"Il faut être écervelé ou bête..." : Pape Ale Niang recadre sèchement ses détracteurs
Dans un message publié sur les réseaux sociaux, le Directeur de la RTS, Pape Alé Niang, a réagi avec fermeté aux interprétations de son post, affirmant qu’il serait « écervelé ou bête » de penser qu’il pourrait cautionner l’absence de justice pour les victimes des violences politiques survenues au Sénégal entre 2021 et 2024. « La République, c’est également la justice. Mon combat ne date pas de 2014 », a-t-il déclaré, réaffirmant son engagement de longue date pour la justice et la vérité.
Pour rappel, Pape Alé Niang s’est exprimé hier soir à travers un tweet sur les violences qui ont marqué la vie politique sénégalaise entre 2021 et 2024, une période marquée par des manifestations sévèrement réprimées. Revenant sur ces événements, il a souligné que « tout le monde s’accorde sur une chose : les exactions commises contre les manifestants sont abominables ». Selon lui, la mémoire de ces événements douloureux doit rester vivace afin de rendre justice aux victimes et d’éviter que de telles dérives ne se reproduisent.Cependant, Pape Alé Niang appelle à une vigilance particulière : « Au nom de la République, nous devons préserver et protéger nos institutions ». Une sortie qui a suscité une controverse sur la toile.
Commentaires (34)
Quand on a des incultes, limités qui n'ont rien dans le tête, mieux vaut se taire, ils vont se détruire eux même.
Cohésion sociale et cohérence territoriale rek
Wa Salam
Il n'y a pas lieu de s'énerver, les citoyens ont le droit d'interpeller tout acteur public, s'ils l'estiment nécessaire. IL faut vous rendre compte que les temps ont changé dans ce pays, les gens ne sont plus disposés à accepter tout et n'importe quoi de qui que ce soit.
Quelles institutions sont en cause? Et comment les protéger?
En tout état de cause, rien dans nos lois et règlements n'autorise une institution à tuer des citoyens. Pour rappel, la peine de mort est abolie au Sénégal.
Il serait plus sage d'attendre que l'enquete établisse clairement les responsabilités.
Moi j'aimerais bien savoir ce qu'il en est du fameux numéro 9 qui se promenait librement avec une arme de guerre dans les rues de Dakar.
Si une institution est responsable de ces crimes sans nom, on est tous d'accord qu'il faut la traduire devant la justice et sanctionner de facon exemplaire ceux qui incarnaient ces institutions. C'est bien des hommes et femmes qui incarnaient ces institutions. ils doivent répondre de leurs actes, le cas échéant. C'est cela la justice.
Cheikh Oumar Diagne a fait des révélations terribles sur les morts pendant les manifestations.
C'est un parti dirigé par des vendeurs d'illusions dont la majorité des militants sont des moutons et des écervelés. La fin n'est pas loin.
Il rejoint ainsi le point de vue largement partagé par la majorité des Sénégalais : le Pastef n’est rien d’autre qu’un regroupement de recalés, de frustrés et de personnes ayant échoué dans leur ascension sociale. Sous couvert de militantisme et de promesses populaires, leur action ne reflète pas l’intérêt général, mais plutôt leur désir de revanche et de reconnaissance personnelle. En réalité, leur combat ne concerne pas le peuple sénégalais, mais sert avant tout à satisfaire leurs ambitions contrariées et à masquer leurs propres échecs. »
Attention, tu n'es pas plus méritant que beaucoup de grands spécialistes de la communication de ce pays sortis de notre prestigieux Cesti. Alors calme-toi et concentre-toi plus sur la mission qui t'a été confiée.
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