Exploration de la Lune et de Mars : Le Sénégal se positionne
Cinquante-cinq ans après le dernier voyage vers la lune, la communauté spatiale mondiale compte faire une nouvelle exploration, et prévoit également un voyage vers Mars. Pour ces prochaines expéditions spatiales, le Sénégal ne compte pas rester spectateur.
Interrogé par TV5 Monde, Maram Kairé, directeur général de l'Agence sénégalaise d'études spatiales (ASES) souhaite positionner le Sénégal parmi les pays décisionnaires. "Si on prend la Nasa ou le Cnes en France, c'est 60 ans d'exploitation du spatial. Nous, le Sénégal, venons d'arriver (l'ASES a été créé il y a deux ans) et devons avoir des ambitions assez élevées. Nous comptons nous mettre à la table des discussions. La meilleure façon de ne pas être en marge de l'exploration spatiale prévue, c'est d'être à la table des négociations. Le rôle du Sénégal, aujourd'hui, c'est d'apporter sa contribution dans les décisions, les échanges", dit-il, comptant sur les nombreux experts sénégalais à Dakar et partout dans le monde.
Maram Kairé souhaite également développer d'autres secteurs grâce à l'utilisation des satellites, notamment l'agriculture de précision. Mais, regrette-t-il, des pays comme le Sénégal manque d'infrastructures pour permettre l'éducation locale à la l'astronomie.
Commentaires (22)
Pour rappel le Sénégal a participé aux succès des premières navettes spatiales avec une équipe d'ingénieurs support en télémétrie informatique data processing tracking et télécommunications
Cela pourrait être drôle si ce n était pas si triste..
Prozet bi…
aram Kairé est né à Dakar en 1978[2].
Enfant, il se passionne pour l'astronomie, qu'il apprend en autodidacte, et se construit lui-même un télescope. Il ne lui est toutefois pas permis de poursuivre ses études dans ce domaine[3].
Entre 1997 et 1998, il fait des études de BTS en informatique et gestion, à l'École supérieure polytechnique de Dakar. Il poursuit des études d'ingénierie informatique en France, à l'École supérieure de génie informatique (ESGI)[4], du groupe ESG Management School, de 1998 à 2002, à la fin desquelles années, il obtient le titre d'ingénieur, avec la spécialité « systèmes & réseaux »[5].
Putain de pays
Après, ON VERRA .
Monsieur de l'aes Mars et la Lune c'est trop loin pour nous. Notre priorité c'est l'orbite basse pour la météo le renseignement, etc.
L'ANACIM suffisait largement pour cela .
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