Discussions Diomaye – Pastef : Le Grand "déballage" de Cheikh Bara Ndiaye
Depuis minuit, sur les réseaux sociaux, le député Cheikh Bara Ndiaye égrène, à sa manière, le contenu des discussions qui ont eu lieu mardi, entre les responsables de Pastef et le président Bassirou Diomaye Faye. Ce dernier, depuis plusieurs jours, entretient une relation tendue avec son premier ministre, leader de Pastef.
A 0 heure 52 minutes, ce mercredi, le député a emprunté un terme bien de Macky Sall pour rapporter les propos du Président Diomaye Faye : «Néna ni oui ni non». Il dit par-là, que le chef de l’Etat ne leur a ni confirmé, ni infirmé qu’il sera candidat à la prochaine présidentielle prévue en 2029.
Puis, à 1 heure 1 minute, Cheikh Bara Ndiaye fera un nouveau post sur sa page Facebook. Celui-ci est consacré à l’autre pomme de discorde entre le Président Diomaye et Ousmane Sonko : la personne de Mimi touré. Selon le député, sur cette question, le Président Diomaye «n’a pas changé».
Ce dernier ne compte pas limoger son envoyée spéciale, à qui il a donné la charge de restructurer la coalition «Diomaye Président». Cheikh Bara Ndiaye déclare même que le Pr. Diomaye ne compte pas «donner suite» en ce qui concerne le rapport de l’Ige qui épinglerait Mimi Touré.
Les deux dernières salves du député sont tombées ce mercredi dans ma mi-journée. L'une, à 11h 53 minutes. «Le Président a dit que Sonko ne le respecte pas. Et qu’il doit respecter les institutions», rapporte le député sur sa page Facebook.
Puis à 12 heures 05 minutes, l'autre salve : «Diomaye a dit que c’est par mérite que Sonko a fait de lui le candidat en 2024. Et il a déclaré qu’ils savent pourquoi ils l’ont trouvé en prison pour faire de lui le candidat».
Dans le même post, Cheikh Bara Ndiaye dira que le chef de l’Etat a déclaré que Abdourahmane Diouf n’a rien fait de mal. Ce, au moment où le premier ministre Ousmane Sonko le soupçonne de surfacturation.
A-t-il vraiment été fidèle aux propos du chef de l’Etat ? Pour Serigne Khadim Bamba Fall, une communication officielle du parti s’impose : «Si le Bureau politique ne communique pas, il sera responsable des dérives communicationnelles. Stoppez l'hémorragie bon sang», a-t-il plaqué sur sa page Facebook.

Commentaires (53)
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Ce qu'il faut en tirer comme leçon, c'est que Diomaye a compris les pouvoirs d'infiltration de la secte, et il a mesuré la force de la secte dans les médias. Cela doit lui servir à quelque chose. Quant à Sonko, qu'il ne se mette jamais en tête d'avoir gagner contre la secte. On ne gagne jamais contre la secte dans la vie. La secte n'abandonne jamais. Simplement parce que c'est Satan qui est derrière la secte, que les acteurs en soient conscients ou pas. Et le programme de Satan, c'est jusqu'à la fin du monde. Donc, contre lui, c'est une bataille permanente.
C EST CLAIREMENT UNE TRAHISON ET JE CONSIDÈRE CETTE SITUATION NE L AIDERAI À RIEN.
DÈS LORS LE PEUPLE SENEGALAIS DOIT ÊTRE DEBOUT ET LE SURVEILLER COMME DU LAIT SUR LE FEU PUISQUE L ACTE POSÉ EST CERTAINEMENT UNE ÉTAPE PRIMAIRE DANS CETTE ENTREPRISE NAUSÉABONDE
Il est important de le souligner: il n'y a pas un seul prototype de violeur , et les caractéristiques suivantes, bien qu’elles puissent être communes, n’identifient pas tous les contrevenants.
1. Ils ne doivent pas avoir une personnalité étrange
Une grande majorité des violations sont commises par des sujets ayant une personnalité dans le "normal" et qu'ils ont des amis, de la famille et du travail.
2. Le pouvoir, pas le sexe
Surtout, les personnes qui commettent un viol sachant ce qu’elles font cherchent et sont attirées par l’idée d’exercer une domination , faire que les autres fassent quelque chose contre leur volonté et obéissant aux intérêts de l'agresseur. En d'autres termes, dans une violation, ce n'est pas seulement le sexe qui est recherché, mais c'est surtout l'exercice du pouvoir qui est recherché.
3. Ils ont tendance à rechercher les victimes qu'ils considèrent les plus faibles
En règle générale, les auteurs d'agression sexuelle cherchent des victimes qu'ils considèrent physiquement plus faibles que ce soit eux ou ceux qui connaissent les points faibles à exploiter.
Dans les deux cas, le choix de la victime est lié à la possibilité d’exercer un pouvoir soit sur une personne qu’elle croit pouvoir soumettre, soit sur une personne qu’elle considère comme supérieure et qu’elle veut voir humiliée et inférieure à elle-même. .
4. Sentiments d'infériorité et de frustration vitale
Un autre élément commun à la plupart des violeurs est la présence d’un fort sentiment de frustration et d’infériorité qui peut être exprimé par des explosions de violence.
Bien qu'ils n'aient pas à le démontrer dans la plupart des facettes de leur vie quotidienne et qu'ils puissent même agir d'une manière dominante, ces sentiments d'infériorité peuvent provoquer une réaction sous la forme d'un désir de dominer l'autre, un désir que chez certaines personnes peut mener à une agression sexuelle .
5. Peu de capacité d'empathie
l'agresseur sexuel ne peut pas, ne s'en soucie pas ou choisit de ne pas penser à ce que le viol est pour la victime , ou qu'il en vienne à considérer que la satisfaction de son désir de pouvoir et de sexe mérite la souffrance de la victime. Cela est visible dans de nombreux cas indiquant que la victime souhaitait réellement entretenir des relations ou appréciait pleinement la situation.
6. Aucune anticipation des conséquences
Il a été observé que beaucoup de violeurs n'ont jamais pensé à ce qui pourrait se passer après l'acte commis , si l'affaire ferait l'objet d'une enquête ou si elles seraient retrouvées et détenues. Cela traduit un certain déficit d’anticipation des conséquences de leurs propres actions, que ce soit pour elles-mêmes ou pour les autres.
7. Antécédents possibles d'abus ou d'apprentissage d'une sexualité coercitive
Comme pour la violence sexiste, de nombreuses personnes qui commettent actuellement des crimes sexuels ont été maltraitées ou maltraitées dans leur enfance ou ont été témoins de mauvais traitements infligés à d’autres membres importants de la famille.
Cela signifie qu'à long terme, ils peuvent identifier la contrainte comme une manière normale de procéder et, bien qu'ils sachent que la société est socialement mal vue, peuvent sentir l’impulsion pour entreprendre l’acte.
8. Ils estiment avoir le droit de commettre une agression
Dans un grand nombre de cas, les auteurs de violations considèrent qu’ils ont le droit de forcer la victime à , parfois pour des raisons culturelles. Ainsi, les agressions sexuelles sont plus fréquentes dans les personnes et les régions où la supériorité des hommes sur les femmes est toujours considérée, ou ils considèrent que leurs besoins sont supérieurs à ceux des autres.
9. Il ne s'agit pas de malades mentaux
Il est possible de constater que certains troubles de la personnalité tels que les troubles antisociaux peuvent faciliter une telle action. et il est vrai que des cas de viol peuvent être constatés lors de troubles psychotiques, maniaques ou commis par des personnes ayant une déficience intellectuelle, mais en règle générale, les agresseurs sexuels sont capables de juger correctement la situation et de savoir ce qu'ils font.
10. Ils sont pour la plupart totalement imputables
Une conséquence du point précédent. Étant donné que la plupart des auteurs de ce type d'actes sont pleinement conscients que leurs actes sont nocifs et punissables par la société, généralement les violeurs sont juridiquement imputables .
11. échapper à la responsabilité Une caractéristique commune dans de nombreux cas dans lesquels il n'y a ni psychopathie ni psychopathologie est la tentative d'échapper à sa responsabilité dans l'acte .
12. Blâmer la victime
Certains des auteurs de violations indiquent généralement que la victime est la faute de la situation
Retrouvons notre Sénégal que nous avons toujours connu !!!!
Moi à la place de PROS, je les regarde dérouler leur sales besognes et les Sénégalais jugerons jusqu'au jour où Diomay prendra le responsabilité de me d'émettre car le décret lui appartient, PROS n'a pris que ce qui lui revient.
Diomaye a tourné le dos à PASTEF depuis les législatives car il n’était pas d’accord sur le choix de Sonko d’aller avec sa propre liste.
Quelque soit ce qu’il peut reprocher à Sonko à tort ou à raison, il n’a pas le droit de trahir le vote des sénégalais en reniant ses engagements électoraux concernant la justice.
Libre à lui de se présenter aux élections de 2029 mais il ne doit pas s’allier avec les acteurs politiques coupables de crimes de sang ou de détournement de deniers publics.
Si Mimi est épinglé par un rapport, il doit le démettre jusqu’à ce que la justice tranche. Si Ass est sous enquête, il ne doit pas le promouvoir, il doit le démettre jusqu’à ce qu’il soit blanchi, comme c’était le cas du Dr cheikh dieng de l’ONAS.
S’il affirme qu’il a été choisi par mérite, il doit savoir qu’il n’était pas le seul méritant de PASTEF et si c’est Allah qui l’a choisi, c’est par l’entremise de Sonko. Il devrait être reconnaissant à Allah à travers la reconnaissance à Sonko.
Mais tout ceci sera retenu par l’histoire et ceux qui l’ont élu n’ont rien oublié.
Quelque soit les forces ou alliés qui lui garantissent leur soutien sur son choix, l’exemple de maquis sale doit lui apprendre à savoir que le peuple souverain est toujours là et ne baissera jamais les bras.
On ne gouverne pas un peuple contre sa volonté.
FAR AME KOUY DOKHOTE AK POUPE LAALE
Qui ne sait ni lire ni écrire
Eh puis le pastef c’est une dahira avec un Serigne et des Talibes qui n osent pas apporter la contradiction au Serigne
Tout ce que dit et fait le Serigne ils l acceptent sans réfléchir
Daga ni gone
Les numéros deux ne supportent pas leur illégimité, et veillent à massacrer ceux qui les ont consacrés.
Ce connard quil laisse ouvrir sa gueule repartira directement a sa vente d’illusion a la prochaine législature que j'espère sera en 2027.
Sonko je ne t'apprécie pas en tant qu’acteur politique mais tu mérites mieux que ça. Voilà le résultat quand on s’entoure de demeurés et de complexés
et qu'on voit ce qui s'y passe aujourd'hui, on pleure tous les jours.
C'est d'une tristesse dans nom.
Un premier ministre qui se permet tout et n'importe quoi, qui ose défier les chefs religieux, les journaliste, les juges et magistrats,
la société civile, qui pactise avec des ennemis de ce pays, et un Président qui laisse faire.
On a un chef d’État sans aucun charisme, ni posture, ni les qualités intrinsèques pour le poste.
À chacune des sorties du premier ministre intermittent, la note du Sénégal est dégradée. Ses propos ont mis l'économie du pays
dans une situation catastrophique.
En 18 mois, le régime de Diomaye a emprunté plus de 10 400 milliards, à des taux élevés, sans aucun investissement.
(Le régime de Macky n'a pas emprunté autant en 12 ans de régne, même avec les nombreux investissements)
Aujourd'hui le Sénégal est au bord du défaut de paiement. Et pendant ce temps, le Président et son premier ministre se tirent dans
les pattes.
En 2029, les sénégalais ont intérêt à se mobiliser en masse, et à virer tout ce qui est Pastef (et ce qui gravite autour) du pouvoir.
Il faut que ce pays retrouve la sérénité, des mains de personnes compétentes, intelligentes, qui ont une culture politique,
géopolitique, économique.
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