L’épouse de Serigne Modou Bara Doli Mbacké revient sur l’histoire de mœurs Zakia Nasr/ Serigne Bara Doli, qui avait envoyé son mari en prison pendant quelques jours. Agée de 30 ans, Sokhna Mbéne Mbacké, fille de Serigne Modou Bousso Dieng, est la première femme du marabout politicien. Dans un entretien accordé à Week-end Magazine, elle évoque ses relations avec Zakia Nasr sa « confidente et sœur », a qui elle avait confié sa fille de 11ans. «Zakia était pour moi comme une complice et une confidente. Des fois, quand j’avais des problèmes avec Modou, je l’appelais et elle me donnait des conseils .
Donc, je ne pouvais pas soupçonner qu’elle puisse avoir une liaison intime avec mon mari. D’autant qu’une fois elle m’a dit : « Si vous avez un problème, dites-le moi, je pourrai toujours intervenir auprès de Modou Bara Doli, il suit mes conseils », révéle Sokhna Mbéne Mbacké dans Week-end Magazine. Pendant ce temps Zakia gérait son homme et associé dans sa maison aux Almadies. « Les chauffeurs disaient que c’est Zakia qui gère la maison à Dakar, qu’elle vient souvent ici (la maison des Almadies), que c’est elle qui recrute et vire qui elle veut, dans le cadre des affaires de mon mari ou de leur partenariat.
Elle avait souvent des problèmes avec les chauffeurs à cause de ces informations. Une fois, elle a dit à mon mari à propos d’un chauffeur : « puisque le chauffeur parle à ta femme, il faut le renvoyer.» Trahie par celle qu’elle considérait comme une «confidente», l’épouse de Bara Doli souligne que : « Zakia a bien caché son jeu. Et de la manière dont elle s’y est prise, elle a vraiment trompé son monde. Je n’ai jamais douté de sa bonne foi. Elle était considérée comme un membre de la famille et je lui avais ouvert mon foyer et mon cœur. Ma fille vivait chez elle. Elle s’appelle Mame Faty Mbacké et a 11 ans.
J’ai repris mon enfant», déclare Sokhna Mbéne Mbacké. Cette dernière qui a été humiliée dans cette histoire n’a jamais songé à demander le divorce. «Je ne veux même pas penser à cela. J’ai confiance en mon mari et je ne vois pas ce qui peut me faire changer d’avis. Je ne vais pas remettre en cause 19 ans de vie commune pour des détails. Donc, je prends cette affaire comme une épreuve faisant partie des aléas de la vie. Mon époux est un bon père de famille, soucieux du devenir de sa progéniture et de son épouse».
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