La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme (Raddho) a décidé, par tous les moyens, de superviser le scrutin présidentiel du 26 février au Sénégal, quitte à rester à l’extérieur des bureaux de vote.
Cette annonce a été faite par Fatou Kama Marone, directrice exécutive nationale de cette ONG lors de l’atelier de renforcement des capacités des organisations de la société civile sur leur rôle en période électorale.
Pour cette dernière, « il n’est pas question de renoncer », d’autant plus que la Raddho, depuis sa naissance, a un rôle qui consiste à superviser età observer des processus électoraux en Afrique en particulier.
Et« ce n’est pas au Sénégal qu’elle va croiser les bras », a-t-elle soutenu dans les colonnes de Direct Info. Selon elle, la Raddho esttoujours dans la même dynamique pour empêcher le président de la République de se présenter à la prochaine présidentielle.
« Aujourd’hui, nous sommes en mesure d’observer ce processus électoral. Et pour ce qui est de la campagne électorale, une équipe des uperviseurs est sur le terrain et des rapports journaliers sont fournis », a-t-elle avisé.
La Raddho est disposée à superviser avant, pendant et après l’élection présidentielle, a lancé Mme Marone.
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