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«Pharmacie noire» de Point E : le casting international d’un vaste réseau de trafic de faux médicaments

Auteur: Senewebnews-RP

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Elles opéraient sous la bannière de «Cod in Africa». Les cinq personnes arrêtées dans le cadre de l’enquête de la Division spéciale de cybersécurité (DSC) animaient cette entreprise spécialisée dans la commercialisation illicite de produits de «santé» et de «bien-être», souvent importés de Dubaï ou de Chine, et écoulés sans aucune autorisation légale ni sanitaire au Sénégal. Cette «pharmacie noire», comme l’appelle Libération, qui a révélé cette affaire, était établie à Pointe E. 
De nationalités différentes, les mis en cause sont poursuivis pour association de malfaiteurs, exercice illégal de la pharmacie, trafic de produits médicaux, publicité non autorisée, mise en danger de la vie d’autrui, atteinte à la santé publique, blanchiment de capitaux et tentative de corruption. Libération a dressé leurs profils; chacun avait un rôle bien défini dans le trafic.
C. Badagbon (Togolais) : responsable des livraisons et du stock, il a reconnu avoir vendu des produits non autorisés, notamment des aphrodisiaques. Il affirme avoir transféré près de 18 millions de francs CFA à un certain Ayoub, présenté comme directeur de la société.
M. A. Ndour (Tchadienne) : responsable de la confirmation des commandes, elle dirigeait une équipe de 30 employés. Elle admet que les produits venaient de Dubaï, mais affirme ignorer leur composition exacte.
A. Dieng (Sénégalaise) : chargée de la livraison, elle a déclaré ne disposer d’aucune preuve d’homologation pour les produits, précisant qu’elle ne faisait qu’exécuter les consignes de ses supérieurs.
Y. Outnouamar (Marocain) : bien qu’il nie tout lien direct avec Cod in Africa, il a reconnu avoir manipulé de grosses sommes liées à l’entreprise et tenté de corrompre des policiers avec 500 000 F CFA.
A. Samoura (Sénégalaise) : gestionnaire de stock, elle a indiqué avoir reçu les produits via un groupe WhatsApp nommé Stock Sénégal, sans connaître leur origine ni leurs éventuels dangers pour la santé.
Auteur: Senewebnews-RP

Commentaires (13)

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    il y a 1 mois

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    il y a 1 mois

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    il y a 1 mois

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    il y a 1 mois

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    Laye il y a 1 mois

    Keur Serigne bi,les officines illégales de produits contrefaits à Touba, voilà l'origine des médicaments douteux.

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    il y a 1 mois

    souvent importés de Dubaï ou de Chine
    pourriture de douaniers !!

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    NDOUR Tchadienne !! il y a 1 mois

    Je suppose que cette personne a aussi acheté sa carte d'identité en choisissant le nom NDOUR

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    reply_author il y a 1 mois

    Certainement mariée à un NDour

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    il y a 1 mois

    Sinon KEUR SERIGNE BI EST CE QUE ON PEUT EN PARLER

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    reply_author il y a 1 mois

    mon cher voila le coeur du probleme keur serigne bi.la source de tous les maux

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    il y a 1 mois

    Keur serigne bi Ken gnémé wouko laal.

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    reply_author il y a 1 mois

    mon cher voila le coeur du probleme keur serigne bi.la source de tous les maux

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    reply_author il y a 1 mois

    mon cher voila le coeur du probleme keur serigne bi.la source de tous les maux

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    il y a 1 mois

    Faut s'attaquer au vrai problème ! Keur seigneur bi! Point final. Ne tournez pas en rond

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    reply_author il y a 1 mois

    mon cher voila le coeur du probleme keur serigne bi.la source de tous les maux

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    il y a 1 mois

    notre probleme c’est notre douane

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    L'enseignant en vacances il y a 1 mois

    Les sénégalais vont se tuer avec ces produits. Pourquoi consommer ces conneries !!!

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    il y a 1 mois

    Certains d'entre eux vont surement porter plainte contre ce journal . Et puis pharmatie * noire* !!!!!!

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