La capitale du Sénégal, Dakar, va abriter, du 27 au 31 octobre 2025, la première édition du Salon international des médias d’Afrique (SIMA), un évènement majeur qui réunira professionnels des médias, institutions publiques, partenaires techniques et entreprises du numérique, a appris l’APS des organisateurs.
‘’Ce salon est hautement important parce qu’il se veut une rencontre culturelle, une rencontre économique, une rencontre pratiquement diplomatique qui place et replace le Sénégal dans l’agenda culturel panafricain et international’’, a déclaré, jeudi, Mactar Silla, coordonnateur du comité de pilotage du SIMA, lors d’une conférence de presse.
Il a précisé que cet événement, qui va regrouper tous les pays d’Afrique, est un peu différent des autres événements organisés aujourd’hui sur le continent.
‘’D’abord par son caractère panafricain. Ce n’est pas un salon des médias du Sénégal mais un salon des médias d’Afrique. Ensuite, il est particulier parce que nous sommes dans une approche plurilingue (…)’’, a-t-il tenu à indiquer.
‘’Mais l’un des plus grands changements c’est aujourd’hui d’incorporer ce que nous appelons la formation qui débouche sur de la production en faisant appel notamment à nos amis nigérians. Le Nigeria qui est le deuxième plus grand producteur aujourd’hui en termes de volumes de films et d’audiovisuels dans le monde après l’Inde’’, a-t-il ajouté.
Des conférences, panels, ateliers pratiques et expositions rythmeront cette rencontre autour des défis actuels, des mutations structurelles et des opportunités futures dans le secteur de l’information et de la communication sur le continent.
Il a rappelé la place que les médias occupent aujourd’hui au Sénégal, leur rôle transversal et leur capacité à être un catalyseur des autres secteurs.
Des éléments au vu desquels ‘’il est important qu’un tel événement puisse être accompagné par les pouvoirs publics, par le secteur privé national et international, par toutes les parties prenantes qui ont intérêt effectivement à ce que ce genre d’événement puisse être organisé’’, a-t-il plaidé.
Commentaires (3)
Une honte de l'organiser à Dakar.
Sénégal ou les hommes de médias, chroniqueurs, journalistes croupissent en prison.
Opinionistes ou un racontant un passé récent.
Sweat beauté et ces multiples fléaux font partie à jamais dans l'histoire du Sénégal.
Appeler d'autres pays,autorisant veux juste montrer à travers l'Afrique ce que le Sénégal avait comme dont : la liberté d'expression,de Presse.
Droit reconnu par les droits et ratifier par le Sénégal.
L'effaceur oublie que se sont ces mêmes droits qui lui ont permis d'être la ou il est.
Abdou NGUER,Assane Diouf, Moustapha lo, Fofana, etc,etc...
Mais le cas plus écoeurant reste celle Abdou NGUER qui subie une détention arbitraire,car mieux informer que quiconque sur le dossier Adji et le citoyen Ousmane Sonko.
Badara Gadiagua le lion, quelle faute a t il commise..juste de maîtriser la langue de Koch Barma (le ouloff) .
Amadou Ba doit qui pour leurer certains à traduit en français,confirmant la condamnation pour détournement de jeunesse et autres.
Le chroniqueur parle avec des milliers spectateurs,la traduction est une obligation.
La langue de Molière sur les débats économique,mais pas au marché public.
Si traduire ce que Amadou Ba a confirmé est un delit,alors pourquoi ce fameux slogan France dégage.
Et dans cette corruption de jeunesse,il y a tous.. attouchements, lavages de cerveau etc..
Freedoom aux détenus politiques sénégalais.
Une honte de l'organiser à Dakar.
Sénégal ou les hommes de médias, chroniqueurs, journalistes croupissent en prison.
Opinionistes ou un racontant un passé récent.
Sweat beauté et ces multiples fléaux font partie à jamais dans l'histoire du Sénégal.
Appeler d'autres pays,autorisant veux juste montrer à travers l'Afrique ce que le Sénégal avait comme dont : la liberté d'expression,de Presse.
Droit reconnu par les droits et ratifier par le Sénégal.
L'effaceur oublie que se sont ces mêmes droits qui lui ont permis d'être la ou il est.
Abdou NGUER,Assane Diouf, Moustapha lo, Fofana, etc,etc...
Mais le cas plus écoeurant reste celle Abdou NGUER qui subie une détention arbitraire,car mieux informer que quiconque sur le dossier Adji et le citoyen Ousmane Sonko.
Badara Gadiagua le lion, quelle faute a t il commise..juste de maîtriser la langue de Koch Barma (le ouloff) .
Amadou Ba doit qui pour leurer certains à traduit en français,confirmant la condamnation pour détournement de jeunesse et autres.
Le chroniqueur parle avec des milliers spectateurs,la traduction est une obligation.
La langue de Molière sur les débats économique,mais pas au marché public.
Si traduire ce que Amadou Ba a confirmé est un delit,alors pourquoi ce fameux slogan France dégage.
Et dans cette corruption de jeunesse,il y a tous.. attouchements, lavages de cerveau etc..
Freedoom aux détenus politiques sénégalais.
Pfffff
Participer à la Discussion