« Il y a le feu » : panique chez Farba Ngom après un début d’incendie
Grosse frayeur chez Farba Ngom. Dans son édition de ce mardi, L'Observateur rapporte qu'un début d’incendie a semé la panique, cette nuit, dans la maison du député aux Almadies. Une vidéo montrant un enfant criant « il y a le feu » a rapidement circulé, mobilisant militants et sympathisants du député-maire des Agnam, actuellement détenu au Pavillon spécial malgré plusieurs avis médicaux défavorables à son incarcération.
L'incendie serait dû à un court-circuit, apparemment causé par une rallonge électrique utilisée pour recharger un téléphone portable. Les dégâts sont restés limités, seuls une télévision et un climatiseur d'une chambre ayant été affectés, d'après la même source.
« Le feu, qui avait commencé à lécher les rideaux, a rapidement été circonscrit grâce à l'intervention rapide des occupants et des voisins », rassure le quotidien du Groupe futurs médias. Qui signale qu'il y a eu plus de peur que de mal, car l'incident n'a causé ni blessure ni dommage majeur.
Commentaires (9)
Massa Farba que DIEU vous assiste
Thiakhaneries de gosses sur une vidéo qui a duré 10 secondes et au loin
Thiey Aduna !
Hautain, insolent, provocateur, agressif etc, étaient les quelques qualificatifs non exhaustifs qui caractérisaient Farba. Le voilà aujourd’hui en prison et malade d’après ses avocats.
Le cas de Farba devrait servir d’exemple et ouvrir les yeux à tout bon croyant !
À ouvrir les yeux de ton père aussi Sale xénophobe
Farba a 22 maisons á NGOR. Dob bi Moko lake. Il fait du cinéma
Une nouvelle dont on a rien à cirer, juste pour nous rappeler que ce guignol soi disant malade veut qu'on ne l'oublie pas !
En bon français, il faut dire UN TÉLÉVISEUR et non une télévision.
télévision téléviseur pareillement
J'espère que Farba va crever en prison.
Que des traces du sniper ne disparaissent pas
Urgent breaking news: il y avait une coupure d électricité chez moi vers 3h du matin. Mais tt est bien qui finit bien.
C est le destin fatal d un château construit sur le dos du contribuable
Et la sanction par dieu n est pas encore venue
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