Fmi - Sénégal : Le coup de gueule de Alioune Tine sur les "manœuvres"
Alors que le Sénégal attend un dénouement prompt sur l’affaire de la dette dite cachée, le Conseil d’administration du Fmi prend son temps. Il a différé sa décision sur la question, au moment où les autorités sénégalaises l’attendaient avec impatience. Ce qui commence à faire parler au Sénégal.
«Il faut arrêter maintenant, les manœuvres qui retardent le décaissement du FMI», a martelé Alioune Tine. Dans une tribune partagée sur ses plateformes numériques, il a adressé un message à l’institution financière : «Nous invitons le Conseil d'administration du Fmi à décaisser rapidement l'argent nécessaire pour permettre au Sénégal d'accéder dans les meilleures conditions à la voie de l'émergence et de la prospérité.»
Alioune Tine souligne que le gouvernement a la volonté de jouer pleinement la transparence dans la gestion des affaires publiques. Alors, «il faut que le Conseil d'administration du Fmi ne décourage pas les sociétés africaines qui tentent difficilement de renouveler le personnel politique, de renforcer les institutions démocratiques», dit-il.
Commentaires (101)
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Mais on restera digne quoi qu’il advienne.
Un tel comportement ne peut s’expliquer que par des calculs d’intérêt. Loin d’agir pour les populations ou pour les idéaux démocratiques qu’il prétend incarner, il semble animé par l’espoir de s’assurer une place parmi ceux qui profiteront des milliards promis à l’État. Cette dérive illustre une réalité inquiétante : une partie de la société civile a troqué son rôle de contre-pouvoir pour devenir un simple relais du pouvoir, espérant des avantages matériels en retour.
Pourtant, le rôle d’un véritable acteur de la société civile est clair : il doit être la vigie de la démocratie, dénoncer les abus, défendre les libertés et porter la voix des sans-voix. En s’écartant de cette mission pour faire du lobbying en faveur du régime, Tine ne fait que miner la crédibilité de la société civile tout entière.
Il faut aussi rappeler une vérité essentielle : aucune institution financière n’a pour obligation de prêter à un État. Ces structures sont autonomes, indépendantes, et doivent pouvoir décider en fonction de critères techniques, non de pressions politiques ou de campagnes orchestrées. Ce que fait Tine s’apparente davantage à du harcèlement qu’à une contribution utile au débat public.
Au final, ce genre de posture ne sert ni la démocratie, ni les citoyens. Elle affaiblit la société civile en la rendant suspecte de collusion avec le pouvoir, et elle prive les populations d’un contre-pouvoir crédible. C’est une dérive dangereuse, car sans société civile indépendante et intègre, il ne reste plus que la parole du régime – et donc plus aucun espace de contestation constructive.
Un tel comportement ne peut s’expliquer que par des calculs d’intérêt. Loin d’agir pour les populations ou pour les idéaux démocratiques qu’il prétend incarner, il semble animé par l’espoir de s’assurer une place parmi ceux qui profiteront des milliards promis à l’État. Cette dérive illustre une réalité inquiétante : une partie de la société civile a troqué son rôle de contre-pouvoir pour devenir un simple relais du pouvoir, espérant des avantages matériels en retour.
Pourtant, le rôle d’un véritable acteur de la société civile est clair : il doit être la vigie de la démocratie, dénoncer les abus, défendre les libertés et porter la voix des sans-voix. En s’écartant de cette mission pour faire du lobbying en faveur du régime, Tine ne fait que miner la crédibilité de la société civile tout entière.
Il faut aussi rappeler une vérité essentielle : aucune institution financière n’a pour obligation de prêter à un État. Ces structures sont autonomes, indépendantes, et doivent pouvoir décider en fonction de critères techniques, non de pressions politiques ou de campagnes orchestrées. Ce que fait Tine s’apparente davantage à du harcèlement qu’à une contribution utile au débat public.
Au final, ce genre de posture ne sert ni la démocratie, ni les citoyens. Elle affaiblit la société civile en la rendant suspecte de collusion avec le pouvoir, et elle prive les populations d’un contre-pouvoir crédible. C’est une dérive dangereuse, car sans société civile indépendante et intègre, il ne reste plus que la parole du régime – et donc plus aucun espace de contestation constructive.
Un tel comportement ne peut s’expliquer que par des calculs d’intérêt. Loin d’agir pour les populations ou pour les idéaux démocratiques qu’il prétend incarner, il semble animé par l’espoir de s’assurer une place parmi ceux qui profiteront des milliards promis à l’État. Cette dérive illustre une réalité inquiétante : une partie de la société civile a troqué son rôle de contre-pouvoir pour devenir un simple relais du pouvoir, espérant des avantages matériels en retour.
Pourtant, le rôle d’un véritable acteur de la société civile est clair : il doit être la vigie de la démocratie, dénoncer les abus, défendre les libertés et porter la voix des sans-voix. En s’écartant de cette mission pour faire du lobbying en faveur du régime, Tine ne fait que miner la crédibilité de la société civile tout entière.
Il faut aussi rappeler une vérité essentielle : aucune institution financière n’a pour obligation de prêter à un État. Ces structures sont autonomes, indépendantes, et doivent pouvoir décider en fonction de critères techniques, non de pressions politiques ou de campagnes orchestrées. Ce que fait Tine s’apparente davantage à du harcèlement qu’à une contribution utile au débat public.
Au final, ce genre de posture ne sert ni la démocratie, ni les citoyens. Elle affaiblit la société civile en la rendant suspecte de collusion avec le pouvoir, et elle prive les populations d’un contre-pouvoir crédible. C’est une dérive dangereuse, car sans société civile indépendante et intègre, il ne reste plus que la parole du régime – et donc plus aucun espace de contestation constructive.
Un tel comportement ne peut s’expliquer que par des calculs d’intérêt. Loin d’agir pour les populations ou pour les idéaux démocratiques qu’il prétend incarner, il semble animé par l’espoir de s’assurer une place parmi ceux qui profiteront des milliards promis à l’État. Cette dérive illustre une réalité inquiétante : une partie de la société civile a troqué son rôle de contre-pouvoir pour devenir un simple relais du pouvoir, espérant des avantages matériels en retour.
Pourtant, le rôle d’un véritable acteur de la société civile est clair : il doit être la vigie de la démocratie, dénoncer les abus, défendre les libertés et porter la voix des sans-voix. En s’écartant de cette mission pour faire du lobbying en faveur du régime, Tine ne fait que miner la crédibilité de la société civile tout entière.
Il faut aussi rappeler une vérité essentielle : aucune institution financière n’a pour obligation de prêter à un État. Ces structures sont autonomes, indépendantes, et doivent pouvoir décider en fonction de critères techniques, non de pressions politiques ou de campagnes orchestrées. Ce que fait Tine s’apparente davantage à du harcèlement qu’à une contribution utile au débat public.
Au final, ce genre de posture ne sert ni la démocratie, ni les citoyens. Elle affaiblit la société civile en la rendant suspecte de collusion avec le pouvoir, et elle prive les populations d’un contre-pouvoir crédible. C’est une dérive dangereuse, car sans société civile indépendante et intègre, il ne reste plus que la parole du régime – et donc plus aucun espace de contestation constructive.
En pensant faire de la manipulation au FMI et autres bailleurs de fonds , il pensait que ces gens agiront comme ces moutons du Sénégal qui n’ont aucun niveau.
Conséquence : il n’y a plus d’investisseurs pour le Sénégal, tout est à l’arrêt, les prix à la consommation explosent, pas de création d’emploi, La Guinée devance le Sénégal, on va droit au fond du gouffre.
Le FMI a réclamé à Sonko les preuves de la dette cachée depuis septembre 2024.
Tant que Sonko ne fournit pas de preuves, pas de décaissement. Le problème c'est l'accusation mensongère de Sonko. S'il n'avait pas fait cette accusation, le FMI aurait fait un décaissement depuis 2024 puisqu'il n'y a pas de raison d'attendre, le Sénégal étant parmi les meilleurs clients de FMI. Sonko a détruit la confiance que les régimes précédents ont entretenue avec le FMI depuis 1960.
Il faut plutôt demander à Sonko de reconnaître qu'il a menti et de demander pardon. Vouloir dédouaner Sonko ( comme d'habitude), vous mettez 18 millions de sénégalais dans des problèmes. Il a la popularité mais sa manière de faire de la politique est basée sur les mensonges, la manipulation et la victimisation ( les émotions). Si cela a marché quand il était opposant, cela ne peut pas marcher quand on s'adresse à des institutions financières comme le FMI. (Pas d'émotions).
Il n'y aura pas de décaissement avant 2026.
Dites à Sonko d'organiser le Mouton Bond
Celui qui sait est incomparable à celui qui ne sait pas.
Une dette suppose etre un contrat financier entre un prêteur et un emprunteur
Si quelqu’un trouve une kagn Il doit etre aussi en mesure de nous désigner le prêteur et le montant
Soit le giu errements dit je ne reconnais pas ces dettes du coup je paie pas dans ce le prêteur sera obliger d’ester en justice .
Wala bok le gouvernement acquiesce et paie la dette ds ce cas il devra ussibnous édifier sur le montant et le prêteur .
Mais tu faire une annonce aussi grave etle Fmi continu ou adoptent financement sans savoir la réalité
Lolou kesse nak monye sounou problème
Il faut que ce duo incompétent reconnaisse qu’ils ont ete conduit en erreur ds ce cas il ns faudrait des sanctions ou bien qu’ils ont menti juste pour anticiper les élections législatives
Le FMI ne souhaite pas admette qu'il y'a eu des fonds détournés car s'il le fait, il y'a un sérieux risk que le Sénégal le prendra responsable pour sa malveillance, et complicité dans la mal-gourvernance des fonds de crédits.
Le FMI devrait alors être forcé à réévaluer la dette du Sénégal. Et cela entraînera un manque à gagner au FMI, et une aubaine pour le Sénégal de recevoir une diminution de sa dette envers sess créanciers.
L état n a qu’à leur fournir les justificatifs demandés
Si c était une blague il faut dire au fmi que c était une blague pour lui permettre de décaisser les sous
Ceux qui ont vu les dettes cachées n ont qu à les montrer.
Et vous n osez pas toucher là où se trouve le prblm.
On ment trop au peuple
🇸🇳 seuls les Lâches et Traitres de la Nation (comme nous la enseigné l'histoire), avec leurs partenaires de "Trolls francais" sont entrain d'applaudir le Fmi. Sinon un vrai Sénégalais Digne doit se lever et faire face a ces Enemies de l'homme noir
🇸🇳 seuls les Lâches et Traitres de la Nation (comme nous la enseigné l'histoire), avec leurs partenaires de "Trolls francais" sont entrain d'applaudir le Fmi. Sinon un vrai Sénégalais Digne doit se lever et faire face a ces Enemies de l'homme noir
🇸🇳 seuls les Lâches et Traitres de la Nation (comme nous la enseigné l'histoire), avec leurs partenaires de "Trolls francais" sont entrain d'applaudir le Fmi. Sinon un vrai Sénégalais Digne doit se lever et faire face a ces Enemies de l'homme noir
🇸🇳 seuls les Lâches et Traitres de la Nation (comme nous la enseigné l'histoire), avec leurs partenaires de "Trolls francais" sont entrain d'applaudir le Fmi. Sinon un vrai Sénégalais Digne doit se lever et faire face a ces Enemies de l'homme noir
Connaissez-vous Xaj-le-Chien, venu de contrées lointaines, à bord d'un navire ayant debarqué les premiers colonisateurs ?
C'est ainsi qu'il se retrouva en pleine savane, à la découverte de son nouveau monde.
- Bienvenue à Ndoumbelane -
En cours de route donc , Xaj le Chien apercoit l'imposant Gaindé le Lion.
Ils s'observeront de loin pendant de longues heures.
Gaindé se demande ce que pourrait bien etre cet etrange petit machin, jamais vu...
La peur de l'inconnu calme ses ardeurs. Mais sa faim lui dicte de s'avancer.
C'est à ce moment que Xaj le Chien remarqua deux ou trois os, non loin.
Il s'en saisit et commenca à chanter, tout en sifflotant:
" Mais!!! Cette viande de lion etait si delicieuse... Gaindé mo nèkh, ...J'en reprendrais bien 2 ou 3 portions, etc" .
Gaindé s'arreta net,
recula de deux pas,
se disant que cet etre qui se nourrirait de lion, ne pouvait en rien etre anodin.
Il s'accorda un moment de reflexion. dont profita le Chien pour disparaitre.
La voie vers la paix n'etant jamais bien loin, Gaindé préféra rebrousser chemin.
Il se trouve que rien de cette scene n'avait echappé à Golo le Singe, accroché à une branche, à quelques arbres de là.
Golo, comme à l'accoutumée, voulant obtenir des faveurs du Lion, s'en approcha pour lui decortiquer la manoeuvre de Xaj Le Chien.
Le stratageme mis a nu, Gaindé le remercia et lui intima l'ordre de le suivre: "Viens Golo ! Grimpe sur moi, on le retrouvera... "
Golo s'agrippa solidement et Gaindé rugit, bondit et s'elanca.
Que voilà t-il pas Xaj le Chien à 50 metres.
Seulement, Gaindé garde encore une certaine apprehension, et negocie l'approche avec quelque hesitation.
C'est alors que, soudain, le Chien, s'adressant au Singe, s'ecrit : "Mais toi, Golo , cela fait deux heures que j'attends ta livraison d'un second lion !!
..Tu en as mis du temps!! Vaurien ! Bientot je cesserai notre collaboration, si ça continue. Maintenant eloigne-toi, pour eviter les
degats colateraux"
Il n'en fallut pas plus, pour que Gaindé ne debarquat sommairement Golo qu'il qualifia de traitre, et ne disparut, vite fait, derriere les buissons touffus.
Reveillez-vous Guys !!!!
Ndoumbé l'Ane,
2- Il ya une dette cachée que le FMI ne pouvait ignorer.
3- Le FMI refuse de nous accorder des prêts.
Incohérences ou mensonges éhontés ?
Pauvre Sénégalais, continuez à gober les blablas de politiciens.
LE FMI
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