
• Restaurer la confiance de l’ensemble des citoyens dans nos institutions judiciaires ;
• Garantir le respect des droits de toutes les communautés, notamment la communauté peule qui a été publiquement offensée ;
• Prévenir tout précédent pouvant fragiliser la cohésion nationale et la paix sociale.
Nous affirmons que cette démarche n’est dirigée contre aucune communauté, mais vise uniquement à assurer l’application équitable de la loi et à protéger l’État de droit. Nous comptons sur la Cour suprême pour prendre les mesures nécessaires afin que justice soit pleinement rendue, dans le respect de la loi et de la dignité de tous les Sénégalais.
En espérant que notre demande recevra toute l’attention qu’elle mérite, nous vous prions de croire, Madame/Monsieur le Président de la Cour suprême, en l’assurance de notre haute considération et de notre engagement envers la justice républicaine.
À la Cour suprême de la République du Sénégal,
Nous, citoyens et parties concernées, portons à votre haute attention la présente demande de réexamen complet de la décision judiciaire concernant la libération de Mme Ngone Saliou, suite à ses propos publiquement insultants à l’encontre de la communauté peule.
Nous considérons que la décision rendue, en l’état, porte atteinte aux principes fondamentaux de justice, d’égalité et de protection de la dignité humaine, inscrits dans notre Constitution et nos lois. Elle envoie un message préoccupant selon lequel certains citoyens pourraient être exonérés de toute responsabilité pour des propos haineux dirigés contre une communauté entière.
Par la présente, nous sollicitons de la Cour suprême :
1. Le réexamen intégral de la décision de libération, afin de vérifier la régularité du processus judiciaire et l’application correcte des textes de loi.
2. L’assurance que la justice sénégalaise demeure impartiale, qu’aucune considération politique ou communautaire ne puisse influencer le jugement des faits.
3. La clarification des conséquences légales pour toute personne qui profère des propos incitant à la haine ou à la division afin de prévenir la répétition de tels incidents.
Nous estimons que ce recours est indispensable pour :
• Restaurer la confiance de l’ensemble des citoyens dans nos institutions judiciaires ;
• Garantir le respect des droits de toutes les communautés, notamment la communauté peule qui a été publiquement offensée ;
• Prévenir tout précédent pouvant fragiliser la cohésion nationale et la paix sociale.
Nous affirmons que cette démarche n’est dirigée contre aucune communauté, mais vise uniquement à assurer l’application équitable de la loi et à protéger l’État de droit. Nous comptons sur la Cour suprême pour prendre les mesures nécessaires afin que justice soit pleinement rendue, dans le respect de la loi et de la dignité de tous les Sénégalais.
En espérant que notre demande recevra toute l’attention qu’elle mérite, nous vous prions de croire, Madame/Monsieur le Président de la Cour suprême, en l’assurance de notre haute considération et de notre engagement envers la justice républicaine.
La même pression qu’avait subi le parquet sur le cas d’Azoura Fall. Sonko nous a déjà dit ouvertement que s’il dit quelques choses au ministre ou au procureur, ils vont exécuter ses ordres. Aussi simple que ça. Les Alpulaars peuvent s’autoconsoler et aller dormir.
Je suis peul mais en vérité cette dame parme de Macky Sall et vous voulez vous identifier a Macky Sall
Toutes ses plaintes viennent des Peulhs APR de Dahra Djoloff et leurs organisations.Majam Ka wata watt tu est le CT com de Antoine Diome donc si tu veux passer par pour gagner la.maireie de Thiel c est peine perdue.
Acceptez que le règne de Macky Sall est fini
Arrêtez de tomber dans le piège de l'opposition et de faiblir le travail du nouveau régime. Les propos de cette femme favorisés par le comportement haineux de macky sall qui admet son implication dans les meurtres des nervis de l'apr et les forces de défense envers des jeunes sans défense. C'est mieux de parler des réalisations du gouvernement que de répondre à cette opposition en difficulté depuis l'ouverture des événements politiques qui ont coûté la vie à plus de 80 morts la plupart des jeunes hommes tués par les nervis de l'apr
An ka gongoo ?gone Saliou Diop n'a fait que dire ce que les peulhs noblesnt savent. Macky Sall est un MAtTHIOUDO c est un esclave peul gassi
Fi ba adouna di toucki doto wakh thi macky lou bonne
Une justice à deux poids, deux mesures.
Une justice bancale est la cause de déclin de toutes les grandes civilisations qui ont sombré. Que Dieu protège notre Cher Sénégal
Halpular ou halk… yaineu khame … bene wolof beuguoul mailni yaine tai dinguaine lakkeu wolof par force naikh nakhari je suis wolof mais jamais au plus grand jamais doumou diangueu lakk pular daimelaine sammi saini kharr akk béyye 😂😂😂
En tout cas pa bi nekon podor do wakh liga wakh
Si ce qui arrive au Mali arrivera au Sénégal vous connaitrerez la valeur de la paix entre les communautés.Togne bakhoul
Pitié a la race noire,a quand le civisme chez lui ? peut être après la fin du monde, quelle malédiction vraiment ?
Cette dame a merdé et a reconnu qu'elle a merdé en s'excusant.Le procureur s'est ridiculisé devant tous les sénégalais.
Elle n'a pas insulté les peuls. Arrêtez vos mensonges. Elle a peut être insulté Macky Sall mais pas la communauté peule. Khett nettoyage boumou book veut juste dure "le genre de personnes qui lui ressemble". Pourquoi vous vous sentez offusqué pour ça? Elle ne parle pas d'ethnie mais de la race de personne de Macky de menteur, de voleur, d'assassin, etc. à l'image de beaucoup de chefs d'Etat africains. Voilà! Mais si on veut politiser tout, on risque de tomber dans des considérations malsaines comme ces histoires de fierté ethnique où je ne sais quoi. Il faut éviter de réveiller le démon. Si le pays vrule Macky lui va rester tranquillement au Maroc bouffant son plat de tadjine et sirotant son the à la menthe. C'est nous qui en patissons pas lui.
Ce qui ont rejoint la ville, surtout Dakar y avaient trouvé des codes, des pratiques, un langage qui leur etaient pour le moins, etrangers.
Certains "citadins" jouant sur des criteres sans pertinences ont voulu imposer une sorte de domination mal fondée.
De là s'est introduite une frustation face a des "blagues" et autres "plaisanteries" qui mettaient souvent en scenes le "venu de la campagne". Cela concernait essentiellement des jeunes. Boy Toucou, Boy Serere ou Boy Diola etaient toujours de la selection, autant Boy Wolof brillait par son absence...
Les adultes, eux, de quelque region qu'ils venaient, avaient forgé une diplomatie à toutes epreuves, naviguant aisement entre humour, rigolades et frictions maitrisées. Lors de fetes, souvent religieuses, on remet les compteurs à zéro, l'orgueil y perd, noyé dans les pardons.
Mais attention, au niveau des plus jeunes, le tact naturel des parents n'etant pas hereditaire, une frustation s'est exacerbé, et a pu donner naissance à une réaction, sinon de repli, de revolte silencieuse. Reaction...Contre Reaction...Mais pas bien mechant...peut-etre..
Seulement, quelque chose est venu perturber la donne.
INTERNET!
Les relations horizontales, directes qu'on avait, sont maintenant remplacées par des rayons vers un pseudo centre : les Media.
On ne se "parle" plus, on guette les:
- les revelations d'une telle
- la reponse salée d'un tel
- le discours musclé de...
etc
Tout ceci souvent recuperé, réinterpreté, reservi à la sauce qui nous convient...
Apres, ca redescent vers chaque individu qui va penser que la planète entiere vie à ce rythme et, est affectée par ses petits soucis d'ordre fierté/orgueil.
L'electron circule vite, tourne, tourne, nourrit les media et tout ça nous donne une impression de fin du monde...
Heureusement, meme si notre moyenne d'age est bas, et sujet à une manque d'experience et d'ecarts de langages, et autres erreurs,
il veille, quelque part, loin de nos tapages, loin des associations, loin des partis politiques, donc, des "Hommes de Dieu", des "Femmes de Dieu" qui eux communiquent directement, calment, apaisent, dissipent, raccolent, rafermissent. Ces derniers sont de toutes ethnies, toutes regions, et au delà de nos frontieres.
Cependant, il incombe neanmoins aux plus jeunes de prendre conscience que l'Unité qu'on vecue nos parents n'est point hereditaire et demande un effort pour etre perpetuee plus aisement.
Senegal, Un et Indivisible!
et surtout, Pardon! en cas d'offense.
Ceux qui ont rejoint la ville, surtout Dakar y avaient trouvé des codes, des pratiques, un langage qui leur etaient pour le moins, etrangers.
Certains "citadins", jouant sur des criteres sans pertinences, ont voulu imposer une sorte de domination mal fondée.
De là, est née une frustation face a des "blagues" et autres "plaisanteries" qui mettaient souvent en scene le "venu de la campagne". Cela concernait essentiellement des jeunes. Boy Toucou, Boy Serere ou Boy Diola etaient toujours de la selection, autant Boy Wolof brillait par son absence...
Les adultes, eux, de quelque region qu'ils venaient, avaient forgé une diplomatie à toutes epreuves, naviguant aisement entre humour, rigolades et frictions maitrisées. Lors de fetes, souvent religieuses, on remet les compteurs à zéro, l'orgueil y perd, noyé dans les pardons.
Mais attention, au niveau des plus jeunes, le tact naturel des parents n'etant pas hereditaire, une frustation s'est exacerbé, et a pu donner naissance à une réaction, sinon de repli, de revolte silencieuse. Reaction...Contre Reaction...Mais pas bien mechant...peut-etre..
Seulement, quelque chose est venu perturber la donne.
INTERNET!
Les relations horizontales, directes qu'on avait, sont maintenant remplacées par des rayons vers un pseudo centre : les Media.
On ne se "parle" plus, on guette les:
- les revelations d'une telle
- la reponse salée d'un tel
- le discours musclé de...
etc
Tout ceci souvent recuperé, réinterpreté, reservi à la sauce qui nous convient...
Apres, ca redescent vers chaque individu qui va penser que la planète entiere vit à ce rythme et, est affectée par ses petits soucis d'ordre fierté/orgueil.
L'electron circule vite, tourne, tourne, nourrit les media et tout ça nous donne une impression de fin du monde...
Heureusement, meme si notre moyenne d'age est bas, et sujet à un manque d'experience et d'ecarts de langages, et autres erreurs,
il veille, quelque part, loin de nos tapages, loin des associations, loin des partis politiques, donc, des "Hommes de Dieu", des "Femmes de Dieu" qui, eux, communiquent directement, calment, apaisent, dissipent, raccolent, rafermissent. Ces derniers sont de toutes ethnies, toutes regions, et au delà de nos frontieres.
Cependant, il incombe neanmoins aux plus jeunes de prendre conscience que l'Unité qu'ont vecue nos parents n'est point hereditaire et demande un effort pour etre perpetuee plus aisement.
Senegal, Un et Indivisible!
et surtout, Pardon! en cas d'offense.
Le régime de pastef joue avec le feu et pourtant leurs procureurs mettent en prison la plus petite erreure d un opposant.
Les juges ont peurs des dirigeants de pastef et de la reaction de leurs militants.
Pourtant les halpular peuvent changer le vote d une élection.
́le procureur doit d ailleur nous édifier sur la disparition de M ba comme lui mm avait dit qu il y a qq chose qui cloche.
Que les peuls disent la même chose sur sonko et les diolas comme ça se sera 1 but partout comme que ce pays n'a plus de loi
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